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10 dossiers trouvés similaries à Micro-organismes de priorité C (danger plus faible) sur la Liste intérieure des substances
Une priorité élevée est attribuée aux souches de micro-organismes de priorité A (danger plus élevé) figurant sur la Liste intérieure des substances (LIS) pour l'évaluation parce que le gouvernement du Canada les a considérées comme étant des agents pathogènes humains, phytopathogènes ou zoopathogènes (dans le cas de consortiums microbiens) ou parce que leur niveau de danger est incertain.
On a attribué une priorité moyenne pour l'évaluation aux souches de micro-organismes de priorité B (danger moyen) inscrites sur la Liste intérieure des substances (LIS), car bien qu'elles n'entrent pas spécifiquement dans la catégorie des pathogènes, le gouvernement du Canada a recueilli des preuves dans les publications scientifiques qu'elles ont le potentiel d'avoir des effets nocifs sur la santé humaine ou sur l'environnement.
Pour assurer la sécurité des consommateurs, il est important de déterminer les concentrations des micro éléments dans les aliments. Les micro éléments sont des métaux qui sont présents en faibles concentrations dans l’air, dans l’eau et dans le sol. Trente-quatre micro éléments sont généralement mesurés dans les composites d’échantillons alimentaires de l’EAT. Bien que les résultats des mesures de mercure et de fluorure ne soient pas disponibles sur le portail de données ouvertes, on peut les trouver dans les documents référencés ci-dessous.
Guide du formulaire de demande de subvention de micro-financement du Programme des langues officielles en santé.
Les fours à micro-ondes représentent un moyen commode de dégeler, cuire et réchauffer des aliments. On en trouve maintenant dans la plupart des résidences et restaurants du Canada ainsi que dans de nombreux établissements commerciaux et industriels.
Un des éléments clés du plan de gestion est la collecte de renseignements sur les propriétés et les utilisations des 200 substances chimiques environ qui ont été jugées présenter une priorité élevée pour suivi au cours du processus de catégorisation. L'information recueillie servira à prendre des décisions concernant la meilleure démarche à adopter pour protéger les Canadiens et leur environnement des risques que peuvent présenter ces substances.
La démarche de catégorisation a été imposée par la Loi canadienne sur la protection de l'environnement, 1999 [LCPE (1999)]. Il s'agit d'une première étape qui permet d'identifier lesquelles de ces substances chimiques méritent une attention plus poussée : évaluation, recherches et/ou contrôle de leur utilisation ou de leur rejet. Cette tâche a été achevée en septembre 2006, ainsi que l'exigeait la loi. S'appuyant sur l'information recueillie auprès de l'industrie canadienne, du milieu de la recherche universitaire et d'autres pays, les scientifiques du gouvernement du Canada et des partenaires ont appliqué un ensemble d'outils rigoureux à chacune des 23 000 substances chimiques inscrites dans la liste intérieure des substances (LIS).
L'évaluation des effets que peut avoir sur la santé des Canadiens et des Canadiennes l'exposition aux substances présentes dans l'environnement doit porter en priorité sur les substances figurant sur cette liste.
Programme sur l’usage et les dépendances aux substances (Le PUDS) publie les réponses aux questions les plus fréquemment posées.
Cette liste des agents de conservation autorisés énonce les additifs alimentaires utilisés pour le contrôle des micro-organismes ou de l'oxydation des aliments.