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10 dossiers trouvés similaries à Aire de répartition du chien de prairie à queue noire - Prairies
L’étendue (en hectares) des colonies de chiens‑de‑prairie à queue noire dans le parc est surveillée en cartographiant le périmètre des colonies tous les deux ans. Cette étendue est activement gérée afin d’accroître la population de chiens de prairie en combinant différentes mesures, soit l’atténuation des risques liés à la peste (c.‑à‑d. par la pulvérisation d’insecticides ou le recours à des appâts contenant un vaccin contre la peste sylvatique) et l’amélioration de l’habitat/l’expansion des colonies (c.‑à‑d. par le fauchage des bordures, des brûlages et des régimes de pâturage); et, en évaluant la faisabilité et le risque, l’objectif est également d’étendre la population (c.‑à‑d.
Le parc national des Prairies surveille les tentatives de nidification et de productivité de la Chevêche des terriers en mesurant le nombre de nids, le nombre de petits et le taux d’occupation.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du Bruant à ventre noir dans le cadre du recensement global des oiseaux des prairies.
Le parc national Elk Island surveille la productivité primaire pour déterminer l’état de santé de la végétation de prairie partout dans le parc. Cette mesure repose sur une imagerie satellite multibande obtenue par télédétection, en particulier les bandes infrarouge ondes courtes et les bandes de proche infrarouge Landsat. L’analyse est effectuée à peu près tous les cinq ans, à l’aide d’images prises à la mi-juillet. La même base de données sert à l’évaluation de la productivité primaire des prairies et à celle de la productivité primaire des forêts.
Chaque année, de mars à août, le parc national des Prairies surveille quotidiennement les débits de pointe de la rivière Frenchman et du ruisseau Rock, dans le but de connaître l’intégrité des processus de perturbations naturelles en comparant les données sur la distribution actuelle des débits de pointe aux références historiques depuis le début des années 1900.
Le parc national Elk Island a recours à la classification de la couverture du sol pour déterminer les changements spatiaux qui surviennent dans la végétation de la prairie partout dans le parc. Cette mesure est fondée sur une classification supervisée d’imagerie satellite multibande obtenue par télédétection (Landsat). L’analyse est effectuée à peu près tous les cinq ans, à l’aide d’images prises à la mi-juillet.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du Pipit de Sprague dans le cadre du recensement global des oiseaux des prairies.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du bison à l’intérieur d’un enclos par rapport aux objectifs fixés dans le plan de gestion du parc.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du Pipit de Sprague dans le cadre du recensement global des oiseaux des prairies.
Le parc surveille les tendances démographiques du Tétras des armoises dans les leks du Parc et dans l’écosystème des terres adjacentes. La mesure est la somme du nombre maximum de mâles qui habitent chaque lek étudié au cours d’une année.