Subventions et contributions gouvernementales

Jour du Souvenir 2024 – Cloverdale, C.
B.

Char Sherman M4A2

Cénotaphe de la Légion de Wakaw

Commémoration du 80e Jour J - Toronto

Dans le cadre de ce projet de 27 mois, l’Institut canado-arabe mènera un projet de recherche collaboratif et communautaire afin d’améliorer l’accès aux services de prévention et d’intervention en matière de violence fondée sur le sexe (VFS) pour les femmes appartenant au groupe d'immigrants qui connaît la croissance la plus rapide au Canada, la communauté canado-arabe. Le projet comblera les lacunes en matière de connaissances sur leurs besoins et leurs expériences, ainsi que sur la prévalence et les manifestations systémiques de la VFS au sein de la communauté. Il évaluera également la relation entre les prestataires de services et les personnes survivantes au moyen des mécanismes de prévention, d’atténuation, d’intervention et de soutien existants et déterminera les approches privilégiées et les mesures d’adaptation nécessaires pour les personnes survivantes et les femmes à risque, en tenant compte des facteurs intersectionnels. À la fin du projet, des événements seront organisés et des produits seront développés pour communiquer les résultats de la recherche au sein de la communauté et du secteur de la VFS.

Ce projet de 29 mois favorisera une réponse et une relance féministes à la suite des répercussions actuelles de la COVID-19, grâce à des changements systémiques. Le Conseil National des Musulmans Canadiens y parviendra en luttant contre les obstacles systémiques à l’emploi auxquels les femmes musulmanes sont confrontées au Québec.

À la fin du projet, l’organisation aura contribué à la lutte contre les obstacles systémiques, en recueillant, examinant et diffusant des données qualitatives et quantitatives sur les expériences des femmes musulmanes québécoises, étant donné que leurs possibilités d’emploi ont été doublement touchées par l’aspect discriminatoire du projet de loi 21 et par la pandémie de COVID-19.

Ce projet d’une durée de 13 mois permettra de renforcer la capacité et les réseaux de l’Association professionnelle canadienne pour la santé transgenre (CPATH) afin de promouvoir l’égalité des personnes LGBTQ2. Pour ce faire, on renforcera l’infrastructure organisationnelle, on accentuera la capacité du conseil d’administration et on mettra à jour le plan stratégique afin d’accroître la capacité interne et de soutenir la viabilité; on offrira des possibilités de collaboration pour renforcer les réseaux grâce aux comités et aux plans de mobilisation afin d’accroître le nombre de membres et la mobilisation communautaire. Ce projet accordera la priorité à mobiliser les personnes racialisées et moins privilégiées issues des communautés transgenres et on appuiera la planification conjointe et la participation des communautés.

Le financement supplémentaire servira à embaucher une consultante ou un consultant pour produire un véhicule de connaissances multimédias accessible qui comprend des représentations pertinentes pour les objectifs du projet FEGC de l’Association canadienne des professionnels en santé des personnes transsexuelles, qui consiste à améliorer la capacité communautaire, en particulier auprès des communautés bispirituelles, afro-autochtones, noires et racisées, trans et de genres divers conjointe et la participation des communautés.

Grâce à ce projet pancanadien de 32 mois axé sur le changement systémique, le Centre canadien pour l’autonomisation des femmes abordera les obstacles systémiques qui nuisent à la sécurité économique et à la prospérité des femmes et des personnes 2ELGBTQI+ survivantes de violence fondée sur le sexe au sein du secteur du tourisme et de l’hôtellerie.

Le projet cherchera à mobiliser les décisionnaires politiques pour éliminer les disparités raciales et liées au genre en apportant des changements permettant d’harmoniser les politiques actuelles avec les conventions internationales sur les droits de la personne (Convention des Nations Unies sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et Déclaration de Beijing), en s’attaquant aux effets discriminatoires du programme d’assurance-emploi sur les femmes, en particulier les mères célibataires, et en renforçant la réglementation du travail pour rendre les milieux de travail plus inclusifs pour les personnes survivantes.

Le projet permettra de réaliser des analyses du contexte et des forces, faiblesses, possibilités et menaces du secteur du tourisme et de l’hôtellerie pour comprendre les obstacles à l’emploi pour les femmes, mener des consultations et élaborer des politiques inclusives qui abordent les écarts salariaux entre les genres, les attitudes discriminatoires, la sécurité au travail pour les personnes survivantes et les possibilités de leadership pour les femmes.

De plus, le projet s’attaquera aux barrières à l’accès aux micro-prêts et aux pratiques de prêt aux personnes survivantes propriétaires d’entreprises en collaborant avec des institutions financières et des programmes de prêts pour mettre en œuvre des politiques inclusives. Le projet favorisera et renforcera les partenariats entre divers secteurs en mettant en œuvre des politiques sensibles à l’ACS Plus, en impliquant des personnes de divers horizons intersectionnels dans le processus décisionnel et en encourageant une mobilisation communautaire significative pour améliorer les efforts en matière de sécurité et de prospérité économique. Enfin, un évaluateur externe mesurera et évaluera l’impact de ce projet de changement systémique.

Dans le cadre de ce projet de changement systémique de 33 mois, la Black Canadian Women in Action Society aidera à faire progresser la représentation aux postes de responsabilité et de décision grâce à un changement systémique.

Grâce à ce projet d’'une durée de 33 mois, l’Association canadienne des femmes en communications et technologie (WCT-FCT) contribuera à faire progresser la sécurité et la prospérité économiques des femmes grâce à des changements systémiques. Plus précisément, le projet s’attaquera aux obstacles systémiques en traitant les causes profondes des inégalités dans les milieux de travail auxquelles sont confrontées les femmes dans le secteur de l'information, des communications et des technologies, ainsi que dans les secteurs adjacents. Le projet prévoit de développer une approche structurée destinée à faciliter la collaboration et le partage des connaissances à l'échelle du secteur, de responsabiliser les employeurs, de cibler les femmes mal desservies et de renforcer les capacités afin de s'assurer que tous les employeurs disposent des outils et des ressources nécessaires pour susciter un changement significatif. Une évaluatrice ou un évaluateur externe mesurera et évaluera l’impact du projet de changement systémique.