Subventions et contributions gouvernementales

En raison du contexte actuel et de la pandémie de COVID 19, les organismes ont de la difficulté à mettre en œuvre leurs activités prévues, et ils ont dit avoir du mal à répondre aux nouveaux besoins.

Ce projet de 29 mois permettra d’établir et de poser les bases du pilotage d’un cadre pour la prestation de services complets, axé sur les besoins des personnes survivantes marginalisées d’actes de violence sexuelle ayant des identités croisées, afin de s’attaquer aux causes profondes de la violence fondée sur le sexe (VFS) et de soutenir les personnes survivantes de VFS dans le nouveau contexte post-COVID. Le Sexual Assault Centre de Kingston atteindra cet objectif en réalisant une analyse environnementale et sociale complète afin de cerner les lacunes, de créer une carte des besoins et de relever les services existants; en établissant et en engageant une communauté de pratique dans la région de Kingston, Frontenac, Lennox et Addington (KFL&A); en établissant, en jetant les bases du pilotage et en évaluant un cadre pour la prestation de services complets pour les personnes survivantes ayant des identités croisées dans la région de KFL&A; et en diffusant le cadre fondé sur des preuves et les résultats de pratiques prometteuses par le biais d’un symposium axé sur les compétences pour les agences communautaires et les praticiennes et praticiens.

Les activités de ce projet comprennent : 1) reconnaître et éliminer les obstacles aux droits de la personne en matière de santé pour les adolescents et les adolescentes; 2) aider les adolescentes (10-19 ans) à prendre des décisions éclairées sur les services de nutrition, de SDSR et de protection contre la violence sexuelle et sexiste en renforçant la capacité des tuteurs, des personnes influentes dans la communauté et des institutions communautaires, telles que la police, à plaider pour la protection des adolescentes et la réduction des pratiques et normes traditionnelles néfastes; 3) renforcer l’utilisation inclusive et équitable de services de SDSR et de nutrition de qualité, adaptés aux adolescents, qui tiennent compte de la dimension de genre et qui résistent et s’adaptent à la pandémie, y compris les services de prévention de l’abus de substances et la supplémentation en fer et en acide folique; 4) répondre à la vulnérabilité accrue des jeunes filles à la violence, aux grossesses non désirées, à la perturbation des services de santé et aux répercussions sur les moyens de subsistance en raison de la pandémie de COVID-19; 5) donner aux adolescents et aux adolescentes les plus vulnérables (âgés de 15 à 19 ans, y compris les victimes de violence sexuelle et sexiste, les toxicomanes, les personnes handicapées, celles qui vivent dans la rue et celles qui pratiquent le sexe transactionnel) les moyens de participer à des activités de réduction de la pauvreté équitables du point de vue du genre qui reposent sur le marché du travail et des programmes d’entrepreneuriat; 6) intégrer une composante de compétences de vie et de renforcement du pouvoir économique pour permettre aux adolescentes d’avoir une plus grande autonomie financière, réduisant ainsi leur pauvreté et la charge des soins non rémunérés.

P003088002 : Dans le cadre des efforts que déploie le Canada à l’échelle internationale en réaction à COVID-19, le projet soutient des organisations locales de défense des droits des femmes afin de répondre à une augmentation de la violence sexuelle et fondée sur le genre, et de combler les lacunes qui s’accroissent dans les services destinés aux survivantes au Nigéria.

Ce projet d’une durée de 29 mois soutiendra une réponse et une relance féministes à la suite des répercussions actuelles de la COVID-19, grâce à un changement systémique. Le Conseil des technologies de l’information et des communications (CTIC) travaillera avec des dirigeantes et dirigeants d’organismes, des femmes, des modèles et des organismes communautaires pour cerner les obstacles et les occasions, et coconcevoir des pratiques exemplaires durables, des politiques et des processus pour recruter, retenir et faire progresser les femmes à des postes de direction dans l’industrie de la technologie.

Le projet de 29 mois appuiera une réponse et une relance féministes à la suite des répercussions actuelles de la COVID-19, par des changements systémiques. Le centre de recherche Live Work Well de l’Université de Guelph réalisera cet objectif en créant une coalition féministe pancanadienne qui appuiera les femmes et les filles ayant une incapacité à devenir d’importantes défenseuses des droits des femmes.

Ce projet de 30 mois soutiendra une réponse et une relance féministes pour atténuer les répercussions actuelles de la pandémie de COVID-19 grâce à un changement systémique. La chambre de commerce des femmes canadiennes (Canadian Women’s Chamber of Commerce - CanWCC) y parviendra en rassemblant des organismes ayant des objectifs similaires afin qu’elles s’engagent dans un réseau national de défense des intérêts des organismes féministes qui revendiquent l’égalité, appelé l’Alliance pour l’équité économique (Economic Equity Alliance - EEA).

Grâce à des changements systémiques, ce projet de 41 mois favorisera une réponse et une relance féministes à la suite des répercussions actuelles de la COVID 19. Pour réaliser le projet, l’Université McGill fera appel à des filles et des jeunes femmes autochtones qui ont de l’expérience dans les domaines où l’art est utilisé pour lutter contre la violence fondée sur le sexe (VFS), et les fera participer activement à l’élaboration et à la mise en œuvre d’activités communautaires qui créeront des environnements inclusifs permettant aux garçons et aux jeunes hommes autochtones de prendre part à des interventions artistiques.