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10 dossiers trouvés similaries à Situation oiseaux marins - Forillon
Ce programme évalue les paramètres démographiques et l’abondance d’individus reproducteurs de cinq espèces d’oiseaux marins nichant au sol (terriers), soit le guillemot colombin (Cepphus columba), le macareux rhinocéros (Cerorhinca monocerata), le goéland à ailes grises (Larus glaucescens), l’océanite cul‑blanc (Oceanodroma leucorhoa) et l’océanite à queue fourchue (Oceanodroma furcata), à la colonie des rochers Seabird, au moyen de dénombrements de populations et de techniques de capture-marquage-recapture. Le recensement des individus de la colonie est effectué trois ou quatre fois durant une saison de nidification (de mai à juillet) afin d’estimer la taille des populations nicheuses. Un programme de baguage (capture-marquage-recapture) visant à estimer le taux de survie annuel des deux espèces d’océanites est exécuté à l’aide d’une série de filets japonais pendant deux nuits consécutives au début de mai et/ou du milieu à la fin de juillet. Ce projet a pour but de suivre la situation actuelle des oiseaux marins nichant au sol ou dans des terriers sur les rochers Seabird et à déceler tout indice de rétablissement pouvant survenir en raison des mesures qui seront prises à l’avenir pour restaurer l’habitat ou contrôler les prédateurs.
Cet ensemble de données porte sur le dénombrement des pinnipèdes (phoque commun et phoque gris) fréquentant les eaux du parc national Forillon. Le phoque gris et le phoque commun sont deux prédateurs qui se trouvent au sommet de la chaîne alimentaire des écosystèmes côtiers du parc, d’où l’intérêt de suivre ces populations. Le dénombrement s'effectue en bateau le long des côtes du parc national Forillon et en périphérie par temps calme et à marée basse lorsque les phoques se trouvent en grand nombre sur les aires de repos et de mise bas. Un premier jeu de données couvre les inventaires de 2007 à 2015.
Depuis 1977, le Goéland argenté (Larus arentatus, HERG), le Grand héron (Ardea Herodias GBHE), le Cormoran à aigrettes (Phalacrocorax auritus, DCCO) et le Goéland à bec cerclé (Larus delawarensis, RBGU) font l’objet d’une surveillance dans le parc national Pukaskwa dans le cadre du programme de surveillance des oiseaux aquatiques coloniaux. Un dénombrement complet des nids actifs sur les îles situées le long de quelque 120 km du littoral du parc national Pukaskwa est effectué selon le protocole du Service canadien de la faune (SCF). Le dénombrement de nids est effectué durant le pic de la saison de reproduction sur une période de 2 à 3 semaines. De 1977 à 1981, des relevés ont été réalisés annuellement et ont utilisé un système de numérotation pour les îles (ancien numéro de la colonie dans la feuille de données).
Ce jeu de données porte sur le suivi des colonies de castors au parc national Forillon. Les castors ont une grande influence sur les écosystèmes aquatiques du parc national Forillon. Le suivi des fluctuations de cette population peut nous permettre de mieux comprendre les variations au niveau des caractéristiques physico-chimique des cours d’eau et éventuellement au niveau des autres populations aquatiques du parc. C’est principalement dans le cadre d’un inventaire aérien en hélicoptère à la grandeur du parc que sont récoltées les données sur les colonies de castor.
Ce programme permet d’établir l’abondance relative et la répartition de cinq espèces d’oiseaux de mer communs qui fréquentent les eaux de la réserve de parc national Pacific Rim, y compris le guillemot marbré (Brachyramphus marmoratus), le guillemot marmette (Uria aalge), le macareux rhinocéros (Cerorhinca monocerata), le guillemot colombin (Cepphus columba) et le cormoran pélagique (Phalacrocorax pelagicus). Ces relevés en mer sont effectués environ toutes les deux semaines, de mai à septembre, le long de transects en bandes, sur un parcours fixe normalisé, pour estimer les variations annuelles dans la population d’oiseaux de mer qui utilisent les eaux sublittorales du parc. Les oiseaux de mer sont des membres importants des écosystèmes marins côtiers et sont considérés comme des sentinelles des changements environnementaux régionaux et de plus vaste portée. La stabilité démographique des populations d’oiseaux de mer pourrait servir de mesure intégrée de la santé de l’écosystème littoral.
