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Au Canada, nous passons beaucoup de temps à l'intérieur. C'est la raison pour laquelle il est important de faire en sorte que notre maison soit un lieu sain et sécuritaire où il fait bon vivre. Renseignez-vous sur les risques pour la santé les plus courants qui peuvent se trouver dans votre maison et sur les mesures simples que vous pouvez prendre pour protéger votre santé ainsi que celle de votre famille.

Au Canada, nous passons beaucoup de temps à l'intérieur. C'est la raison pour laquelle il est important de faire en sorte que notre maison soit un lieu sain et sécuritaire où il fait bon vivre. Renseignez-vous sur les risques pour la santé les plus courants qui peuvent se trouver dans votre maison et sur les mesures simples que vous pouvez prendre pour protéger votre santé ainsi que celle de votre famille.

Cet ensemble de données fournit le résumé des statistiques annuelles sur la pollution atmosphérique, entre 1995 et l’année en cours pour laquelle les données sont disponibles, concernant six polluants : * monoxyde de carbone * oxydes d’azote (NO, NO2, NOx) * ozone * particules fines (PM2.5) * dioxyde de soufre * soufre réduit total Les statistiques annuelles incluent les percentiles, les moyennes et les valeurs maximales. De plus, elles indiquent le nombre de fois qu’une station de surveillance de l’air a dépassé un critère de qualité de l’air ambiant de l’Ontario, le cas échéant. Ces données figurent également dans les rapports annuels sur la qualité de l’air en Ontario. Les concentrations horaires des polluants atmosphériques sont affichées en temps quasi réel au site Qualité de l’air Ontario : http://www.qualitedelairontario.com/

Il n'existe pas d'ensemble cohérent de données convaincantes indiquant que l'ingestion d'amiante est dangereuse. Par conséquent, il n'est pas nécessaire de fixer une concentration maximale acceptable (CMA) pour l'amiante dans l'eau potable.

La surveillance des composés organiques volatils (COV) a été mise en œuvre par Environnement et Changement climatique Canada à la SSPA 1 de la WBEA – Bertha Ganter, à Fort McKay, en Alberta, en octobre 2011. Les COV actuellement mesurés à la SSPA 1 sont le benzène, le toluène, l’éthylbenzène, les m,p-xylènes et l’o-xylène (BTEX).

L’ensemble des concentrations horaires maximales de COV est inférieur aux objectifs horaires de qualité de l’air ambiant de l’Alberta. Les concentrations moyennes annuelles de benzène sont également inférieures à l’objectif annuel de qualité de l’air ambiant de l’Alberta pour le benzène.

Cette série de données représente l’humidité volumique du sol (pourcentage de saturation du sol) pour la couche superficielle (< 5 cm). Les données sont acquises quotidiennement, et la moyenne est établie pour la semaine et le mois en conformité avec la norme ISO. Les données sont produites à partir de données satellites en hyperfréquences passives recueillies par le satellite SMOS de mesure de l’humidité des sols et de la salinité des océans, puis converties en humidité du sol au moyen de la version 6.20 du processeur d’humidité du sol SMOS. Les données sont produites par l’Agence spatiale européenne et sont obtenues en vertu d’une proposition de catégorie 1 pour des données sur l’humidité du sol de niveau 2.

Les composés organiques volatils (COV) regroupent divers produits chimiques présentant une pression de vapeur élevée leur permettant d’être émis sous forme de gaz par un solide ou un liquide à la température ambiante normale. Ils sont omniprésents, se retrouvant dans l’air ambiant et intérieur.

En 2010, Santé Canada a mené une étude de la qualité de l’air intérieur résidentiel. Une série de paramètres de l’air généralement présents à l'intérieur et autour des habitations ont été mesurés pendant sept périodes consécutives de 24 heures en hiver et en été dans 50 habitations, dont 26 d’entre elles ont participé aux deux saisons. Parmi les différents polluants mesurés, des composés organiques volatils (COV) ont été prélevés à l’aide de bonbonnes SUMMAMC. Ces bonbonnes de prélèvement ont été analysées pour détecter la présence de 193 COV polaires et non polaires.

Les composés organiques volatils (COV) regroupent divers produits chimiques présentant une pression de vapeur élevée leur permettant d’être émis sous forme de gaz par un solide ou un liquide à la température ambiante normaleNote de bas de page1. Ils sont omniprésents, se retrouvant dans l’air ambiant et intérieur.

En 2009, Santé Canada a mené une étude de la qualité de l’air intérieur résidentiel à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Une série de paramètres de l’air généralement présents à l'intérieur et autour des habitations a été mesurée pendant sept périodes consécutives de 24 heures en hiver et en été dans 50 habitations, dont 42 habitations ont participé aux deux saisons. Parmi les différents polluants mesurés, les composés organiques volatils ont été prélevés à l’aide de bonbonnes SUMMAMC. Ces bonbonnes de prélèvement ont été analysées pour détecter la présence de 193 composés organiques volatils polaires et non polaires.