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10 dossiers trouvés similaries à Sites de l’écosystème, mercure gazeux total, données validées, region des sables bitumineux
Des données relatives au mercure gazeux total (MGT) sont actuellement recueillies par Environnement et Changement climatique Canada à deux stations de surveillance de la pollution atmosphérique (SSPA) de la Wood Buffalo Environmental Association (WBEA). Des données préliminaires basées sur les concentrations moyennes horaires de MGT provenant de la région des sables bitumineux sont disponibles pour les stations suivantes : SSPA 6 de la WBEA – Patricia McInnes, située à Fort McMurray, en Alberta, et SSPA 13 de la WBEA – Fort McKay Sud, située près de Fort McKay, en Alberta. Dans le cas du MGT, il n’existe aucune recommandation sur la qualité de l’air formulée par Environnement et Changement climatique Canada et le Conseil canadien des ministres de l’environnement (CCME), ni d’objectifs de qualité de l’air ambiant de l’Alberta. La surveillance respecte les procédures normalisées d’exploitation établies du Réseau canadien d’échantillonnage des précipitations et de l’air (RCEPA).
Des mesures du mercure élémentaire gazeux, du mercure oxydé gazeux et du mercure particulaire lié à des PM2,5 ont été recueillies par Environnement et Changement climatique Canada d’août à septembre 2013 à la SSPA 13 de la WBEA (Fort McKay Sud) et à la SSPA 4 de la WBEA (Buffalo Viewpoint). La surveillance a repris à la SSPA 13 de la WBEA en septembre 2014, avec deux instruments de mesure des espèces chimiques de mercure, et se poursuit. Un instrument de mesure des espèces chimiques de mercure surveille le mercure élémentaire gazeux, le mercure oxydé gazeux et le mercure particulaire lié à des PM2,5, tandis que le second mesure le mercure élémentaire gazeux, le mercure oxydé gazeux et le mercure lié à des PM10. Ces données constituent les premières mesures atmosphériques liées aux espèces chimiques de mercure à être communiquées dans la région des sables bitumineux.
Sites de l’écosystème, composés organiques volatils - données validées, région des sables bitumineux
La surveillance des composés organiques volatils (COV) a été mise en œuvre par Environnement et Changement climatique Canada à la SSPA 1 de la WBEA – Bertha Ganter, à Fort McKay, en Alberta, en octobre 2011. Les COV actuellement mesurés à la SSPA 1 sont le benzène, le toluène, l’éthylbenzène, les m,p-xylènes et l’o-xylène (BTEX).
L’ensemble des concentrations horaires maximales de COV est inférieur aux objectifs horaires de qualité de l’air ambiant de l’Alberta. Les concentrations moyennes annuelles de benzène sont également inférieures à l’objectif annuel de qualité de l’air ambiant de l’Alberta pour le benzène.
Sites de l’écosystème, composés organiques volatils – Données préliminaires, région des sables bitumineux
Des données relatives aux composés organiques volatils (COV) sont actuellement recueillies par Environnement et Changement climatique Canada à une station de surveillance de la pollution atmosphérique (SSPA) de la Wood Buffalo Environmental Association (WBEA). Des données brutes, basées sur les concentrations horaires moyennes en temps quasi réel relatives aux COV provenant de la région des sables bitumineux sont disponibles pour la SSPA 25 de la WBEA – Waskow Ohci Pimatisiwin, située à Fort McKay, en Alberta, à partir du 27 septembre 2017. Avant cette date, l’instrument mesurait les COV à la SSPA 1 de la WBEA – Bertha Ganter, située également à Fort McKay, en Alberta. Les COV actuellement mesurés à la SSPA 25 sont le benzène, le toluène, l’éthylbenzène, les m,p-xylènes, l’o xylène, le styrène, le n-hexane, le n-heptane, le n-octane, le 2 méthylpentane et le méthylcyclohexane.
Des mesures du mercure élémentaire gazeux (MEG), du mercure oxydé gazeux (MOG) et du mercure particulaire lié à des PM2,5 sont actuellement recueillies par Environnement et Changement climatique Canada à une station de surveillance de la pollution atmosphérique (SSPA) de la Wood Buffalo Environmental Association (WBEA). Des données préliminaires basées sur les concentrations moyennes sur trois heures d’espèces chimiques de mercure provenant de la région des sables bitumineux sont disponibles pour la SSPA 13 de la WBEA – Fort McKay Sud, située près de Fort McKay, en Alberta. Concernant les mesures sur les espèces chimiques de mercure, il n’existe aucune recommandation sur la qualité de l’air formulée par Environnement et Changement climatique Canada et le CCME, ni d’objectifs de qualité de l’air ambiant de l’Alberta. La surveillance respecte les procédures normalisées d’exploitation établies du Réseau canadien d’échantillonnage des précipitations et de l’air (RCEPA).