Le relevé d’hiver des oiseaux aquatiques du parc Stanley, 1995-2019, a été rendu possible grâce à une collaboration entre le Service canadien de la faune, Environnement et Changement climatique Canada, le programme sur la faune et les loisirs du British Columbia Institute of Technology et la Stanley Park Ecology Society. L’objectif du relevé consistait à recueillir des données pour estimer la présence, l’abondance et la répartition des oiseaux marins le long de la zone intertidale du parc Stanley à Vancouver, en Colombie Britannique, au Canada. Cet ensemble de données est une compilation de données sur l’occurrence, l’abondance et la répartition des oiseaux marins selon les espèces, recueillies systématiquement au cours des 23 dernières années (1995-2019), environ une fois par semaine, entre septembre et avril de chaque année, le long de la digue du parc Stanley. Cet ensemble de données à long terme sur les oiseaux marins est très utile pour analyser les tendances spatiotemporelles des espèces d’oiseaux marins.
Ce jeu de données contient les données de températures relevées dans 11 ruisseaux ou rivières du parc national Forillon depuis 2008. Les données de température sont collectées aux heures par une sonde HOBO installée sur le fond du cours d'eau au mois de juin et retirée en septembre ou octobre. Pour chacun des cours d’eau étudiés, la sonde de température est installée sur le site d’échantillonnage des communautés d’invertébrés benthiques (CABIN) et non loin du site où s’effectue la pêche à l’électricité. Les données de température sont particulièrement utiles pour évaluer la qualité des écosystèmes aquatiques du parc national Forillon pour l’omble de fontaine.
Des œufs d'oiseaux aquatiques sont recueillis aux fins d'analyse des contaminants. Les collectes d'œufs dans la région du delta des rivières de la Paix et Athabasca appuient les activités de Parcs Canada au parc national du Canada Wood Buffalo et le programme multilatéral de surveillance des écosystèmes Paix-Athabasca. Cette activité de surveillance a recours à des recensements répétés des populations d'oiseaux et s'appuie sur les collectes initiales d'œufs effectuées en 2009 à l'île Egg (lac Athabasca) et dans le parc national du Canada Wood Buffalo, dans le but d'évaluer les charges et les sources de contaminants ainsi que les changements survenant dans les sources au fil du temps. Les échantillons d'œufs d'oiseaux aquatiques nichant en colonie sont recueillis auprès de Goélands de Californie (Larus californicus), de Goélands argentés (Larus argentatus), de Goélands à bec cerclé (Larus delawarensis), de Sternes caspiennes (Hydroprogne caspia), de Sternes pierregarins (Sterna hirundo) et d'oiseaux insectivores, comme l'Hirondelle de rivage (Riparia riparia), l'Hirondelle à front blanc (Petrochelidon pyrrhonota) et l'Hirondelle bicolore (Tachycineta bicolor), afin de surveiller la santé et les concentrations de contaminants chez les oiseaux terrestres et aquatiques dans la région des sables bitumineux et dans les zones de référence.
Ces oiseaux aquatiques coloniaux qui se nourrissent de poissons s’accouplent et nichent sur des îles et autour du parc marin national Fathom Five. Cinq espèces d’oiseaux aquatiques coloniaux sont surveillées. Ces oiseaux et leurs œufs permettent de mesurer efficacement la contamination environnementale et la santé de l’écosystème aquatique.
Ce jeu de données porte sur le suivi de l’évolution de la dynamique côtière au parc Forillon. Cette mesure est composée de 3 mesures de terrains soit : le taux et l’étendue de déplacement de la ligne de rivage, suivi annuellement à l’aide de bornes, le taux de changement dans la superficie des types de milieux côtiers, suivi aux 10 ans à l’aide de photos aériennes géoréférencées, et la largeur des plages, suivi annuellement.
Comme le rehaussement du niveau de la mer va inévitablement avoir des répercussions sur la dynamique du littoral à Forillon, surtout en ce qui a trait à l’érosion côtière, le suivi de cette mesure est donc nécessaire considérant les appréhensions sur l’écosystème du parc. D’ailleurs, dans certains secteurs des basses-terres du parc, ce phénomène pourrait même mener à la perte ou à la modification d’habitats important, tel le marais de Penouille ou celui de Cap-des-Rosiers.