Subventions et contributions gouvernementales

Le Fonds de soutien à la recherche (FSR) aide les universités, les collèges, les hôpitaux et les instituts de recherche qui leur sont affiliés à maintenir un milieu de recherche qui leur permet d’optimiser l’utilisation des fonds investis par le gouvernement fédéral, par l’intermédiaire des organismes subventionnaires, dans la recherche académique.

Le Fonds de soutien à la recherche (FSR) aide les universités, les collèges, les hôpitaux et les instituts de recherche qui leur sont affiliés à maintenir un milieu de recherche qui leur permet d’optimiser l’utilisation des fonds investis par le gouvernement fédéral, par l’intermédiaire des organismes subventionnaires, dans la recherche académique.

Le Fonds de soutien à la recherche (FSR) aide les universités, les collèges, les hôpitaux et les instituts de recherche qui leur sont affiliés à maintenir un milieu de recherche qui leur permet d’optimiser l’utilisation des fonds investis par le gouvernement fédéral, par l’intermédiaire des organismes subventionnaires, dans la recherche académique.

Le Fonds de soutien à la recherche (FSR) aide les universités, les collèges, les hôpitaux et les instituts de recherche qui leur sont affiliés à maintenir un milieu de recherche qui leur permet d’optimiser l’utilisation des fonds investis par le gouvernement fédéral, par l’intermédiaire des organismes subventionnaires, dans la recherche académique.

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Le programme de financement de la recherche

Ce projet d'une durée de 7 mois vise à honorer la vie et la mémoire des personnes LGBTQ2S autochtones disparues ou assassinées. Il permettra aussi de sensibiliser davantage la population à leur sujet. Les activités prévues dans le cadre de ce projet incluent : travail avec les familles en vue de la détermination des besoins de sécurité pour la communauté LGBTQ2S autochtones; création de ressources qui les aideront à choisir comment rendre hommage à leurs proches disparus ou assassinés. Ce projet se déroulera à Dryden, en Ontario, et dans quatre collectivités abritant des centres d’amitié.

Élaboration d’un plan de mise en œuvre du projet pour instaurer et mettre à l’essai un processus d’inclusion favorisant l’égalité des sexes pour les communautés LGBTQ2 et les victimes non binaires de la violence sexiste afin de combler les lacunes dans la prestation de services à cette communauté mal desservie.

Ce projet d’une durée de 36 mois répondra aux besoins de capacité organisationnelle pour permettre au Congrès des peuples autochtones, à ses affiliés provinciaux et aux organismes autochtones partenaires de continuer à promouvoir le changement social et systémique vers l’égalité des genres. L’organisme entreprendra des recherches et analysera les résultats du projet afin de découvrir les éléments nécessaires au maintien de l’utilisation des ressources et des outils en matière d’égalité des genres au-delà du cycle de vie du financement. Les conclusions permettront de créer un « Guide de la durabilité » ainsi qu’un « Guide de l’égalité des genres », de concert avec des organismes participants formés et soutenus pour mettre en œuvre les stratégies dans le cadre de l’élaboration de programmes en cours.

Ce projet d’une durée de 36 mois répondra aux besoins en matière de capacité organisationnelle pour permettre à l’Association nationale des centres d’amitié et à ses membres de continuer à promouvoir le changement social et systémique vers l’égalité des sexes. Une série d’activités sera entreprise pour renforcer les capacités nationales, provinciales-territoriales et locales. Celle-ci comprendra la formation et de la recherche pour guider la création de manuels pédagogiques qui présentent les meilleures pratiques en matière de leadership, de gouvernance de conseil, d’analyse comparative entre les sexes propre aux Autochtones et de création de partenariats, de collaboration et de réseautage. Ces activités cibleront particulièrement les femmes autochtones exerçant une fonction de leadership, qui représentent 70 % des directrices des centres d’amitié au Canada. Ils maintiendront aussi les mécanismes de soutien par la création d’un réseau de leadership pour les femmes autochtones en milieu urbain.