Subventions et contributions gouvernementales

P008926001: Mars 2020 – Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) fournit une protection et une aide internationales aux réfugiés, aux apatrides, aux demandeurs d’asile et, dans certains cas, aux personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays. Le HCR recherche des solutions durables à leur situation. Il dirige également la mise en œuvre du Pacte mondial sur les réfugiés de 2018, en réunissant les intervenants et en facilitant des réponses plus globales aux situations de réfugiés.

Grâce au soutien d’Affaires mondiales Canada et d’autres donateurs, le HCR fournit une aide et une protection aux réfugiés, aux personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays et à d’autres personnes vulnérables de 24 pays. Parmi les activités du projet : 1) la fourniture d’abris, de vêtements et d’autres articles non alimentaires essentiels, y compris la santé de la reproduction; 2) la prestation de services adéquats d’approvisionnement en eau, d’assainissement et de soins de santé; 3) l’offre de possibilités de suivre un enseignement ou d’avoir des moyens de subsistance; 4) la prestation d’une protection, entre autres contre la violence sexuelle et fondée sur le genre, et la protection des enfants; 5) la collaboration avec les gouvernements aux fins d’inscription des demandeurs d’asile et des réfugiés et de la délivrance de pièces d’identité; 6) la collaboration avec les gouvernements afin de favoriser l’autonomie des réfugiés et de nouer des relations pacifiques entre les réfugiés et les collectivités locales; 7) l’élargissement des possibilités de solutions durables pour les personnes vulnérables.

P008926002: Mars 2020 – Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) fournit une protection et une aide internationales aux réfugiés, aux apatrides, aux demandeurs d’asile et, dans certains cas, aux personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays. Le HCR recherche des solutions durables à leur situation. Il dirige également la mise en œuvre du Pacte mondial sur les réfugiés de 2018, en réunissant les intervenants et en facilitant des réponses plus globales aux situations de réfugiés.

Grâce au soutien d’Affaires mondiales Canada et d’autres donateurs, le HCR fournit une aide et une protection aux réfugiés, aux personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays et à d’autres personnes vulnérables de 24 pays. Parmi les activités du projet : 1) la fourniture d’abris, de vêtements et d’autres articles non alimentaires essentiels, y compris la santé de la reproduction; 2) la prestation de services adéquats d’approvisionnement en eau, d’assainissement et de soins de santé; 3) l’offre de possibilités de suivre un enseignement ou d’avoir des moyens de subsistance; 4) la prestation d’une protection, entre autres contre la violence sexuelle et fondée sur le genre, et la protection des enfants; 5) la collaboration avec les gouvernements aux fins d’inscription des demandeurs d’asile et des réfugiés et de la délivrance de pièces d’identité; 6) la collaboration avec les gouvernements afin de favoriser l’autonomie des réfugiés et de nouer des relations pacifiques entre les réfugiés et les collectivités locales; 7) l’élargissement des possibilités de solutions durables pour les personnes vulnérables.

Mars 2020 – La région de l’Afrique continue d’avoir la plus grande population vulnérable du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) dans le monde, avec plus de 27 millions de personnes vulnérables. La région de l’Asie-Pacifique compte près de 9 millions des personnes vulnérables du HCR, et les Amériques près de 18 millions. Le HCR fournit une protection et une aide internationales aux réfugiés, aux apatrides, aux demandeurs d’asile et, dans certains cas, aux personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays.

