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10 dossiers trouvés similaries à Densité du varech – Pacific Rim
Ce programme porte principalement sur l’établissement de l’abondance et de la structure des communautés de poissons de fond typiques des forêts de varech infralittorales, dont le sébaste noir (Sebastes melanops), le sébaste cuivré (Sebastes caurinus), le sourcil de varech (Hexagrammos decagrammus) et les perches de mer : la perche de varech (Brachyistius frenatus), la perche de pilotis (Rhacochilus vacca) et le ditrème rayé (Embiotoca lateralis) combinés. Des relevés ont été effectués chaque année en août et en septembre à des sites de l’archipel Broken Group et reposaient sur un transect délimité dans une parcelle de forêt de varech à environ 10 m de profondeur. Les relevés ont débuté en 2008, et la méthodologie a été modifiée en 2013 : plutôt que de faire appel à deux plongeurs (deux observateurs le long d’une bande de transect de 25 m de long sur 4 m de large), la nouvelle méthode prévoyait le recours à un seul plongeur (un observateur le long d’une bande de transect de 30 m de long sur 2 m de large). Ces données servent à déterminer l’état et la tendance des poissons associés aux forêts de varech, notamment l’abondance des poissons et l’efficacité des aires de conservation du sébaste (ACS) pour l’abondance des poissons.
Cet ensemble de données est une contribution au développement à l’ensemble vectoriel de données sur la répartition de varech
Le néréocyste (Nereocystis leutkeana) et la laminaire géante (Macrocystis pyrifera) sont d’importantes espèces de varech formant une canopée que l’on trouve dans les habitats marins littoraux de la côte Ouest du Canada. Souvent appelés « espèces fondatrices », les lits de varech forment des forêts sous-marines structurelles qui offrent un habitat aux poissons et aux invertébrés. Malgré sa grande importance, le varech est en déclin sur la côte Ouest de l’Amérique du Nord. Ces pertes sont dues à la récolte directe, à l’augmentation du nombre d’herbivores en raison de l’élimination des prédateurs par la pêche ou les maladies, à l’augmentation de la turbidité de l’eau due au développement du littoral ainsi qu’au changement de température de la mer, à l’acidification des océans et à l’augmentation des tempêtes.
Les caractéristiques du varech ont été tirées de feuilles de levé sur le terrain numérisées produites par le Service hydrographique du Canada (SHC). La zone couverte par cet ensemble de données englobe divers secteurs qui ont fait l’objet de levés le long de la côte ouest de l’Amérique du Nord, dans les eaux côtières de la Colombie-Britannique. Le SHC détient une vaste collection de données liées aux levés hydrographiques effectués sur une période de 100 plus ans au Canada. Ces données sont présentées sous forme de minutes hydrographique.
La loutre de mer est le plus petit mammifère marin de l'Amérique du Nord, et elle occupe les eaux côtières froides du centre et du nord de l'océan Pacifique. D'une longueur moyenne de 1,2 m, le mâle pèse en général près de 45 kg. La femelle est légèrement plus petite. La loutre de mer a une grosse tête aplatie, de grandes dents pour briser les coquilles de mollusques, ainsi qu'un museau obtus avec de longues moustaches raides.
Ce programme permet d’établir l’abondance relative et la répartition de cinq espèces d’oiseaux de mer communs qui fréquentent les eaux de la réserve de parc national Pacific Rim, y compris le guillemot marbré (Brachyramphus marmoratus), le guillemot marmette (Uria aalge), le macareux rhinocéros (Cerorhinca monocerata), le guillemot colombin (Cepphus columba) et le cormoran pélagique (Phalacrocorax pelagicus). Ces relevés en mer sont effectués environ toutes les deux semaines, de mai à septembre, le long de transects en bandes, sur un parcours fixe normalisé, pour estimer les variations annuelles dans la population d’oiseaux de mer qui utilisent les eaux sublittorales du parc. Les oiseaux de mer sont des membres importants des écosystèmes marins côtiers et sont considérés comme des sentinelles des changements environnementaux régionaux et de plus vaste portée. La stabilité démographique des populations d’oiseaux de mer pourrait servir de mesure intégrée de la santé de l’écosystème littoral.
