Subventions et contributions gouvernementales

élaborer un plan d'adoption numérique

élaborer un plan d'adoption numérique

La planification du projet comprendra la création de plans conceptuels qui soulignent l’importance du transport actif, de l’environnement et de l’éducation.

Ce projet sera axé sur l’élaboration d’une stratégie complète de signalisation et d’un plan de mise en œuvre pour la ville de Saugeen Shores.

Rénovation d'un centre de santé et de loisirs autochtone à Mississaugas de la Première nation de Scugog Island, en Ontario, pour soutenir les services de santé communautaire, sociaux, éducatifs et pour la jeunesse.

Le projet vise à améliorer les résultats en matière d'éducation pour les filles et les adolescentes réfugiées, déplacées à l'intérieur du pays ou issues des communautés d'accueil dans les contextes humanitaires, post-conflit et dans les pays d'accueil. Pour ce faire, le projet se concentre sur la violence qui pourrait empêcher leur capacité à accéder à une éducation sûre et de qualité. Alignée sur le projet Données pour le changement I, cette prochaine phase de travail prévoit d'atteindre ce résultat en améliorant l'utilisation d'informations fondées sur des données probantes et axées sur des solutions pour fournir une éducation formelle et non formelle accessible, de haute qualité, sensible au genre et innovante aux filles réfugiées, déplacées à l'intérieur de leur pays et des communautés d'accueil par les gouvernements, les donateurs et d'autres parties prenantes clés. Les activités du projet donnent la priorité aux pays où se trouvent des réfugiés et autres populations déplacées de force, notamment l'Ouganda, le Kenya, le Honduras et la Colombie. Au niveau régional, il intervient en Amérique latine et en Afrique sub-saharienne.

Les activités du projet comprennent : 1) la fourniture d'une assistance technique pour la mise en œuvre de l'enquête sur la violence contre les enfants dans les situations humanitaires en Ouganda, en accordant une attention particulière à la violence sexuelle et fondée sur le genre et aux obstacles à l'éducation des filles; 2) la diffusion des résultats de l'enquête sur la violence contre les enfants dans les situations humanitaires auprès des principales parties prenantes du secteur humanitaire; 3) la fourniture d'une assistance technique au gouvernement du Honduras et de la Colombie pour la mise en œuvre de stratégies et de plans d'action locaux visant à prévenir et à répondre à la violence contre les filles et les adolescentes, en se concentrant sur les plus vulnérables (ex : les personnes déplacées à l'intérieur de leur pays, les réfugiés et les familles touchées par les migrations); 4) l'animation d'ateliers sur le militantisme fondé sur les données afin de soutenir le plaidoyer sur les questions relatives à la violence sexuelle et fondée sur le genre, à l'éducation et à l'autonomisation des filles avec des adolescentes et des jeunes femmes des pays d'Amérique latine sélectionnés; 5) le pilotage d'interventions de prévention et de réponse à la violence sexuelle et fondée sur le genre en milieu scolaire dans certains districts du Kenya; 6) le soutien des efforts de plaidoyer mondiaux et régionaux en Amérique latine et en Afrique subsaharienne afin de faire progresser les efforts de plaidoyer locaux sur l'autonomisation des filles, l'éducation et la violence fondée sur le genre en milieu scolaire.

Ce projet permet la mise en place d’un centre de formation régional en Afrique australe, qui vise à renforcer les capacités des États de cette région en matière de biosécurité et de biosûreté. Il soutient l’initiative phare visant à atténuer les menaces biologiques en Afrique, une collaboration entre le Partenariat mondial contre la prolifération des armes de destruction massive et des matières connexes, dirigé par le G7, et les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies.

Prévu sur une durée de 2 ans, le projet visera spécifiquement à augmenter le pouvoir des femmes et des filles LBTQI au niveau national (au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire et au Sénégal), au niveau régional en Afrique de l’Ouest, et au niveau international en favorisant l’intégration des voix des femmes et filles LBTQI d’Afrique de l’Ouest dans les espaces internationaux de concertation et de mobilisation, comme le système onusien et les réseaux internationaux tels qu’ILGA.
Le projet part de l’hypothèse que la santé et le bien-être des femmes et des filles LBTQI seront améliorés si le pouvoir de ces dernières est soutenu, en particulier par l’amélioration de l’offre de services de santé adaptés à leurs besoins et intérêts spécifiques, l’augmentation de leurs capacités d’organisation collective, et l’accroissement des échanges au niveau national, régional et international.

Ce projet consiste à mettre au point un banc d'essai pour la liaison d’une station optique terrestre avec une plateforme à haute altitude (HAP). Les liaisons optiques sol-ballon créeront des paires d'émetteurs-récepteurs en bande C (1550 nm) et dans l’infrarouge moyen (MWIR) entre une HAP et une station optique terrestre. Le banc d'essai permettra de tester sur le terrain les composants optiques qui seront utilisés dans les SatCom optiques pour les liaisons en bande C et dans l’infrarouge moyen. Ces données seront précieuses pour les partenaires du Consortium OSC, ainsi que pour l’ensemble de la communauté scientifique. Il sera aussi très probablement envisageable d'utiliser la station terrestre pour recueillir des données sur la scintillation atmosphérique et sur les effets des conditions météorologiques sur les liaisons optiques NIR/MWIR au Canada.

Le projet soutiendra le développement de la capacité de propriété intellectuelle au sein de l’entreprise