Grâce au soutien d’Affaire mondiales Canada et d’autres donateurs, le HCR fournit une aide et une protection aux réfugiés, aux personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays et à d’autres personnes vulnérables en Afrique, dans les Amériques et en Asie pour les pays admissibles à l’APD. Parmi les activités du projet : 1) la fourniture d’abris, de vêtements et d’autres articles non alimentaires essentiels, y compris la santé de la reproduction; 2) la prestation de services adéquats d’approvisionnement en eau, d’assainissement et de soins de santé; 3) l’offre de possibilités de suivre un enseignement ou d’avoir des moyens de subsistance; 4) la prestation d’une protection, entre autres contre la violence sexuelle et fondée sur le sexe, et la protection des enfants; 5) la collaboration avec les gouvernements aux fins d’inscription des demandeurs d’asile et des réfugiés et de la délivrance de pièces d’identité; 6) la collaboration avec les gouvernements afin de favoriser l’autonomie des réfugiés et de nouer des relations pacifiques entre les réfugiés et les collectivités locales; 7) l’élargissement des possibilités de solutions durables pour les personnes vulnérables.

P008963001: Mars 2020 - Le Yémen vit actuellement la plus grande crise humanitaire du monde, avec 24,1 millions de personnes ayant besoin d’une aide humanitaire. Le conflit et l’effondrement de l’économie ont poussé près de 10 millions de personnes au bord de la famine, et plus de 3,6 millions de personnes ont été déplacées depuis le début de la crise en 2015. La prestation de services de base s’effondre, notamment les services essentiels d’eau, d’assainissement, d’hygiène et de santé, ce qui augmente le risque d’épidémies comme le choléra, la dengue et la diphtérie. Les femmes et les filles souffrent de façon disproportionnée du manque d’accès à des services essentiels et sont exposées à un risque accru de violence sexuelle et sexospécifique en raison de la crise.

Avec l’aide pluriannuelle d’AMC, CARE Canada fournit des services d’urgence en matière d’approvisionnement en eau, d’assainissement et d’hygiène et de santé génésique ainsi qu’un soutien aux moyens de subsistance à près de 43 877 des personnes touchées par le conflit parmi les plus vulnérables, en particulier les femmes, dans les gouvernorats de Taïz et d’Ibb au Yémen. Les activités du projet comprennent : 1) la fourniture d’une aide en espèces pour permettre aux bénéficiaires de subvenir à leurs besoins fondamentaux; 2) la réhabilitation ou la mise en place de sources d’eau et de latrines dans des collectivités rurales; 3) la fourniture de trousses d’hygiène et de dignité; 4) la prestation de formation à des intervenants en santé communautaire et de fournitures médicales pour promouvoir les services de santé sexuelle et génésique.

P008963002: Mars 2020 Le Yémen vit actuellement la plus grande crise humanitaire du monde, avec 24,1 millions de personnes ayant besoin d’une aide humanitaire. Le conflit et l’effondrement de l’économie ont poussé près de 10 millions de personnes au bord de la famine, et plus de 3,6 millions de personnes ont été déplacées depuis le début de la crise en 2015. La prestation de services de base s’effondre, notamment les services essentiels d’eau, d’assainissement, d’hygiène et de santé, ce qui augmente le risque d’épidémies comme le choléra, la dengue et la diphtérie. Les femmes et les filles souffrent de façon disproportionnée du manque d’accès à des services essentiels et sont exposées à un risque accru de violence sexuelle et sexospécifique en raison de la crise.

Avec l’aide pluriannuelle d’AMC, CARE Canada fournit des services d’urgence en matière d’approvisionnement en eau, d’assainissement et d’hygiène et de santé génésique ainsi qu’un soutien aux moyens de subsistance à près de 43 877 des personnes touchées par le conflit parmi les plus vulnérables, en particulier les femmes, dans les gouvernorats de Taïz et d’Ibb au Yémen. Les activités du projet comprennent : (1) la fourniture d’une aide en espèces pour permettre aux bénéficiaires de subvenir à leurs besoins fondamentaux; (2) la réhabilitation ou la mise en place de sources d’eau et de latrines dans des collectivités rurales; (3) la fourniture de trousses d’hygiène et de dignité; et (4) la prestation de formation à des intervenants en santé communautaire et de fournitures médicales pour promouvoir les services de santé sexuelle et génésique.

