Subventions et contributions gouvernementales

Améliorer la capacité des communautés autochtones et locales à se connecter et à collaborer au sein de leurs communautés et avec le gouvernement fédéral sur les questions liées au transport Renforcer la capacité des communautés autochtones et locales à participer à maintenir et/ou à gérer des parties du système de transport

Appuyer la recherche afin d'améliorer la sécurité des routes des usagers de la route et des véhicules à moteur Appuyer les activités de sensibilisation et de formation afin d'améliorer la sécurité des routes des usagers de la route et des véhicules au Canada Appuyer l'application du règlement lié aux activités interprovinciales de camionnage Développer et améliorer la technologie pour promouvoir un réseau de transport routier plus sûr Entreprendre des activités de recherche pour favoriser l'élaboration de politiques publiques réviser les règlements de sécurité non fédéraux etc Entreprendre des activités de sensibilisation de communication de coopération et de collaboration entre les intervenants de la sécurité routière Recueillir de l'informations et de données uniformes complètes et actualisées sur la sécurité routière

Identifier tester et développer des technologies et des conceptions de navires silencieux. Renforcer la capacité de partager et de développer les connaissances et l'expertise et soutenir l'engagement

Ce projet d’une durée de 28 mois soutiendra une mesure de réponse et de relance féministes contribuant à atténuer les répercussions actuelles de la pandémie de COVID-19 grâce à un changement systémique. Le Centre of Excellence for Women’s Health (CEWH) s’attellera dans ce but à réunir des spécialistes des communications, de la prévention de la violence, de la masculinité et du savoir autochtone afin de codévelopper des produits de formation et de communication bilingues qui permettront de prévenir la violence à l’aide d’une approche sexotransformatrice intersectionnelle et de constituer un site Web riche en ressources. L’organisme cherchera à dégager un consensus parmi ses partenaires au sujet des messages sexotransformateurs relatifs à la violence faite aux femmes et à la violence fondée sur le sexe, et il s’efforcera de renforcer la capacité des divers intervenants à communiquer efficacement et à agir sur les catalyseurs de la violence faite aux femmes et de la violence fondée sur le sexe. Les ressources produites conviendront aux organismes, aux médias, aux hommes et aux garçons, aux femmes et aux filles ainsi qu’aux personnes de diverses identités de genre. Elles permettront de porter un regard critique sur les aspects négatifs et malsains de la masculinité et de la fémininité susceptibles de perpétuer la violence faite aux femmes et la violence fondée sur le sexe.

Au terme du projet, l’organisme aura contribué à lever des obstacles systémiques en faisant adopter des politiques et des pratiques inclusives, en favorisant une répartition plus équitable et plus efficace des ressources, en renforçant les réseaux et en multipliant les collaborations pour accélérer la réalisation de changements systémiques, et en s’attaquant aux normes néfastes et persistantes relatives aux genres, le tout à l’appui de l’égalité des femmes.

Dans le cadre de ce projet, l’organisme mobilisera un éventail de partenaires de tout le pays – Argyle Communications, Femmes Expertes, Galvanizing Equity, Trauma at the Root: Exploring Paths to Healing, Partenariat canadien pour la santé des femmes et des enfants, les médias – ainsi qu’Our Watch, en Australie.

Ce projet, d'une durée de 28 mois, soutiendra une réponse féministe et la récupération des impacts actuels du COVID-19 au moyen d'un changement systémique. Le Centre de réfugiés FCJ y parviendra en menant des initiatives de sensibilisation de la communauté et en développant un comité de direction dirigé par des bénévoles, en organisant des d'engagements communautaires, en créant une trousse d'outils sur les meilleures pratiques pour les femmes précaires, et en réalisant une évaluation des ressources du projet.

À la fin du projet, l'organisation aura contribué à éliminer les barrières systémiques en encourageant un partage plus équitable et efficace des ressources, et en renforçant les réseaux et les collaboration pour soutenir l'égalité des femmes.

Ce projet rassemblera des partenaires communautaires afin de recueillir anecdotes des femmes migrantes en situation de précarité afin d'améliorer les politiques et les services de l'organisation. L'organisation se rapprochera également d'Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada afin de formuler des recommandations de politiques pour une voie vers la résidence permanente pour les femmes migrantes et réfugiées.

