Subventions et contributions gouvernementales

Ce projet appuiera la réalisation de patrouilles par des gardiens dans la région désignée des Inuvialuit en finançant l’achat de systèmes GPS, d’appareils de technologie solaire et d’autres fournitures essentielles. De plus, des festins communautaires seront organisés deux fois par année à Aklavik, dans les Territoires du Nord-Ouest, pour faire le point sur l’élaboration du programme de gardiens et du programme d’intendance d’Aullaviat/Aungunairvik. Les patrouilles et les activités liées à ce projet visent surtout l’aire de conservation traditionnelle d’Aullaviat/Aungunairvik, dans la partie Est du versant Nord du Yukon.

Ce projet est basé au Yukon et a pour but d’y créer un environnement réseau pour la recherche sur la santé des Autochtones (ERRSA), environnement dirigé par des Aînés des Premières Nations du Yukon, des experts et des chercheurs communautaires. Le projet renforcera la recherche en santé menée par les Premières Nations du Yukon en créant un espace de travail collaboratif, ancré dans les connaissances et valeurs des Autochtones du Yukon, sur des priorités communes, des questions d’éthique, des formations et des activités de gouvernance. Le financement de POLAIRE aidera à la consultation de Premières Nations du Yukon pour orienter l’élaboration de méthodes de recherche ainsi que des initiatives de mentorat et de formation pour les futurs chercheurs en santé autochtone.

Le Conseil de gestion de la harde de caribous de la Porcupine dirige la dernière étape de la création du plan de conservation de la harde de caribous de la Porcupine pour assurer la survie à long terme des animaux ainsi que soutenir les collectivités qui en dépendent. Le plan intègrera des connaissances autochtones et scientifiques de même que les commentaires de huit collectivités yukonnaises et ténoises (Old Crow, Dawson, Mayo, Aklavik, Fort McPherson, Tsiigehtchic, Inuvik et Tuktoyaktuk) pour tenir compte des priorités et des expériences qui ont été mentionnées. Les efforts concertés menés dans le cadre du projet s’attaquent aux pressions croissantes en matière d’environnement et de développement en plus de faire la promotion de l’intendance et du leadership autochtones pour protéger la harde de caribous et son habitat.

Le projet porte principalement sur le Camp scientifique et culturel sur la toundra, un programme éducatif en plein air (huit jours) destiné aux étudiants du secondaire et aux éducateurs des Territoires du Nord-Ouest. Le programme est offert chaque été, à la Station de recherche des écosystèmes de la toundra, située au lac Daring. Créé en 1995 à la suite d’un partenariat entre le gouvernement des Territoires du Nord-Ouest et le gouvernement tłı̨chǫ, le Camp offre à ses participants une immersion dans un environnement d’apprentissage interactif, dans l’écozone du Bas-Arctique. Il enseigne un mélange de connaissances scientifiques et traditionnelles et propose aussi des séances d’apprentissage dirigées par des chercheurs et des éducateurs du Nord de même que des détenteurs de savoir tłı̨chǫ. Les participants explorent l’écologie, la faune, la flore et l’histoire culturelle de la toundra en prenant part à des recherches par enquête, à des activités traditionnelles et à différents loisirs. Le Camp scientifique et culturel sur la toundra met l’accent sur l’apprentissage interculturel et stimule l’intérêt pour les études environnementales et interdisciplinaires.

Ce projet de recherche s’attaque aux préoccupations des collectivités du Nunatsiavut, au Labrador, par rapport à la santé, à la disponibilité et à l’exposition aux contaminants des phoques annelés (Natsik) et des ours polaires (Nanuk), deux espèces touchées par les changements climatiques. À l’aide de données historiques et de nouvelles données obtenues sur le terrain, l’étude examinera comment les changements environnementaux des 30 dernières années ont modifié l’alimentation et l’exposition aux contaminants – surtout le mercure – de ces prédateurs de l’Arctique. Le projet a été lancé pour répondre aux priorités de la collectivité. Il appuie la sécurité alimentaire des Inuit, oriente la planification des efforts de conservation en vertu de la Loi sur les aires marines nationales de conservation du Canada et renforce la recherche et la gouvernance communautaires dans la région.

Le projet appuiera la participation à la table du Comité national Inuit Qaujisarvingat (CNIQ), les activités liées à la mise en œuvre de la Stratégie nationale inuite sur la recherche (SNIR), ainsi que d’autres activités de renforcement des capacités de recherche et de mobilisation sur les priorités régionales de la science dans l’Arctique, selon les besoins. Afin de renforcer la capacité de recherche dans l’Inuit Nunangat, le projet comprendra l’administration de la recherche et des fonctions opérationnelles selon les besoins, la gestion du personnel de recherche et des ressources dans la région, la réalisation d’évaluations régionales liées aux appels de propositions de Savoir polaire Canada (POLAIRE) passés et futurs, et la participation à la table de décision de l’Inuit Nunangat 2026 pour les projets 2027-2030.

Le projet appuiera la participation à la table du Comité national Inuit Qaujisarvingat (CNIQ), les activités liées à la mise en œuvre de la Stratégie nationale inuite sur la recherche (SNIR), ainsi que d’autres activités de renforcement des capacités de recherche et de mobilisation sur les priorités régionales de la science dans l’Arctique, selon les besoins. Afin de renforcer la capacité de recherche dans l’Inuit Nunangat, le projet comprendra l’administration de la recherche et des fonctions opérationnelles selon les besoins, la gestion du personnel de recherche et des ressources dans la région, la réalisation d’évaluations régionales liées aux appels de propositions de Savoir polaire Canada (POLAIRE) passés et futurs, et la participation à la table de décision de l’Inuit Nunangat 2026 pour les projets 2027-2030.

Le projet appuiera la participation à la table du Comité national Inuit Qaujisarvingat (CNIQ), les activités liées à la mise en œuvre de la Stratégie nationale inuite sur la recherche (SNIR), ainsi que d’autres activités de renforcement des capacités de recherche et de mobilisation sur les priorités régionales de la science dans l’Arctique, selon les besoins. Afin de renforcer la capacité de recherche dans l’Inuit Nunangat, le projet comprendra l’administration de la recherche et des fonctions opérationnelles selon les besoins, la gestion du personnel de recherche et des ressources dans la région, la réalisation d’évaluations régionales liées aux appels de propositions de Savoir polaire Canada (POLAIRE) passés et futurs, et la participation à la table de décision de l’Inuit Nunangat 2026 pour les projets 2027-2030.

Cette proposition vise à favoriser un partenariat solide et fructueux entre l’ITK et POLAIRE, qui est assorti de suffisamment de ressources. En améliorant la capacité de coordination de la recherche de l’ITK, cette initiative garantira que la recherche menée dans l’Inuit Nunangat s’aligne sur les priorités des Inuit, telles qu’elles sont définies dans la Stratégie nationale inuite sur la recherche. La formation et le renforcement des capacités feront partie intégrante du partenariat pour garantir le maintien du leadership et de la participation durables des Inuit à la recherche.

En collaboration avec le Northwest Territories Geological Survey et l’Institut de recherche Aurora, la Commission inuvialuit d’administration des terres organisera un atelier de quatre jours pour établir un réseau de surveillance du pergélisol pour l’Arctique de l’Ouest à Inuvik, dans les Territoires du Nord-Ouest. L’atelier vise à élaborer conjointement un document de planification qui établit un cadre de haut niveau pour les priorités, les partenariats et la définition des besoins techniques et opérationnels pour un réseau efficace et durable de surveillance du pergélisol.