P009005001: Mars 2020 – Le Yémen vit actuellement la plus grande crise humanitaire du monde, avec 24 millions de personnes ayant besoin d’une aide humanitaire. Le conflit et l’effondrement de l’économie ont poussé près de 10 millions de personnes au bord de la famine, et plus de 3,6 millions de personnes ont été déplacées depuis le début de la crise en 2015. La prestation de services de base s’effondre, y compris en ce qui concerne l’approvisionnement en eau, l’assainissement, l’hygiène et les services de santé, ce qui augmente le risque d’épidémies telles que le choléra, la dengue et la diphtérie. Les femmes et les filles sont touchées de manière disproportionnée par le manque d’accès aux services essentiels et sont confrontées à un risque accru de violence sexuelle et sexiste en raison de la crise.

Grâce au soutien pluriannuel d’Affaires mondiales Canada, l’Agence de développement et de secours adventiste (ADRA) Canada fournit un soutien d’urgence en matière de santé et de nutrition à 135 000 personnes parmi les plus vulnérables touchées par le conflit, en particulier les femmes, dans les gouvernorats de Marib et de Sanaa au Yémen. Les activités du projet comprennent : 1) fournir aux établissements de santé les médicaments et les fournitures médicales essentiels; 2) fournir des services de santé, notamment des soins obstétriques et néonatals d’urgence, de planification familiale et de vaccination des enfants; 3) assurer l’accès aux services médicaux et au soutien psychosocial des survivants de la violence sexuelle et fondée sur le genre; 4) dépister et traiter la malnutrition aiguë, en particulier chez les enfants et les femmes enceintes et qui allaitent.

P009005003: Mars 2020 – Le Yémen vit actuellement la plus grande crise humanitaire du monde, avec 24 millions de personnes ayant besoin d’une aide humanitaire. Le conflit et l’effondrement de l’économie ont poussé près de 10 millions de personnes au bord de la famine, et plus de 3,6 millions de personnes ont été déplacées depuis le début de la crise en 2015. La prestation de services de base s’effondre, y compris en ce qui concerne l’approvisionnement en eau, l’assainissement, l’hygiène et les services de santé, ce qui augmente le risque d’épidémies telles que le choléra, la dengue et la diphtérie. Les femmes et les filles sont touchées de manière disproportionnée par le manque d’accès aux services essentiels et sont confrontées à un risque accru de violence sexuelle et sexiste en raison de la crise.

Grâce au soutien pluriannuel d’Affaires mondiales Canada, l’Agence de développement et de secours adventiste (ADRA) Canada fournit un soutien d’urgence en matière de santé et de nutrition à 135 000 personnes parmi les plus vulnérables touchées par le conflit, en particulier les femmes, dans les gouvernorats de Marib et de Sanaa au Yémen. Parmi les activités du projet : 1) fournir aux établissements de santé les médicaments et les fournitures médicales essentiels; 2) fournir des services de santé, notamment des soins obstétriques et néonatals d’urgence, de planification familiale et de vaccination des enfants; 3) assurer l’accès aux services médicaux et au soutien psychosocial des survivants de la violence sexuelle et fondée sur le genre; 4) dépister et traiter la malnutrition aiguë, en particulier chez les enfants et les femmes enceintes et qui allaitent.

La participation active des femmes dans la prévention et la résolution des conflits, ainsi que dans la consolidation de la paix, engendre des occasions uniques de créer des solutions transformatrices et, ultimement, des sociétés plus inclusives, égalitaires et pacifiques. Ce projet vise à soutenir et à renforcer l’impact des artisanes de la paix et de leurs organisations qui œuvrent en Afghanistan, au Cameroun, en Irak, en Libye, au Sri Lanka, en Syrie et au Yémen. Le projet soutient directement les organisations féminines locales en leur offrant un appui financier, ainsi qu’une formation et un encadrement étroits pour renforcer leur action dans leurs communautés. Les activités du projet comprennent : 1) l’octroi de subventions aux organisations de la société civile (OSC) locales dirigées par des femmes et le renforcement des moyens pour améliorer la mise en œuvre de leurs projets dans un contexte de fragilité ou de conflit; 2) le soutien au développement et à la diffusion d’outils et de formations novateurs qui améliorent la capacité globale de ces OSC à contribuer à la médiation, à la consolidation de la paix et au soutien des processus de paix en cours.

La Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR) est l’un des trois piliers du mouvement de la Croix-Rouge. La FICR coordonne les sociétés nationales du monde entier et collabore avec elles pour fournir de l’aide humanitaire aux personnes touchées, à la suite d’une catastrophe naturelle ou d’origine humaine, principalement dans des situations non conflictuelles.
Avec l’appui d’AMC, plusieurs appels de la FICR visent à fournir une assistance urgente et vitale aux populations vulnérables du Bangladesh, de la République démocratique du Congo (RDC) et de l’Amérique du Sud. Les activités comprennent : 1) aider à la prestation de services de base aux Vénézuéliens dans les pays touchés par la crise, y compris des premiers soins, un soutien psychosocial et la distribution de documents d’information aux personnes touchées par la crise et en migration; 2) accroître l’accès des réfugiés et des communautés d’accueil à la protection, aux soins de santé et à l’assistance matérielle dans le Bazar de Cox, au Bangladesh; 3) établir et maintenir des mesures de prévention et de contrôle des infections dans les établissements de santé de la RDC.

P008948001 : Février 2020 - La crise en République démocratique du Congo (RDC) est caractérisée par un conflit interethnique et des violations généralisées des droits de la personne, y compris des violences sexuelles. En 2020, 15,6 millions de personnes ont besoin d’aide humanitaire en RDC, soit une augmentation de 22 % par rapport à 2019, et 2020 prévoit des mouvements de population supplémentaires, créant des besoins importants en matière de protection, de moyens de subsistance et de sécurité alimentaire. Actuellement, la RDC est le foyer de la deuxième crise alimentaire en importance, avec près de 16 millions de personnes en situation de grave d’insécurité alimentaire. En outre, elle abrite la plus grande population de personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays (PDIP) en Afrique, avec 5,01 millions de personnes déplacées. Ces besoins sont exacerbés par l’épidémie actuelle d’Ébola, la violence accrue et le retour forcé de centaines de milliers de réfugiés congolais.

Avec le soutien d’AMC, Aide à l’enfance fournit une assistance pour répondre aux besoins urgents de 189 290 personnes touchées par le conflit dans le territoire de Djugu et Irumu en RDC. Ce projet se concentre sur la prévention et le traitement de la malnutrition, et sur l’offre de services de protection aux enfants à risque.

Les activités du projet comprennent : 1) offrir un traitement aux enfants de moins de cinq ans qui souffrent de malnutrition grave et aiguë et de maladies qui aggravent la malnutrition; 2) fournir une gestion de cas, des services d’intervention et des références aux survivants de la violence sexuelle et sexiste, aux enfants non accompagnés et séparés de leur famille, aux enfants associés aux groupes armés et aux autres filles et garçons à risque; 3) former des agents de santé communautaires aux services d’intervention en cas de violence sexuelle et sexiste.

P008948002 : Février 2020 - La crise en République démocratique du Congo (RDC) est caractérisée par un conflit interethnique et des violations généralisées des droits de la personne, y compris des violences sexuelles. En 2020, 15,6 millions de personnes ont besoin d’aide humanitaire en RDC, soit une augmentation de 22% par rapport à 2019, et 2020 prévoit des mouvements de population supplémentaires, créant des besoins importants en matière de protection, de moyens de subsistance et de sécurité alimentaire. Actuellement, la RDC est le foyer de la deuxième crise alimentaire en importance, avec près de 16 millions de personnes en situation de grave d’insécurité alimentaire. En outre, elle abrite la plus grande population de personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays (PDIP) en Afrique, avec 5,01 millions de personnes déplacées. Ces besoins sont exacerbés par l’épidémie actuelle d’Ébola, la violence accrue et le retour forcé de centaines de milliers de réfugiés congolais.

