Subventions et contributions gouvernementales

Subvention accordée dans le cadre du Programme d’aide financière aux participants à Kashechewan First Nation pour les aider à se préparer et à participer aux activités de consultation des Autochtones et de participation du public liées au processus d’évaluation pour l'évaluation régionale dans la région du Cercle de feu du Projet Cercle de feu.

Les recherches portent sur l’élaboration d’une approche méthodique plus poussée à la surveillance de l’état des infrastructures ferroviaires qui fera appel à l’intelligence artificielle afin d’atténuer le risque que de telles infrastructures défaillent. Le projet verra le développement d’un outil axé sur l’IA qui améliorera les systèmes qui surveillent l’état des ouvrages ferroviaires. Le nouvel outil produira des prévisions à court et à long terme sur la température des rails, paramètre crucial pour la sécurité des voies ferrées. Il recourra pour cela à l’intelligence artificielle, en combinant les observations historiques sur les conditions climatiques et météorologiques aux techniques informatiques. On pourra l’alimenter avec des projections à court et à long terme des conditions climatiques de manière à avoir une idée de la variation de la température des rails et de ses répercussions sur la sûreté des ouvrages ferroviaires.

Ce projet s’attaque aux principales difficultés que posent les réseaux classiques de mise en forme de faisceaux (BFN) utilisés dans l’espace pour les antennes réseau à commande de phase, répandues dans les projets récents de constellations de satellites peu coûteux en orbite basse (LEO). Il évaluera la faisabilité du recours à des circuits photoniques intégrés pour la mise en place d’une architecture de BFN novatrice. Un degré plus haut d’intégration des circuits photoniques réduit les dimensions et le prix des réseaux BFN. Il autorise en outre la temporisation vraie qui élimine l’effet de la fréquence sur la formation des faisceaux. Les performances des larges bandes passantes seront grandement améliorées sur de grands angles de balayage pour le fonctionnement en orbite basse.

Les réseaux satellitaires de la prochaine génération devraient se caractériser par des liens inter-satellite à très haute vitesse. Pour être efficaces, ces réseaux devront être autonomes, intelligents, résilients, auto-organisés et autorégulés, dans la mesure du possible, pour réduire les coûts et les risques des interventions humaines dans ces environnements très complexes. La prise de décisions distribuée, le rétablissement après défaillance, la résilience et l’évolutivité comptent parmi les caractéristiques importantes des réseaux satellitaires envisagés. Le projet s’appuiera sur l’intelligence artificielle (IA) à toutes les étapes de sa réalisation, y compris pour les opérations menées au sol et dans l’espace, les communications inter-satellite (par optique sans fil) et les liens des satellites au sol (radiofréquences (RF) et/ou optique sans fil), pour régler les problèmes de gestion de la mobilité et de routage des réseaux satellitaires de la prochaine génération.

Les émetteurs de photons uniques et intriqués ainsi que les détecteurs de photons uniques sont essentiels pour les technologies quantiques de cybersécurité, de communication et de traitement de l’information. Le projet vise à long terme la mesure directe de la puissance optique émise par une source de photons uniques à nanofils au niveau primaire, à l’aide d’un capteur absolu de radiomètre bolométrique planaire. Cela permettra ainsi une mesure de la puissance optique traçable au Système international d’unités (SI) des photons d’une source de photons uniques. Pour faciliter l’optimisation du système de mesure, un détecteur de photons uniques utilisant des nanofils supraconducteurs (SNSPD) sera conçu et fabriqué pour être intégré à l’appareil de mesure. Le projet soutient la mise au point de sources et de détecteurs quantiques de première génération pour les prochaines normes de télécommunication.

La grande majorité des patients qui sont amputés d’une partie ou de la totalité d’un de leurs membres inférieurs ou supérieurs souffrent de l’incapacitante douleur du membre fantôme. Lorsqu’elle apparaît immédiatement après l’amputation, cette douleur a de fortes chances de devenir chronique. Les traitements utilisés de nos jours pour y remédier sont limités. Des études ont montré que des exercices de simulation du membre manquant pourraient être utiles pour réduire les sensations de douleur. Dans cette optique, la réalité virtuelle constitue un moyen innovant de simuler le membre manquant. Le CNRC prévoit de développer une technologie innovante pour simuler le membre manquant. Nous trouverons des partenaires pour les patients souffrant de la douleur du membre fantôme et le CNRC travaillera avec eux pour développer la technologie. Nous mettrons sur pied des groupes de discussion pour recueillir la rétroaction des patients et éclairer ainsi le développement de la technologie. Une fois cette nouvelle technologie mise au point, nous effectuerons une étude de faisabilité auprès de personnes subissant l’amputation d’un membre inférieur afin d’évaluer l’utilité et l’acceptabilité de la technologie durant la période postopératoire à l’hôpital. Lors de leur sortie de l’hôpital, les patients seront invités à répondre à un interview semi-structuré et feront l’objet d’un examen quantitatif.

Ce projet permettra au Réseau canadien d'innovation en alimentation de soutenir l'innovation autour de trois priorités :
1) le développement de produits et de processus intelligents ;
2) la durabilité de l'écosystème alimentaire ;
3) des chaînes d'approvisionnement agiles et sécuritaires.

N'est pas un projet (mandaté ou financement de base)

Renforcer les réponses aux problèmes de consommation de drogues et de substances au Canada.

À améliorer la qualité des services de soins de santé en renforçant la coordination du système en ce qui a trait à la sécurité des patients et favoriser l’innovation dans les soins dans santé afin d’aider à faire avancer la prestation de soins de santé de qualité supérieure ainsi que d’accroître l’efficience du système de santé.