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10 dossiers trouvés similaries à Indice d'humidité climatique au Canada - Période de référence (1981-2010)
La sécheresse est un déficit de précipitation sur une période prolongée, habituellement une saison ou davantage, qui entraîne une pénurie d’eau ayant des effets néfastes sur la flore, la faune et la population. L'indice d’humidité climatique (IHC) exprime la différence entre les précipitations annuelles et l’évapotranspiration potentielle, c’est-à-dire la perte potentielle d’eau par évaporation d’un milieu couvert de végétation. Un IHC positif révèle des conditions humides et des précipitations suffisantes au maintien d’une forêt à couvert fermé. À l’opposé, un IHC négatif reflète des conditions climatiques sèches, qui peuvent au mieux soutenir des zones discontinues de type forêt-parc.
La sécheresse est un déficit de précipitation sur une période prolongée, habituellement une saison ou davantage, qui entraîne une pénurie d’eau ayant des effets néfastes sur la flore, la faune et la population. L'indice d’humidité climatique (IHC) exprime la différence entre les précipitations annuelles et l’évapotranspiration potentielle, c’est-à-dire la perte potentielle d’eau par évaporation d’un milieu couvert de végétation. Un IHC positif révèle des conditions humides et des précipitations suffisantes au maintien d’une forêt à couvert fermé. À l’opposé, un IHC négatif reflète des conditions climatiques sèches, qui peuvent au mieux soutenir des zones discontinues de type forêt-parc.
La sécheresse est un déficit de précipitation sur une période prolongée, habituellement une saison ou davantage, qui entraîne une pénurie d’eau ayant des effets néfastes sur la flore, la faune et la population. L'indice d’humidité climatique (IHC) exprime la différence entre les précipitations annuelles et l’évapotranspiration potentielle, c’est-à-dire la perte potentielle d’eau par évaporation d’un milieu couvert de végétation. Un IHC positif révèle des conditions humides et des précipitations suffisantes au maintien d’une forêt à couvert fermé. À l’opposé, un IHC négatif reflète des conditions climatiques sèches, qui peuvent au mieux soutenir des zones discontinues de type forêt-parc.
La sécheresse est un déficit de précipitation sur une période prolongée, habituellement une saison ou davantage, qui entraîne une pénurie d’eau ayant des effets néfastes sur la flore, la faune et la population. L'indice d’humidité climatique (IHC) exprime la différence entre les précipitations annuelles et l’évapotranspiration potentielle, c’est-à-dire la perte potentielle d’eau par évaporation d’un milieu couvert de végétation. Un IHC positif révèle des conditions humides et des précipitations suffisantes au maintien d’une forêt à couvert fermé. À l’opposé, un IHC négatif reflète des conditions climatiques sèches, qui peuvent au mieux soutenir des zones discontinues de type forêt-parc.
La sécheresse est un déficit de précipitation sur une période prolongée, habituellement une saison ou davantage, qui entraîne une pénurie d’eau ayant des effets néfastes sur la flore, la faune et la population. L'indice d’humidité climatique (IHC) exprime la différence entre les précipitations annuelles et l’évapotranspiration potentielle, c’est-à-dire la perte potentielle d’eau par évaporation d’un milieu couvert de végétation. Un IHC positif révèle des conditions humides et des précipitations suffisantes au maintien d’une forêt à couvert fermé. À l’opposé, un IHC négatif reflète des conditions climatiques sèches, qui peuvent au mieux soutenir des zones discontinues de type forêt-parc.
Le régime des feux désigne les patrons de saisonnalité, de fréquence, d’étendue, de continuité spatiale, d’intensité, de type (p. ex., feu de cime ou de surface) et de gravité des feux dans une région ou un écosystème donné. Le nombre de grands feux est la somme annuelle du nombre de feux de plus de 200 hectares (ha) survenant par unité de 100 000 ha. Celui-ci a été calculé à l’aide de zones homogènes de régime (ZHR) des feux.
Le lien :* Accéder au répertoire de données* est disponible à la section Fiches descriptives du jeu de données ; Informations complémentaires. Dans le cadre du projet d’acquisition de données par le capteur LiDAR à l'échelle provinciale, un indice d’humidité topographique ou Topographic Wetness Index (TWI) a été produit à partir du modèle numérique de terrain issu du LiDAR (Light Detection and Ranging) aérien. Les couches matricielles ainsi produites fournissent de l’information sur le potentiel d’accumulation d’eau sur le territoire en fonction de la pente et de l’accumulation à un pixel donné.
Le régime des feux désigne les patrons de saisonnalité, de fréquence, d’étendue, de continuité spatiale, d’intensité, de type (p. ex., feu de cime ou de surface) et de gravité des feux dans une région ou un écosystème donné. La superficie annuelle brûlée est la surface moyenne brûlée annuellement au Canada par des grands feux (plus de 200 hectares (ha)). Les variations de la superficie annuelle brûlée ont été estimées à l’aide de zones homogènes de régime (ZHR) des feux.
Les conditions météorologiques propices aux feux de forêt font référence aux variables météorologiques qui influencent la fréquence des incendies. Elles déterminent la saison des feux, qui est définie comme une ou plus d'une période de l’année où les feux de forêt sont plus susceptibles de se déclarer, de se propager et de causer suffisamment de dégâts pour entraîner la suppression organisée des feux de forêt. La durée de la saison des feux est la différence entre les dates du début et de la fin de la saison des feux. Celles-ci sont définies par les dates de début et de fin de saison des feux de l’Indice Forêt-Météo (IFM; http://cwfis.cfs.nrcan.gc.ca/).
Cette série de données représente l’humidité volumique du sol (pourcentage de saturation du sol) pour la couche superficielle (< 5 cm). Les données sont acquises quotidiennement, et la moyenne est établie pour la semaine et le mois en conformité avec la norme ISO. Les données sont produites à partir de données satellites en hyperfréquences passives recueillies par le satellite SMOS de mesure de l’humidité des sols et de la salinité des océans, puis converties en humidité du sol au moyen de la version 6.20 du processeur d’humidité du sol SMOS. Les données sont produites par l’Agence spatiale européenne et sont obtenues en vertu d’une proposition de catégorie 1 pour des données sur l’humidité du sol de niveau 2.