Subventions et contributions gouvernementales

Améliorer les sentiers et les commodités du parc Little Lake.

Achat et mobilisation de deux perceuses et d'équipement aux technologies propres supplémentaires.

Élaborer une stratégie économique et une stratégie pour les fuites.

Ce projet vise à améliorer l'efficacité énergétique au Canada dans le secteur résidentiel.

Modèles génératifs pour les composants photoniques intégrés — conception et mise en œuvre d’une nouvelle approche générateur-discriminateur

Embauche d'un ou d'une jeune pour participer au développement d'une application logicielle

Ce projet se concentrera sur l’adaptation d’un cadriciel général d’apprentissage en vue d’améliorer une méthode de conception pour les nanocomposants photoniques. De nouvelles techniques d’optimisation comme la conception inversée en nanophotonique promettent de réduire passablement la taille des composants en silicium sans que leurs fonctionnalités et leur performance en souffrent. Bien que des publications confirment la miniaturisation de divers dispositifs d’une taille et d’un facteur de forme prédéterminés, pour l’instant, ces dispositifs sont moins performants que les dispositifs usuels, beaucoup plus grands. En outre, les modèles s’adaptent très mal, en raison de leur conception. Sachant cela, les progrès récemment réalisés au niveau des modèles d’apprentissage générateurs qui recourent à une architecture contradictoire pourraient constituer une percée technologique. Plus précisément, cette forme d’apprentissage encadre la création de modèles fondés sur les réseaux neuronaux, capables de produire un ensemble varié d’instances utiles dans un espace multidimensionnel. Les modèles de ce genre se caractérisent par une bonne performance en pareil contexte.

La ventilation est un aspect important de la protection contre la transmission de la COVID-19 à l'intérieur des immeubles. Au Canada, de nombreux immeubles ne sont cependant pas équipés d'un système de ventilation mécanique capable d'introduire de l'air extérieur ou de purifier l'air intérieur. C'est par exemple souvent le cas des écoles, des établissements de soins de longue durée et des immeubles patrimoniaux. De nombreuses technologies et plusieurs produits ont par conséquent vu le jour pour tenter de minimiser la transmission de la COVID-19 par voie aérienne dans les immeubles sans système de ventilation mécanique. Malheureusement, une grande partie de ces technologies et de ces produits proposés depuis le début de la pandémie de COVID-19 n'ont pas fait l'objet de validations expérimentales en laboratoire et sur le terrain pour démontrer qu'ils diminuent efficacement la transmission par voie aérienne des virus respiratoires. De plus, certaines de ces technologies présentent des défauts de conception qui peuvent nuire à la santé et à la sécurité des occupants, ce qui les disqualifie définitivement. Nombre des solutions proposées sont par exemple trop difficiles à installer, à positionner ou à entretenir, trop chères ou trop énergivores, présentent des prises d'air ou des buses de sortie mal conçues ou ont un impact sanitaire négatif sur les occupants (du fait qu'elles génèrent par exemple de l'ozone ou d'autres contaminants, ou qu'elles sont excessivement bruyantes).
Il serait désirable de pouvoir trouver, sur le marché des produits commerciaux, de nouvelles technologies et de nouveaux produits capables de réduire efficacement la transmission par voie aérienne des virus respiratoires dans les immeubles dépourvus d'un système de ventilation mécanique. La solution proposée doit être capable d'assurer l'apport d'un air salubre dans toutes les zones occupées pendant et après leur utilisation sans altérer d'aucune façon l'accès aux locaux ou la capacité de les utiliser.

La ventilation est un aspect important de la protection contre la transmission de la COVID-19 à l'intérieur des immeubles. Au Canada, de nombreux immeubles ne sont cependant pas équipés d'un système de ventilation mécanique capable d'introduire de l'air extérieur ou de purifier l'air intérieur. C'est par exemple souvent le cas des écoles, des établissements de soins de longue durée et des immeubles patrimoniaux. De nombreuses technologies et plusieurs produits ont par conséquent vu le jour pour tenter de minimiser la transmission de la COVID-19 par voie aérienne dans les immeubles sans système de ventilation mécanique. Malheureusement, une grande partie de ces technologies et de ces produits proposés depuis le début de la pandémie de COVID-19 n'ont pas fait l'objet de validations expérimentales en laboratoire et sur le terrain pour démontrer qu'ils diminuent efficacement la transmission par voie aérienne des virus respiratoires. De plus, certaines de ces technologies présentent des défauts de conception qui peuvent nuire à la santé et à la sécurité des occupants, ce qui les disqualifie définitivement. Nombre des solutions proposées sont par exemple trop difficiles à installer, à positionner ou à entretenir, trop chères ou trop énergivores, présentent des prises d'air ou des buses de sortie mal conçues ou ont un impact sanitaire négatif sur les occupants (du fait qu'elles génèrent par exemple de l'ozone ou d'autres contaminants, ou qu'elles sont excessivement bruyantes).
Il serait désirable de pouvoir trouver, sur le marché des produits commerciaux, de nouvelles technologies et de nouveaux produits capables de réduire efficacement la transmission par voie aérienne des virus respiratoires dans les immeubles dépourvus d'un système de ventilation mécanique. La solution proposée doit être capable d'assurer l'apport d'un air salubre dans toutes les zones occupées pendant et après leur utilisation sans altérer d'aucune façon l'accès aux locaux ou la capacité de les utiliser.

Ce projet vise à améliorer l'efficacité énergétique au Canada dans le secteur résidentiel.