Subventions et contributions gouvernementales

Les connaissances traditionnelles des Inuits sont utilisées pour cerner les lacunes en matière de connaissances dans les activités liées aux aliments traditionnels dans plusieurs collectivités de l’île de Baffin, au Nunavut. Les liens avec la culture et la formation des jeunes favoriseront la durabilité et la prise de décision.

Cette étude s’appuiera sur la formation dispensée par le Programme communautaire de surveillance aquatique du Nunavut pour intégrer l’utilisation de dispositifs de technologie satellite inReach et d’une « application d’évaluation des pêches » spécialement conçue pour faciliter la surveillance et l’évaluation des pêches de subsistance et commerciales ainsi que l'établissement de rapports à ce sujet. Ces informations seront automatiquement téléchargées dans un atlas des pêches du Nunavut, accessible par navigateur Web. Le projet vise à renforcer les capacités locales en matière de biosurveillance, d’intendance et de gestion des données, afin de permettre une participation accrue à la cogestion et une meilleure préparation aux impacts des changements climatiques sur la disponibilité de la nourriture, la migration de la faune et les récoltes durables.

La dynamique des populations de grizzlis dans la région de Kitikmeot, au Nunavut, sera évaluée, ainsi que son lien avec les aires de mise bas des caribous.

Les collectivités de la région de Kitikmeot Est étudient la sécurité des aliments prélevés dans la nature dans le contexte des changements qui touchent le climat et les modèles de glace de mer. Les mammifères marins et le caribou sont des sources de nourriture prioritaires et revêtent une importance culturelle.

Hilap Aulaaniit Qanuq Atayut (Le monde et ses liens) est une approche inuite de la production de connaissances environnementales qui combine les ressources, l’expertise et la passion de quatre collectivités parlant l’inuinnaqtun, soient Cambridge Bay, Kugluktuk, Gjoa Haven et Uluhaktok, en vue de l’élaboration et de l’application d’un lexique environnemental en langue inuinnaqtun. Ce projet réunira les derniers experts linguistiques de l’inuinnaqtun qui seront chargés de consigner par écrit les connaissances détaillées des Inuinnaits sur le monde naturel, tout en tenant compte du fait que l’inuinnaqtun – qui constitue le fondement de la culture inuinnaite – est couramment parlé par moins de 600 personnes. La Pitquhirnikkut Ilihautiniq/Kitikmeot Heritage Society (PIKHS) s’appuiera sur un partenariat existant de linguistes et de chercheurs inuinnaits pour planifier, coordonner, exécuter et évaluer une approche culturellement intégrée à la documentation des connaissances environnementales en inuinnaqtun.

Notre objectif est de renforcer les capacités des Nunavummiuts à participer à des recherches sur le Nord et à diriger de telles recherches dans les domaines de la santé, du bien-être, des changements climatiques et de l’environnement, des sciences sociales, et du savoir et de la philosophie de recherche inuites. Trois centres de recherche travailleront en partenariat avec l’Institut de recherche du Nunavut et le Collège de l’Arctique du Nunavut pour offrir une série de cours d’été de formation à la recherche et des instituts de recherche en format réduit à l’hiver, destinés aux jeunes, aux étudiants du secondaire et du postsecondaire et aux diplômés du Nunavut, ainsi qu’aux membres de la collectivité qui souhaitent y participer. Des activités de plusieurs jours seront organisées à Iqaluit, à Arviat et à Clyde River, et se concentreront sur les compétences de base en recherche sur le Nord.

Le Consortium de la baie d’Hudson (CBH) encourage et facilite la communication, la coopération et la collaboration intergouvernementales et interculturelles dans la recherche de connaissances et de moyens pour protéger, améliorer et gérer le grand écosystème de la baie d’Hudson et de la baie James pour le plus grand bénéfice des personnes, de la flore et de la faune qui y vivent. Le CBH facilite le partage actif et continu des connaissances et le renforcement des capacités entre les représentants communautaires et régionaux, les gouvernements et les organisations par le biais de réunions régulières, de groupes de travail et de nouveaux outils et services en ligne, afin de soutenir les efforts régionaux en matière de planification, de coordination et d’intendance. Le CBH facilitera le processus de transition, depuis les activités de démarrage à la mise en œuvre des priorités, des opérations et de la planification stratégique, ce qui inclut la tenue de tables rondes régionales tous les deux ans et d’un deuxième sommet de la baie d’Hudson en 2022 dans le but d’orienter les travaux des groupes de travail, du comité directeur et du secrétariat.

L'objectif du projet est de renforcer les capacités des Nunavummiuts à participer à des recherches sur le Nord et à diriger de telles recherches dans les domaines de la santé, du bien-être, des changements climatiques et de l’environnement, des sciences sociales, et du savoir et de la philosophie de recherche inuites. Trois centres de recherche travailleront en partenariat avec l’Institut de recherche du Nunavut et le Collège de l’Arctique du Nunavut pour offrir une série de cours d’été de formation à la recherche et des instituts de recherche en format réduit à l’hiver, destinés aux jeunes, aux étudiants du secondaire et du postsecondaire et aux diplômés du Nunavut, ainsi qu’aux membres de la collectivité qui souhaitent y participer. Des activités de plusieurs jours seront organisées à Iqaluit, à Arviat et à Clyde River, et se concentreront sur les compétences de base en recherche sur le Nord.

Faciliter la formation d’un réseau de recherche pour soutenir la vision de la communauté pour la protection du Grand lac de l’Ours, en répondant aux besoins et aux priorités de recherche déterminés par la communauté. Renforcer les capacités de la communauté en matière de recherche et de surveillance du Grand lac de l’Ours et de son bassin versant par l’entremise de camps et d’ateliers sur le terrain, en augmentant le rôle que Délı̨nę joue dans la surveillance du Grand lac de l’Ours. Nous créerons une base de données des études passées, des données disponibles et des futures données de surveillance environnementale afin de déterminer les conditions de référence du lac.

Le financement reçu sera distribué aux étudiants admissibles pour aider à compenser les coûts élevés de la recherche dans le Nord.