Subventions et contributions gouvernementales
À propos de cette information
En juin 2016, dans le cadre du Plan d’action pour un gouvernement ouvert, le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada (SCT) s’est engagé à accroître la transparence et l’utilité des données sur les subventions et contributions et a par la suite lancé les Lignes directrices sur la divulgation des octrois de subventions et de contributions, en vigueur le 1er avril 2018.
Les règles et principes qui régissent les subventions et les contributions gouvernementales sont décrits dans la Politique du Conseil du Trésor sur les paiements de transfert. Les paiements de transfert sont des transferts, imputables sur un crédit, d\'argent, de biens, de services ou d\'actifs à des personnes ou à des organisations ou à d\'autres ordres de gouvernement, sans que le gouvernement fédéral reçoive directement des biens ou des services en échange, mais qui peuvent obliger les bénéficiaires à produire un rapport ou d\'autres renseignements après avoir reçu le paiement de transfert. Ces dépenses sont signalées dans les Comptes publics du Canada. Les principaux types de paiements de transfert sont les subventions, les contributions et « autres paiements de transfert ».
Sont inclus dans cette catégorie, mais non assujettis à la divulgation proactive (1), les transferts à d\'autres ordres de gouvernement, par exemple les paiements de péréquation ainsi que les paiements effectués dans le cadre du Transfert canadien en matière de santé et du Transfert canadien en matière de programmes sociaux; (2) les subventions ou les contributions réaffectées ou par ailleurs redistribuées par un bénéficiaire à des tiers; et (3) l\'information qui ne serait normalement pas divulguée en vertu de la Loi sur l\'accès à l\'information de la Loi sur la protection des renseignements personnels ne figure pas sur le site Web.
234 148,00 $
21 janv. 2021
WaterPhyt : protection de l’environnement par la phytofiltration durable des eaux usées
50 000,00 $
21 janv. 2021
Projet Caribou : surveillance et conservation du caribou par la Fédération métisse du Manitoba
160 782,00 $
21 janv. 2021
Effets et risques des microplastiques dans les eaux côtières
303 341,00 $
21 janv. 2021
établissement universitaire et institution publique
Le virus de la maladie de Newcastle (VMN) comme nouvelle plateforme pour la mise au point de vaccins contre la COVID-19
964417
L’Université de Guelph a mis au point un vaccin pour lutter contre la nouvelle maladie à coronavirus apparue en 2019 (COVID-19) en utilisant un vecteur sûr connu sous le nom de l’orthoavulavirus 1 aviaire (AOaV-1) avec un transgène qui code pour la protéine spiculaire pleine longueur (FLS) associée au syndrome respiratoire aigu sévère 2 causé par le nouveau coronavirus (SRAS-CoV-2). Lors de tests effectués sur le hamster dans le cadre du Programme Défi en réponse à la pandémie, la vaccination intranasale avec AOaV-1-FLS a complètement protégé l’animal contre la COVID-19, et le SRAS-CoV-2 a été non détectable. Ce résultat est en corrélation avec l’induction d’une réponse immunitaire spécifique au SRAS-CoV-2 dans les poumons. L’étape suivante consiste à optimiser l’administration de ce vaccin dans le système respiratoire humain. Plus précisément, le vecteur du vaccin doit être adapté pour fonctionner dans une large gamme de températures, y compris la température relativement basse des voies nasales et les températures plus élevées dans les poumons. Parallèlement à cela, l’administration intranasale par rapport à l’administration par aérosol dans le système respiratoire sera testée pour déterminer si l’administration nasale ou respiratoire induit des réponses immunitaires protectrices. De plus, une version de la prochaine génération du vaccin qui exprime une protéine spiculaire stabilisée par préfusion du SRAS-CoV-2 sera mise au point et testée sur des modèles de souris et de hamster dans le cadre du Programme Défi en réponse à la pandémie. Cette recherche ouvrira la voie à un essai clinique chez l’humain.
