Portail du gouvernement ouvert
Des changements importants ont été apportés récemment à l’outil de recherche des données ouvertes. Vous pouvez maintenant effectuer vos recherches à partir de cette adresse : rechercher.ouvert.canada.ca/donneesouvertes/. N’oubliez pas de mettre à jour vos favoris.
10 dossiers trouvés similaries à Catégorie d’état de zones brûlées - Glaciers
Afin d’évaluer l’état actuel des feux de végétation en tant que processus écologique, la mesure fondée sur la catégorie d’état de zones brûlées (CEBZ) est conçue pour comparer les déviations modernes des cycles de feux de végétation aux données historiques (p. ex. : la fréquence). La CEBZ mesure l’intégrité écologique à long terme et elle est totalement intégrée aux indicateurs et aux mesures du programme national d’intégrité écologique. Les calculs de la CEBZ sont arrimés aux méthodes présentées dans le guide de surveillance des feux de l’Agence Parcs Canada.
La mesure de la catégorie d’état des zones brûlées (CEZB) est étroitement associée au concept de cycle de feu et évalue l’écart par rapport à la superficie historique ou de référence de la zone brûlée dans un parc. La CEZB donne une indication de la situation du feu en tant que processus écologique. La CEZB a été élaborée comme mesure de surveillance de l’intégrité écologique à long terme qui est pleinement intégrée au programme national des indicateurs et des mesures de l’intégrité écologique (IE). Les calculs des catégories d’état des zones brûlées sont effectués conformément aux méthodes décrites dans le guide de surveillance des feux de l’Agence Parcs Canada.
La mesure de la catégorie d’état des zones brûlées (CEZB) est étroitement associée au concept de cycle de feu et évalue l’écart par rapport à la superficie historique ou de référence de la zone brûlée dans un parc. La CEZB donne une indication de la situation du feu en tant que processus écologique. La CEZB a été élaborée comme mesure de surveillance de l’intégrité écologique à long terme qui est pleinement intégrée au programme national des indicateurs et des mesures de l’intégrité écologique (IE). Les calculs des catégories d’état des zones brûlées sont effectués conformément aux méthodes décrites dans le guide de surveillance des feux de l’Agence Parcs Canada.
Le parc national des Prairies utilise la méthode « catégorie d’état de zones brûlées » (CEZB) pour évaluer l’intégrité écologique du feu comme étant un processus sur le paysage, ainsi que le succès lié à l’utilisation du feu pour maintenir une mosaïque de composition et de structure végétales, dans le but d’avoir des populations d’espèces indigènes plus saines.
Le feu joue un rôle important dans le maintien de la santé des forêts et des prairies, et préserve la biodiversité en créant une mosaïque de diverses structures d’âge. Les prairies de fétuques de l’écorégion de la forêt parc des contreforts ont toujours été entretenues par le feu, tant de cause naturelle que provoqué par les Premières Nations. Plus d’un siècle d’extinction des feux a contribué au déclin des prairies ouvertes en raison de l’empiètement des arbustes et des trembles. La Catégorie d’état de zones brûlées (CEZB) est conçue pour être évaluée et présentée comme une mesure de surveillance de l’état dans le cadre du programme national de surveillance de l’intégrité écologique (IE) de l’Agence Parcs Canada dans tous les parcs nationaux renfermant des végétaux dépendants du feu.
La norme suivante est utilisée pour évaluer l’objectif de l’Agence Parcs Canada consistant à gérer les feux de végétation et à effectuer des brûlages dirigés dans le but de restaurer et de maintenir l’intégrité écologique des terres situées dans les parcs. Un cycle de feu naturel de 20 % a été établi en tant que proportion permettant au feu de jouer son rôle de perturbateur naturel dans les écosystèmes, et ce pourcentage demeure réaliste et atteignable si l’on tient compte des contraintes physiques et financières, de la variabilité du régime des feux de végétation dans les parcs nationaux du Mont Revelstoke et des Glaciers et de la nécessité d’assurer la sécurité publique. La moyenne à long terme de 20 % a été obtenue en analysant la variation des superficies brûlées dans les parcs nationaux de différentes superficies, les régimes de feu et l’histoire récente de la gestion des feux de végétation. Cette cible de brûlage devrait être atteignable et maintenue annuellement, sans égard aux activités de brûlage de la végétation durant la période de l’analyse.
Le parc national Elk Island a recours à la méthode de la classe d’état des zones brûlées (CEZB) pour évaluer les impacts écologiques du feu sur le paysage et l’efficacité du feu dans le maintien de communautés végétales de différentes compositions et de différentes structures pour améliorer l’état de santé des populations indigènes. La superficie des zones brûlées est déterminée à l’aide d’images Landsat, et les données sont actualisées selon les besoins. Cette mesure repose sur la même base de données que celle de la superficie des zones de prairie brûlées.
Le parc national Elk Island a recours à la méthode de la classe d’état des zones brûlées (CEZB) pour évaluer les impacts écologiques du feu sur le paysage et l’efficacité du feu dans le maintien de communautés végétales de différentes compositions et de différentes structures pour améliorer l’état de santé des populations indigènes. La superficie des zones brûlées est déterminée à l’aide d’images Landsat, et les données sont actualisées selon les besoins. Cette mesure repose sur la même base de données que celle de la superficie des zones de forêt brûlées.
Le feu joue un rôle important dans la restauration de la santé de nos forêts et maintient la biodiversité en créant une mosaïque de peuplements forestiers de diverses structures d’âge. Les forêts de l’écorégion montagnarde et de l’écorégion subalpine sont devenues denses et trop étendues. Les études sur l’historique des feux donnent à penser que l’utilisation du feu par les Premières Nations était courante, bien qu’elle n’ait probablement pas été omniprésente. L’élimination de la plupart des feux causés par l’humain au début du XXe siècle ainsi que l’extinction des feux et la fragmentation du paysage depuis cette époque ont grandement diminué les superficies brûlées et modifié les régimes de feux.
Pour évaluer la situation actuelle des feux de végétation en tant que processus écologique dans les forêts intérieures du parc national Pukaskwa (écodistricts des plaines de Pukaskwa, des hautes terres Bremner et des hautes terres Bremner‑Widgeon), on utilise la mesure de la catégorie d’état des zones brûlées (CEZB) qui sert à calculer l’écart de la période moderne par rapport aux cycles de feux de végétation historiques (c.‑à‑d. fréquence des feux). Des données sur les superficies brûlées (hectares) et les emplacements des feux de végétation et sur les brûlages dirigés sont recueillies annuellement. Les calculs de la CEZB suivent les méthodes décrites dans le guide de surveillance des feux de l’Agence Parcs Canada.