Subventions et contributions gouvernementales

Le projet comblera les lacunes en matière de soutien adapté aux victimes de violence conjugale qui ont subi des traumatismes crâniens grâce à l’élaboration d’un outil de connaissance fondé sur des données probantes à l’usage du personnel de première ligne.

Ce projet de 60 mois développera et testera un modèle de pratique permettant d’accroître la sécurité et le bien-être des enfants et de leur mère ainsi que d’améliorer les interventions des services de protection de la jeunesse en cas de violence familiale.

Ce projet d’une durée de 60 mois portera sur les besoins en matière de capacité organisationnelle afin de permettre à l’organisation de continuer à autonomiser les immigrantes, les femmes et les filles migrantes et à promouvoir l’égalité entre les sexes. La capacité organisationnelle sera renforcée grâce aux activités suivantes : élargissement de la gouvernance du conseil d’administration; planification stratégique; élaboration d’une approche de l’ACS+ en matière de défense des droits; diversification des sources de financement; et établissement de partenariats.

Des fonds supplémentaires ont été alloués pour renforcer davantage la capacité interne, pour embaucher une employée ou un employé à temps partiel pour répondre à la demande croissante de services et pour renforcer la capacité du secteur tout en continuant d’établir des partenariats.

La prolongation de la durée et les fonds supplémentaires permettront à l’organisme de renforcer sa présence auprès des coalitions dans le secteur, et de développer des partenariats et des réseaux culturels formels et informels pour les femmes immigrantes et migrantes en Nouvelle Écosse.

Ce projet d’une durée de 48 mois portera sur les besoins en matière de capacité organisationnelle afin de permettre à l’organisation de continuer à autonomiser les immigrantes, les femmes et les filles migrantes et à promouvoir l’égalité entre les sexes. La capacité organisationnelle sera renforcée grâce aux activités suivantes : élargissement de la gouvernance du conseil d’administration; planification stratégique; élaboration d’une approche de l’ACS+ en matière de défense des droits; diversification des sources de financement; et établissement de partenariats.

Le projet évaluera officiellement le programme destiné aux femmes métisses et autochtones de la société Bridges for Women afin d’accroître la disponibilité de services sécuritaires, centrés sur les femmes et culturellement sécuritaires et tenant compte des traumatismes, ainsi que de combler les lacunes en matière de soutien pour améliorer les services destinés aux femmes métisses et des Premières Nations vivant dans une réserve ou hors réserve.

Ce projet mettra à l’essai l’efficacité du modèle d’intervention fondé sur des données probantes, Model de rétablissement post-traumatique et d’autonomisation (TREM), auprès de la population des femmes ayant subi des traumatismes complexes et ayant des antécédents dans le système de justice pénale à Toronto.

Le projet créera et mettra à l’essai un protocole de visites à domicile combinant la sécurité culturelle et une approche fondée sur les traumatismes dans le dépistage de la violence et la mise en relation des survivantes de violence fondée sur le sexe (VFS) ethoculturelles et de leurs enfants avec des services de soutien.

Ce projet permettra de mettre à l’essai et d’évaluer le modèle de prestation de services global, propre aux Inuits, basé sur la force et les traumatismes, offert aux femmes inuites victimes de violence fondée sur le sexe (VFS) et à leur famille à Ottawa.

Le projet consistera à adapter et tester un modèle de soutien multidimensionnel, connu sous le nom d’«approche de graduation», afin d’améliorer le soutien qui est offert aux femmes nouvellement arrivées survivantes de violence fondée sur le sexe. Les activités du projet permettront d’aider ces femmes et leurs enfants à surmonter leur situation de fragilité, augmenter leurs facteurs de protection et développer leur autonomie dans plusieurs aspects de leurs vies.

Ce projet d'une durée de 60 mois testera l’efficacité du modèle d’intervention fondée sur des données probantes, le Modèle de rétablissement post-traumatique et de renforcement de l’autonomie (Trauma Recovery and Empowerment Model) sur les femmes souffrant d’un traumatisme complexe et ayant eu affaire au système de justice pénale.