Ce programme vise à déterminer les tendances dans la population de plusieurs guildes d’oiseaux chanteurs et dans la diversité des communautés d’espèces. L’échantillonnage a lieu du début à la fin de la matinée (de l’aube jusqu’à 10 h) entre la première semaine de mai et la première semaine de juillet. À chaque station d’échantillonnage, un enregistrement audio de 11 minutes et un dénombrement audio et visuel sont obtenus. Un relevé est effectué sur un total de 18 transects où cinq stations espacées de 300 m sont vérifiées au secteur de la plage Long trois fois tous les quatre ans depuis 2009, et deux autres transects ont fait l’objet d’un relevé annuel dans le secteur du sentier de la Côte‑Ouest depuis 2011.
Ce programme a pour but de dénombrer les masses d’œufs d’amphibiens afin de mesurer les tendances relatives à l’abondance et à la répartition des populations reproductrices de grenouilles à pattes rouges (Rana aurora) et de salamandres foncées (Ambystoma gracile) dans le secteur de la plage Long du parc. Il est présumé qu’une masse d’œufs équivaut à une femelle reproductrice. Le COSEPAC (2014) considère la grenouille à pattes rouges comme une espèce préoccupante. Les relevés représentent un recensement visuel complet de certains lacs et milieux humides représentatifs sélectionnés (qui illustrent différents types de milieux humides de différentes tailles à des distances variables de la route) et sont effectués chaque année au printemps.
Néonicotinoïdes sont écologiquement persistant et très solubles dans l'eau, et sont donc sujet à la lixiviation dans les eaux de surface où ils peuvent avoir des répercussions néfastes sur les insectes aquatiques non ciblés. La plupart des recherches jusqu’à maintenant a porté sur l’imidaclopride, et peu de données sont disponibles concernant les effets des autres néonicotinoïdes ou leurs remplaçants proposés (insecticides butenolide). L’objectif de cette étude était d’évaluer la toxicité des six néonicotinoïdes (imidaclopride, thiaméthoxame acétamipride, la clothianidine, Thiaclopride, et dinotefuran) et un butenolide (flupyradifurone) à Hexagenia spp. (larves éphémère).
Ce programme a pour but de déterminer la superficie des aires d’éradication du lierre commun (Hedera helix) et de deux espèces envahissantes d’herbes de rivage, l’ammophile des sables (Ammophila arenaria) et l’ammophile à ligule courte (Ammophila breviligulata) relativement à la superficie cartographiée totale, dans la réserve de parc national Pacific Rim. Les aires de répartition connues ou potentielles de plantes envahissantes sont cartographiées et traitées selon les ressources disponibles. Les projets suivent généralement quatre phases : la découverte, la cartographie, le traitement initial (l’enlèvement), puis la surveillance et les traitements supplémentaires jusqu’à ce que la parcelle soit exempte de plantes envahissantes. Notre mesure est évaluée en comparant la superficie où les plantes envahissantes ont été enlevées avec la somme des aires d’occurrence cartographiées à ce jour.
Dans une perspective d’intégrité écologique et de la responsabilité du parc visant à protéger et à maintenir une communauté biotique d’associations naturelles dans l’écorégion, nous nous intéressons principalement à l’étendue de deux classes de la couverture terrestre, la forêt ancienne, dont la superficie ne devrait pas diminuer dans le parc, et les zones dégagées artificielles ou l’empreinte anthropique, qui ne devraient pas s’accroître. Ce programme vise à mesurer la superficie de la forêt ancienne et à faire le suivi des changements dans les classes de la couverture terrestre (mesurés en cellules de grille de 30 x 30 m) par rapport à l’année de référence (1990). Nous utilisons les ensembles de données sur la couverture terrestre, qui sont dérivées de l’imagerie du parc obtenue au moyen de la télédétection par satellite pour cerner les événements de remplacement de peuplements forestiers, qui, dans notre cas, sont attribuables aux événements de défrichage associés à la construction ou au remplacement naturel de peuplements (p.ex. chablis causé par les tempêtes).