Ce projet de 29 mois favorisera une réponse et une relance féministes à la suite des répercussions actuelles de la COVID-19, grâce à des changements systémiques. Pour y parvenir, Puakuteu comité des femmes de Mashteuiatsh prévoit renforcer ses actions via leur Centre d’actions Femmes Autochtones; élaborer et mettre en œuvre un plan d’action découlant du « Cadre visant l'égalité et la parité entre les hommes et les femmes de la Première Nation des Pekuakamiulnuatsh », incluant l’organisation d’une campagne promotionnelle pour faire connaître le cadre et mobiliser les partenaires communautaires et créer des collaborations multidisciplinaires.

À la fin du projet, l’organisme aura contribué à l’élimination d’obstacles systémiques en promouvant des politiques et pratiques inclusives et favorisant un partage plus efficace et équitable des ressources. Le projet accroîtra les réseaux et la collaboration pour accélérer le changement systémique et soutiendra une répartition positive du pouvoir, du droit de parole et du pouvoir décisionnel et l’appui à l’égalité des femmes.

Le projet COVID-19 de vision mondiale Canada utilisera une approche à plusieurs volets pour réduire la mortalité et la morbidité liées au COVID-19 parmi les populations marginalisées, avec un accent particulier sur les femmes et les filles, au Zimbabwe. Les populations ciblées et marginalisées au Zimbabwe sont confrontées à de multiples obstacles qui limitent leur capacité à prévenir, à se faire soigner et à se remettre de la maladie.

Ce projet vise à augmenter la couverture équitable des services de santé publique et de soins de santé pour les personnes infectées par le COVID-19 et à améliorer la réponse de la communauté au COVID-19 et son rétablissement, ce qui inclut des mesures spécifiques pour les femmes et les filles et les personnes déplacées. Quelques exemples d’activités du projet: l'achat et la distribution d'équipements et de fournitures liés au COVID-19 aux établissements et aux travailleurs de la santé ciblés ; la formation des prestataires de soins de santé à la prévention et au contrôle de l'infection par le COVID-19 en tenant compte de la dimension du genre ; l'amélioration des systèmes d'approvisionnement en eau et de lavage des mains dans le camp de réfugiés de Tongogara ; et la réalisation d'une campagne de sensibilisation aux mesures de santé publique liées au COVID-19 en tenant compte de la dimension du genre.

Cette initiative devrait rejoindre environ 77 608 personnes. De ce montant, le projet rejoindra 17 433 résidents (réfugiés et demandeurs d'asile) du camp de réfugiés de Tongogara, inclusif d’environ 20 % de la zone desservie par les établissements de santé du district de Chipinge, ainsi que les membres de la communauté d'accueil.

Le projet vise à canaliser la créativité et la productivité d’une nouvelle génération d’étudiants et de jeunes professionnels, surtout les femmes, pour contribuer à réduire la pauvreté et à favoriser une croissance inclusive dans la région de l’Association des nations de l’Asie du Sud Est (ANASE). Plus précisément, le projet a pour objet d’approfondir le savoir et de parfaire les compétences pratiques des étudiants ou des professionnels de niveau intermédiaire de la région de l’ANASE dans les domaines d’étude qui contribuent à mettre en œuvre le Programme de développement durable à l’horizon 2030.

Les activités du projet comprennent ce qui suit : 1) fournir des bourses d’une durée maximale de huit mois à des étudiants de l’ANASE qui mèneront des études et des recherches dans des établissements postsecondaires canadiens dans des domaines s’harmonisant avec les Objectifs de développement durable; 2) créer des accords entre des établissements d’enseignement postsecondaires du Canada et de l’ANASE; 3) fournir des bourses de courte durée à des professionnels de l’ANASE en milieu de carrière travaillant dans des secteurs qui contribuent à la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030, afin d’enrichir leur savoir et de renforcer leurs compétences dans leur domaine de travail; 4) créer un réseau des diplômés.

Appui à la proposition de professor Sabrina Wurzba de l'Université McGill pour enseigner et/ou faire de la recherche pour créer ou d’élargir des partenariats avec des établissements d’Amérique latine et des Caraïbes

Le Programme de bourses internationales du MAECD appuie le bénéficiaire pour améliorer le profil international du Canada comme source de qualité en éducation et générer de l’intérêt envers le Canada.