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10 dossiers trouvés similaries à Abondance du bison - Prairies
Atteinte de l’objectif en matière de population de 400 individus (+/- 100), ce qui correspond à une intégrité écologique jugée « bonne ». Afin de maintenir cette cible, la population de bisons est enrichie tous les deux ans.
Des relevés aériens annuels sont effectués le long des transects à la fin de février pour surveiller la taille de la population de bisons des plaines de la rivière Sturgeon, l’une des dernières populations sauvages en Amérique du Nord. Cette espèce est un brouteur important des prairies et constitue une part unique de la biodiversité régionale dans le secteur sud-ouest du parc national de Prince Albert et les terres adjacentes. Le bison des plaines a été désigné « espèce menacée » par le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC).
Le parc national Elk Island réalise chaque année un recensement aérien des populations de bisons du parc, ainsi que des relevés opportunistes de la composition des hardes. Les données sur les populations de bisons sont tirées de la même base que les données sur les populations de wapitis et d’orignaux.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du Pipit de Sprague dans le cadre du recensement global des oiseaux des prairies.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du Bruant à ventre noir dans le cadre du recensement global des oiseaux des prairies.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du Pipit de Sprague dans le cadre du recensement global des oiseaux des prairies.
La base de données sur la population de bisons des bois du parc national Wood Buffalo vise à documenter le nombre de bisons observés dans le cadre de relevés d’estimation de l’effectif effectués dans le parc. La méthodologie du relevé est normalisée depuis 2002. Il est possible d’obtenir un dénombrement de l’effectif minimum ainsi qu’une estimation accompagnée d’estimations de précisions au moyen d’un relevé par transects en bande. Les relevés sont effectués tous les deux à cinq ans, dans les limites du territoire de la sous-population décrit par Joly et Messier (2001).
Le parc national des Prairies surveille l’aire de répartition du chien de prairie à queue noire en mesurant la superficie des colonies actives, en hectares. La surveillance fournit des données sur l’expansion ou la contraction des colonies dans le parc. Les zones de colonies actives dans le parc et l’écosystème de la région (sud-ouest de la Saskatchewan) sont également surveillées, mais ces dernières données ne sont toutefois pas incluses.
Le parc national des Prairies évalue l’habitat du Tétras des armoises sur une série de parcelles aléatoires, dans les écotypes des prairies en hautes terres et des prairies de vallées, dans un rayon de 8 kilomètres d’un lek actif. À toutes les parcelles, un transect de 100 m est établi, en 24 quadrats équidistants.
Le parc national des Prairies surveille les tentatives de nidification et de productivité de la Chevêche des terriers en mesurant le nombre de nids, le nombre de petits et le taux d’occupation.