Avec Avec le soutien d’AMC, Aide à l’enfance fournit une assistance pour répondre aux besoins urgents de 141 055 personnes touchées par le conflit dans le territoire de Djugu et Irumu en RDC. Ce projet se concentre sur la prévention et le traitement de la malnutrition, et sur l’offre de services de protection aux enfants à risque.

Les activités du projet comprennent les suivantes : 1) offrir un traitement aux enfants de moins de cinq ans qui souffrent de malnutrition grave et aiguë et de maladies qui aggravent la malnutrition; 2) fournir une gestion de cas, des services d’intervention et des références aux survivants de la violence sexuelle et sexiste, aux enfants non accompagnés et séparés de leur famille, aux enfants associés aux groupes armés et aux autres filles et garçons à risque; 3) former des agents de santé communautaires aux services d’intervention en cas de violence sexuelle et sexiste.

Les résultats attendus de ce projet sont notamment les suivants : 1) un accès accru à des services de protection de qualité pour les enfants non accompagnés et séparés de leur famille, les enfants associés ou anciennement associés à des groupes armés et les survivants de violence sexuelle et sexiste; 2) un accès accru à des interventions nutritionnelles de qualité ciblant les enfants de moins de cinq ans, les femmes enceintes et qui allaitent et les adolescentes.

Le résultat final escompté est que des vies soient sauvées, que les souffrances soient atténuées et que la dignité humaine soit préservée dans les communautés qui connaissent des crises humanitaires ou qui sont en situation d’insécurité alimentaire.

Ce projet appuie le mécanisme de vérification et d’inspection des Nations Unies au Yémen (UNVIM) qui facilite le dédouanement des navires transportant des biens essentiels, y compris des cargaisons humanitaires, destinés aux ports de la mer Rouge qui ne sont pas sous le contrôle du gouvernement du Yémen. L’UNVIM sert à examiner les demandes des navires commerciaux, inspecter les navires approchant les ports de Djibouti ou effectuer des inspections dans les eaux internationales. Les activités du projet comprennent: 1) veiller à ce que toutes les entreprises de transport maritime demandent l’autorisation de l’UNVIM, qui est responsable des vérifications, inspections et des examens sur dossier; 2) s’assurer d’inspecter à nouveau les navires une fois qu’ils ont terminé leurs opérations de déchargement dans les ports de Hodeïda, Saleef et Ras Isa, et scanner leurs coques avant qu’ils ne quittent le port.

Ce projet vise à améliorer la paix et la stabilité dans les régions où le Centre pour le dialogue humanitaire (HD) assure la médiation, la facilitation et le dialogue entre les autorités gouvernementales et les groupes armés. Le projet vise à permettre au HD de combler une lacune dans le domaine international de la médiation des conflits en ouvrant le dialogue avec des acteurs qui sont difficiles à joindre, par l’entremise des outils traditionnels de la diplomatie d’État, ou qui ne relèvent pas des processus de médiation mandatés par l’ONU. Le projet vise également à soutenir la participation accrue et significative des femmes aux négociations de paix et à permettre aux réseaux et aux organisations de femmes de se tailler un chemin et de jouer un rôle actif dans l’instauration de la paix dans leurs régions.

Ce projet vise à contribuer à un avenir de paix et de réconciliation au Mozambique sans reprise des hostilités militaires entre le gouvernement et la Renamo (group d'opposition). Ce projet vise à appuyer les activités de paix et de réconciliation, comme la démobilisation, le désarmement et la réintégration (DDR) de 5 000 anciens combattants et à mettre en œuvre la stratégie de réconciliation afin d’assurer une gouvernance pacifique et durable à l’échelle du pays. Le projet vise également à fournir un éventail diversifié de capacités notamment un soutien technique, logistique et administratif aux processus de paix et de DDR. Ces activités sont axées en particulier sur l’égalité entre les sexes et facilitent la réintégration dans la société des anciens combattants de la Renamo.