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10 dossiers trouvés similaries à Recommandations pour la qualité de l'eau potable au Canada : document technique – cadmium
La concentration maximale acceptable (CMA) de paraquat dans l'eau potable est de 0,01 mg/L (10 µg/L) dans le cas de la forme dichlorure ou de 0,007 mg/L (7 µg/L) dans le cas de l'ion paraquat.
Récemment, Santé Canada a terminé son examen des aspects à considérer du pH dans l’eau potable. Suite à cet examen, la recommandation opérationnelle pour le pH de l’eau potable traitée est une plage de 7,0 à 10,5.
Le présent document technique comprend une évaluation de tous les risques reconnus comme étant associés au benzène dans l'eau potable, évaluation qui tient compte de plusieurs voies d'exposition par l'eau potable, à savoir l'ingestion ainsi que l'inhalation et l'absorption cutanée lors d'une douche ou d'un bain. Au terme de cet examen, la recommandation pour le benzène dans l'eau potable a été établie, soit une concentration maximale acceptable (CMA) de 0,005 mg/L (5 µg/L).
Le présent document technique porte sur les effets de l'exposition au chlore dans l'eau potable sur la santé. Il ne constitue pas un examen des avantages de la chloration ou des procédés utilisés, ni une évaluation des risques pour la santé de l'exposition aux sous-produits issus de la chloration.
Le présent document technique passe en revue et évalue tous les risques pour la santé associés à la présence de baryum dans l’eau potable. Il évalue des nouvelles études et démarches et tient compte de la disponibilité des technologies de traitement pertinentes. À la lumière de cet examen, la recommandation pour le baryum dans l’eau potable une concentration maximale acceptable est de 2,0 mg/L.
Dans le présent document technique, on recense et on évalue tous les risques que pose la présence de tétrachloroéthylène dans l'eau potable pour la santé, en tenant compte de toutes les voies d'exposition associées à l'eau potable, c'est-à-dire l'ingestion ainsi que l'inhalation et l'absorption cutanée pendant la douche ou le bain. Sur la base de cet examen, la recommandation pour le tétrachloroéthylène dans l'eau potable est une concentration maximale acceptable de 0,010 mg/L (10 μg/L).
Dans ce document technique, on recense et on évalue tous les risques connus pour la santé qui sont associés à la présence de sélénium dans l'eau potable. On y passe en revue les nouvelles études et méthodologies et on prend en considération la disponibilité de techniques de traitement appropriées. Sur la base de cet examen, la recommandation pour le sélénium dans l'eau potable est une concentration maximale acceptable de 0,05 mg/L.
Le présent document technique examine et évalue tous les risques connus pour la santé qui sont associés à la turbidité de l'eau potable. Il évalue les nouvelles études et approches, en tenant compte des techniques de traitement appropriées existantes. Partant de cet examen, plusieurs recommandations sont établies concernant la turbidité dans l'eau potable, en fonction de la nature de la source d'approvisionnement en eau et des procédés de traitement utilisés pour la filtration.
Le présent document technique contient un examen et une évaluation de tous les risques pour la santé connus qui sont associés à la présence du plomb dans l'eau potable. Il présente une évaluation des nouvelles études et approches et tient compte de la disponibilité et des limites des technologies appropriées de traitement et d'analyse. La concentration maximale acceptable (CMA) pour le plomb total dans l'eau potable est de 0,005 mg/L (5 µg/L).
Santé Canada a terminé récemment son examen des risques pour la santé découlant de la présence de virus entériques dans l'eau potable. Le présent document technique passe en revue et évalue tous les risques connus pour la santé qui sont associés à la présence de virus entériques dans l'eau potable. Il tient compte des nouvelles études et approches, ainsi que des limites de la méthodologie et de l'interprétation des méthodes d'analyse disponibles pour détecter les virus dans l'eau potable. D'après cet examen, la recommandation pour les virus entériques dans l'eau potable est un objectif de traitement basé sur la santé qui consiste à diminuer la teneur en virus entériques d'au moins 4 log (soit 99,99 %) par élimination et (ou) inactivation.