Subventions et contributions gouvernementales

Le Fonds de soutien à la recherche (FSR) aide les universités, les collèges, les hôpitaux et les instituts de recherche qui leur sont affiliés à maintenir un milieu de recherche qui leur permet d’optimiser l’utilisation des fonds investis par le gouvernement fédéral, par l’intermédiaire des organismes subventionnaires, dans la recherche académique.

La sécurité de la recherche vise à aider les établissements d’enseignement postsecondaire canadiens à faire en sorte que les projets de recherche financés par le gouvernement fédéral soient menés dans des installations de calibre international dotées du meilleur équipement qui soit et bénéficiant du meilleur soutien administratif possible. Le financement de la sécurité de la recherche contribuera à renforcer la capacité des établissements d’enseignement postsecondaire à cerner, à évaluer et à atténuer les risques potentiels pour la sécurité de la recherche.

Le Fonds de soutien à la recherche (FSR) aide les universités, les collèges, les hôpitaux et les instituts de recherche qui leur sont affiliés à maintenir un milieu de recherche qui leur permet d’optimiser l’utilisation des fonds investis par le gouvernement fédéral, par l’intermédiaire des organismes subventionnaires, dans la recherche académique.

Le Fonds de soutien à la recherche (FSR) aide les universités, les collèges, les hôpitaux et les instituts de recherche qui leur sont affiliés à maintenir un milieu de recherche qui leur permet d’optimiser l’utilisation des fonds investis par le gouvernement fédéral, par l’intermédiaire des organismes subventionnaires, dans la recherche académique.

La sécurité de la recherche vise à aider les établissements d’enseignement postsecondaire canadiens à faire en sorte que les projets de recherche financés par le gouvernement fédéral soient menés dans des installations de calibre international dotées du meilleur équipement qui soit et bénéficiant du meilleur soutien administratif possible. Le financement de la sécurité de la recherche contribuera à renforcer la capacité des établissements d’enseignement postsecondaire à cerner, à évaluer et à atténuer les risques potentiels pour la sécurité de la recherche.

Le Fonds de soutien à la recherche (FSR) aide les universités, les collèges, les hôpitaux et les instituts de recherche qui leur sont affiliés à maintenir un milieu de recherche qui leur permet d’optimiser l’utilisation des fonds investis par le gouvernement fédéral, par l’intermédiaire des organismes subventionnaires, dans la recherche académique.

Le Fonds de soutien à la recherche (FSR) aide les universités, les collèges, les hôpitaux et les instituts de recherche qui leur sont affiliés à maintenir un milieu de recherche qui leur permet d’optimiser l’utilisation des fonds investis par le gouvernement fédéral, par l’intermédiaire des organismes subventionnaires, dans la recherche académique.

Commémoration du 2e Bataillon de construction

Dans le cadre de ce projet de 24 mois, le Sex Information and Education Council of Canada (SIECCAN) développera et mettra en place une pratique prometteuse sous la forme d’une stratégie visant à accroître la capacité des éducatrices et des éducateurs à fournir aux garçons et aux jeunes autistes une éducation efficace sur le consentement, ce qui renforcera le secteur de la violence fondée sur le sexe. Le projet répondra aux besoins des éducatrices et des éducateurs, des jeunes autistes et des garçons, en adoptant une approche qui tient compte des diverses identités qui se croisent. Pour ce faire, le projet mettra en œuvre deux séries d’activités identiques, l’une axée sur les jeunes autistes et l’autre sur les garçons. Ces activités comprennent l’analyse et l’examen de la documentation sur le consentement et des ressources éducatives, la création de groupes de travail sur l’éducation au consentement, la consultation en ligne des éducatrices et des éducateurs canadiens pour déterminer les besoins en matière d’éducation au consentement et les pratiques de mise en œuvre efficaces, et la tenue de groupes de discussion avec les jeunes pour comprendre leurs besoins en matière d’éducation au consentement et les pratiques exemplaires de mise en œuvre. SIECCAN créera et distribuera ensuite des rapports de synthèse sur les résultats des consultations et des groupes de discussion, élaborera des guides d’information pour les éducateurs axés sur l’amélioration des connaissances, des attitudes et des compétences des jeunes en matière de consentement, et développera des modules interactifs d’apprentissage en ligne et des ressources de contenu numérique sur le consentement que les éducatrices et les éducateurs pourront utiliser avec ou pour les jeunes. L’organisme donnera ensuite des séances d’utilisation pour déterminer les révisions à apporter aux ressources de contenu numérique. SIECCAN diffusera et facilitera l’utilisation des deux ensembles de documents sur le consentement pour les éducatrices et les éducateurs en publiant et en promouvant les modules d’apprentissage en ligne sur le consentement et les ressources de contenu numérique en ligne sur le consentement, et en partageant les guides d’information pour les éducatrices et les éducateurs sur le site Web de l’organisme, avec leur liste de diffusion pour les éducatrices et les éducateurs, et avec les partenaires du projet. Un évaluateur externe mesurera et évaluera l’impact de la pratique prometteuse par le biais d’un rapport final et travaillera en outre avec SIECCAN pour évaluer l’évolution des connaissances et des compétences des éducatrices et des éducateurs et leur capacité à dispenser une éducation au consentement aux jeunes autistes et aux garçons. L’évaluateur externe travaillera également avec les partenaires du projet pour mener deux séances d’utilisation, l’une avec des jeunes autistes et l’autre avec des jeunes (y compris des garçons) afin de déterminer l’efficacité des deux ressources finales de contenu numérique sur le consentement. SIECCAN diffusera tous les documents relatifs au consentement pour les éducatrices et éducateurs lors de conférences ou d’ateliers nationaux afin de partager l’information et de faciliter la mise en œuvre de la pratique prometteuse pour que d’autres puissent la reproduire ou la développer.

Dans le cadre de ce projet de 24 mois, le Métis Central Western Region 2 Council Incorporated élaborera et mettra en place la thérapie Heartbeat Trauma Release Method Therapy (HTR) avec les filles autochtones, les jeunes bispirituelles et bispituels, et les jeunes transgenres victimes de violence fondée sur le sexe, afin de renforcer le secteur de la lutte contre la VFS. L’organisme travaillera avec ses partenaires dans la communauté et répondra à la nécessité de fournir un soutien et des services aux jeunes autochtones du nord de la Saskatchewan qui risquent de perpétuer les cycles générationnels de stress et qui luttent dans leurs communautés contre l’intimidation, les abus physiques, mentaux et émotionnels et l’exploitation sexuelle.

Pour ce faire, le projet comprendra le recrutement et la formation du personnel à la méthode de thérapie Heartbeat Trauma Release, le recrutement de participants autochtones, l’adaptation de la méthode HTR, l’offre de conseils individuels et de thérapies de groupe dans le cadre de camps de guérison, la collecte des réactions et des recommandations des participantes et participants de l’évaluateur externe, la création d’un manuel et l’organisation d’une réunion pour toutes les participantes et tous les participants. Un évaluateur externe mesurera et évaluera l’impact de la pratique prometteuse tout au long du cycle de vie du projet.

Le Métis Central Western Region 2 Council Incorporated partagera les résultats avec le Centre du savoir sur la violence fondée sur le sexe, organisera une grande réunion et invitera toutes les participantes et tous les participants des quatre cohortes à partager leurs expériences ainsi que des informations sur les pratiques prometteuses afin qu’ils puissent les reproduire ou les développer.