Surveillance à long terme des polluants atmosphériques et des conditions météorologiques au site Oski-ôtin de Fort McKay : Données validées
La surveillance continue et intégrée de multiples polluants atmosphériques et des conditions météorologiques a commencé à Fort McKay, au site d’Oski-ôtin, en août 2013. Par la surveillance renforcée au site d’Oski-ôtin, on vise à obtenir un portrait plus clair du mélange, du transport et du sort des polluants atmosphériques produits par les différentes activités liées aux sables bitumineux. Par rapport à la surveillance préexistante à Fort McKay et dans l’ensemble de la région, menée par la Wood Buffalo Environmental Association (WBEA), la surveillance au site d’Oski-ôtin a permis d’obtenir des mesures pour un grand nombre de polluants à l’aide d’appareils de qualité contrôlée pour la recherche conçus pour être plus précis à de faibles concentrations. Les appareils installés au site mesurent aussi les polluants, les vents et la température à de multiples hauteurs au-dessus du sol.
Surveillance à long terme des polluants atmosphériques et des conditions météorologiques au site Oski-ôtin de Fort McKay : Données préliminaires
La surveillance continue et intégrée de multiples polluants atmosphériques et des conditions météorologiques a commencé à Fort McKay, au site d’Oski-ôtin, en août 2013. Par la surveillance renforcée au site d’Oski-ôtin, on vise à obtenir un portrait plus clair du mélange, du transport et du sort des polluants atmosphériques produits par les différentes activités liées aux sables bitumineux. Par rapport à la surveillance préexistante à Fort McKay et dans l’ensemble de la région, menée par la Wood Buffalo Environmental Association (WBEA), la surveillance au site d’Oski-ôtin a permis d’obtenir des mesures pour un grand nombre de polluants à l’aide d’appareils de qualité contrôlée pour la recherche conçus pour être plus précis à de faibles concentrations. Les appareils installés au site mesurent aussi les polluants, les vents et la température à de multiples hauteurs au-dessus du sol.
Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) surveille les métaux à l’état de trace présents dans la matière particulaire fine (PM2,5) provenant de la région des sables bitumineux depuis décembre 2010. On procède à un échantillonnage des PM2,5 aux stations de surveillance suivantes de la Wood Buffalo Environmental Association (WBEA) : Mannix (AMS5), Lower Camp (AMS11) et Fort McKay South (AMS13; jusqu’en mars 2015) à l’aide d’un calendrier et de protocoles établis du programme du Réseau national de surveillance de la pollution atmosphérique. En 2015, l’échantillonnage visait les PM2,5 et les PM10-2,5 (fraction grossière) à Fort McKay (AMS1), à Wapasu (AMS17) et à Stony Mountain (AMS18). Les données tirées des mesures effectuées jusqu’à maintenant indiquent que la concentration des métaux tirant leur origine des principales activités minières à ciel ouvert et de traitement diminue avec la distance, et que les éléments de la croûte que sont le fer, le silicium, l’aluminium et le calcium sont présents en plus grande quantité que d’autres métaux décelés.
Les ensembles de données sur les gaz à l’état de trace recueillis depuis 1982 par des réseaux de surveillance au sol en territoire canadien et américain comprennent les données sur les hydrocarbures non méthaniques (HCNM), l’ozone (O3) et le mercure gazeux total (MGT). Les réseaux provinciaux et fédéraux (passés et présents) canadiens et les réseaux historiques américains (pour des données non disponibles ailleurs) sont fournis. Ces ensembles de données sont associés à divers réseaux qui surveillent une variété de gaz à l’état de trace et réactifs. Au Centre expérimental de recherche sur l’atmosphère (CERA), à Egbert, en Ontario, les hydrocarbures non méthaniques (HCNM) sont mesurés et surveillés dans le cadre d’une étude en cours.
Des mesures de la profondeur optique des aérosols (AOD− Aerosol Optical Depth) sont effectuées au moyen d’héliophotomètres dans la région des sables bitumineux (au site Oski ôtin de Fort McKay et à Fort McMurray). La profondeur optique des aérosols (AOD) est une mesure du degré de la présence d’aérosols dans l’atmosphère qui absorbent ou diffusent la lumière du soleil, depuis le sol jusqu’à la couche supérieure de l’atmosphère. Ces particules solides ou liquides minuscules peuvent provenir de sources naturelles ou anthropiques y compris la poussière, le sel de mer, la fumée ou les polluants. Des mesures de la profondeur optique des aérosols sont prises dans la région des sables bitumineux et peuvent être comparées à des données recueillies à d’autres emplacements du Canada à l’aide du Réseau canadien de mesure des aérosols au moyen de la robotique (AEROCAN) − AErosol RObotic CANadian Network, comme à Kelowna, en Colombie Britannique; à Lethbridge, en Alberta; au lac Bratt et à Waskesiu, en Saskatchewan et à Yellowknife, dans les Territoires du Nord Ouest.