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10 dossiers trouvés similaries à Bisons des plaines – Prince Albert
Le parc national Elk Island réalise chaque année un recensement aérien des populations de bisons du parc, ainsi que des relevés opportunistes de la composition des hardes. Les données sur les populations de bisons sont tirées de la même base que les données sur les populations de wapitis et d’orignaux.
La base de données sur la population de bisons des bois du parc national Wood Buffalo vise à documenter le nombre de bisons observés dans le cadre de relevés d’estimation de l’effectif effectués dans le parc. La méthodologie du relevé est normalisée depuis 2002. Il est possible d’obtenir un dénombrement de l’effectif minimum ainsi qu’une estimation accompagnée d’estimations de précisions au moyen d’un relevé par transects en bande. Les relevés sont effectués tous les deux à cinq ans, dans les limites du territoire de la sous-population décrit par Joly et Messier (2001).
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du bison à l’intérieur d’un enclos par rapport aux objectifs fixés dans le plan de gestion du parc.
Atteinte de l’objectif en matière de population de 400 individus (+/- 100), ce qui correspond à une intégrité écologique jugée « bonne ». Afin de maintenir cette cible, la population de bisons est enrichie tous les deux ans.
Les données sur les taux d’occupation des espèces sauvages sont recueillies de sept transects de pistes hivernales, où la présence ou l’absence de pistes pour chaque espèce sont enregistrées tous les 100 m. Les pistes peuvent s’accumuler au moins 48 heures une fois les transects établis par une chute de neige ou une motoneige tirant un traîneau. La surveillance des transects est faite en motoneige trois fois par hiver (en fonction des conditions d’enneigement). Les mammifères terrestres sont importants pour la biodiversité de la forêt boréale, et la surveillance des changements dans l’abondance relative et la répartition de ces mammifères peut donner une idée des changements de l’intégrité globale de l’écosystème.
Les données sur la qualité de l’eau sont tirées de deux des plus grands lacs du parc national de Prince Albert : Kingsmere et Waskesiu. Elles sont recueillies tous les mois, de mai à septembre de chaque année, et un échantillonnage additionnel d’eau est fait en mars à des fins d’analyses chimiques. Les paramètres chimiques de l’eau et les mesures de profondeur du disque de Secchi sont obtenus par bateau à trois endroits en eau libre, et la concentration d’E. coli est mesurée à trois endroits où les plages sont très fréquentées.
Cet ensemble de données définit l’emplacement et la zone brûlée pour les incendies survenus dans les limites actuelles du parc national de Prince Albert. Tous les incendies de plus de 2 ha de 1930-2017 sont inclus et les incendies de moins de 2 ha sont occasionnellement inclus. De multiples sources d’information sont utilisées pour la collecte de données sur chaque incendie. Si les estimations de la superficie brûlée diffèrent d’une source à l’autre, en général la méthode la plus précise est retenue en vue de l’obtention d’une estimation finale de la superficie brûlée (par ordre de préférence: analyses de LANDSAT, photos aériennes/orthophotos, cartes du temps depuis le dernier incendie, cartes opérationnelles des incendies, rapports d’incendie).
Cet ensemble de données définit l’emplacement et la zone brûlée pour les incendies survenus dans les limites actuelles du parc national de Prince Albert. Tous les incendies de plus de 2 ha de 1930-2017 sont inclus et les incendies de moins de 2 ha sont occasionnellement inclus. De multiples sources d’information sont utilisées pour la collecte de données sur chaque incendie. Si les estimations de la superficie brûlée diffèrent d’une source à l’autre, en général la méthode la plus précise est retenue en vue de l’obtention d’une estimation finale de la superficie brûlée (par ordre de préférence: analyses de LANDSAT, photos aériennes/orthophotos, cartes du temps depuis le dernier incendie, cartes opérationnelles des incendies, rapports d’incendie).
Des dénombrements d’oiseaux par points d'écoute sont effectués chaque année grâce à la collecte et à la transcription d’enregistrements acoustiques. Les stations d’enregistrement sont situées le long de 11 transects et sont visitées le matin, entre la fin de mai et le début de juillet. Les chants et les cris de toutes les espèces identifiables sont consignés. Étant donné qu’ils sont sensibles aux changements environnementaux, qu’ils sont répandus et qu’il est facile d’en faire le relevé, les oiseaux chanteurs migrateurs constituent un excellent indicateur de la santé de l’écosystème forestier.
La santé des parcours est tributaire de multiples éléments de l’écosystème et témoigne de la fonction globale de l’écosystème. Les forêts et les prairies sont cotées selon des critères comme la composition et la structure des communautés végétales, la rétention d’eau, l’érosion du sol et les zones dénudées, la couverture de mauvaises herbes et leur répartition, ainsi que les espèces broutables et l’utilisation. Des visites annuelles sont effectuées sur les sites durant la période de pointe de la saison de croissance. Les protocoles sont inspirés de ceux mis au point par Environnement et Parcs Alberta, mais ont été modifiés pour les applications de gestion des parcs.