279 408,00 $
21 janv. 2021
organisme à but lucratif
Intégration de capteurs sur un navire de la Garde côtière canadienne pour faciliter la caractérisation de l’environnement glaciaire
964449
Le projet collaboratif de recherche consiste à mettre au point une méthodologie de recherche scientifique pour déployer des capteurs à bord d’un navire marchand de glace (le NGCC Henry Larsen, brise-glace de la Garde côtière canadienne) afin de mesurer la sévérité de la glace. La sévérité de la glace est liée à un certain nombre de propriétés physiques de la glace comme notamment la résistance de la glace, l’épaisseur de la glace, l’âge de la glace, la couverture de glace, la taille des morceaux de glace et la pression à l’intérieur de la banquise. Il existe un ensemble important de connaissances scientifiques liées à la mesure de certaines propriétés de la glace à partir d’un navire, mais ces connaissances présentent des lacunes importantes. L’une des principales lacunes de la recherche est que les recherches précédentes se sont concentrées sur la mesure d’une propriété particulière de la glace. Cependant, il n’existe actuellement aucune méthode dans la littérature scientifique pour une mesure holistique de la sévérité de la glace. Notre projet comble cette lacune en utilisant des capteurs scientifiques avancés pour mesurer l’impact de la sévérité de la glace sur un navire de mer voyageant dans les eaux glacées canadiennes.
83 500,00 $
21 janv. 2021
autre
2021-HQ-000111
2021-HQ-000111
De soutenir l’engagement du gouvernement fédéral de maintenir un système de soins de santé solide et efficace financé par l’État à l’aide d’investissements dans des innovations émergentes et démontrés dans des domaines prioritaires, comme les soins palliatifs et les soins de fin de vie, les soins à domicile et communautaires, les soins de santé mentale et d’autres priorités fédérales, provinciales-territoriales et émergentes.
488 862,00 $
21 janv. 2021
autre
2021-HQ-000111
2021-HQ-000111
De soutenir l’engagement du gouvernement fédéral de maintenir un système de soins de santé solide et efficace financé par l’État à l’aide d’investissements dans des innovations émergentes et démontrés dans des domaines prioritaires, comme les soins palliatifs et les soins de fin de vie, les soins à domicile et communautaires, les soins de santé mentale et d’autres priorités fédérales, provinciales-territoriales et émergentes.
4 999 998,00 $
21 janv. 2021
autre
2021-HQ-000111
2021-HQ-000111
N'est pas un projet (mandaté ou financement de base)
1 529 519,00 $
21 janv. 2021
autre
2021-HQ-000110
2021-HQ-000110
N'est pas un projet (mandaté ou financement de base)
303 341,00 $
21 janv. 2021
établissement universitaire et institution publique
Le virus de la maladie de Newcastle (VMN) comme nouvelle plateforme pour la mise au point de vaccins contre la COVID-19
964417
L’Université de Guelph a mis au point un vaccin pour lutter contre la nouvelle maladie à coronavirus apparue en 2019 (COVID-19) en utilisant un vecteur sûr connu sous le nom de l’orthoavulavirus 1 aviaire (AOaV-1) avec un transgène qui code pour la protéine spiculaire pleine longueur (FLS) associée au syndrome respiratoire aigu sévère 2 causé par le nouveau coronavirus (SRAS-CoV-2). Lors de tests effectués sur le hamster dans le cadre du Programme Défi en réponse à la pandémie, la vaccination intranasale avec AOaV-1-FLS a complètement protégé l’animal contre la COVID-19, et le SRAS-CoV-2 a été non détectable. Ce résultat est en corrélation avec l’induction d’une réponse immunitaire spécifique au SRAS-CoV-2 dans les poumons. L’étape suivante consiste à optimiser l’administration de ce vaccin dans le système respiratoire humain. Plus précisément, le vecteur du vaccin doit être adapté pour fonctionner dans une large gamme de températures, y compris la température relativement basse des voies nasales et les températures plus élevées dans les poumons. Parallèlement à cela, l’administration intranasale par rapport à l’administration par aérosol dans le système respiratoire sera testée pour déterminer si l’administration nasale ou respiratoire induit des réponses immunitaires protectrices. De plus, une version de la prochaine génération du vaccin qui exprime une protéine spiculaire stabilisée par préfusion du SRAS-CoV-2 sera mise au point et testée sur des modèles de souris et de hamster dans le cadre du Programme Défi en réponse à la pandémie. Cette recherche ouvrira la voie à un essai clinique chez l’humain.