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10 dossiers trouvés similaries à Dépôts historiques de mercure et métaux lourds dans la région des lacs expérimentaux (RLE) reconstruites de carottes de sédiments lacustres
Le parc national Kejimkujik, en Nouvelle-Écosse, Canada, est une région de nature délicate pour la contamination par les métaux lourds, comme le mercure, en partie en raison de dépôts atmosphériques à long terme de régions industrielles globales et régionales. La région est éloignée de centres industriels, mais est sous le vent des sources principales de pollution en Amérique du Nord et le Canada, et historiquement eu de nombreux sites de mines d’or. La région a également subi l’acidification anthropiques de dépôt de sulfates au cours du 20ieme siècle, ce qui a donné lieu à des conditions favorables limnologiques pour la méthylation de mercure (Hg) dans les lacs de Kejimkujik. Kejimkujik est donc connue pour être un point d’accès sans fil pour la bioaccumulation du méthylmercure (MeHg) et la bioamplification, avec les concentrations de mercure plus élevée détectée dans les populations de plongeon huard (Gavia immer) partout au Canada et en Amérique du Nord.
Des carottes de sédiments lacustres ont été prélevés dans plusieurs endroits au Canada dans le cadre de tendance, l’analyse et la composante de recherche du mercure historique et des dépôts de métaux lourds du programme de réglementation de la qualité de l’air et les changements climatiques et les polluants de l’air (PRQA / CCPA) et la surveillance des sables bitumineux. La raison de l’analyse de base des sédiments est utilisé à des fins de recherche est que le fond d’un lac peut agir comme un dossier des contaminants et tous les autres matériaux qui ont chuté dans le lac au fil du temps. L'eau du lac agit comme un dispositif de tri et comme agent de conservation depuis les dépôts tombe en ordre chronologique et si non assujettis à des travaux de dragage ne sont habituellement pas autrement perturbée par les humains. Dans les régions où les antécédents sédimentaire sont complexes, y compris le changement des contributions de sources à l’échelle locale, régionale et mondiale, de multiples carottes de sédiments lacustres datés sont des outils utiles pour examiner la réponse non seulement des écosystèmes aquatiques, mais leur entourant les paysages au fil du temps aux scénarios de changements de dépôt et émissions.
La fonderie cuivre–zinc de Flin Flon est un site de préoccupation, car il a été la source d'émissions la plus importante de mercure atmosphérique au Canada jusqu'a les opérations cesse le 1er juillet 2010. La fusion et les activités minières ont entraîné la contamination au mercure de l’environnement local. Des niveaux élevés de mercure et d’autres métaux en traces ont été trouvés dans le sol, la tourbe humus, des plantes, des poissons et des carottes de sédiments. La fonderie de Flin Flon de l’entreprise Hudson Bay Mining and Smelting est située près de la frontière Manitoba – Saskatchewan, 600 km north-ouest de Winnipeg et de plus de 400 km d’autres complexes industriels importants.
Nous publions chaque année les projections des émissions de gaz à effet de serre (GES) et de polluants atmosphériques du Canada. Les projections d'émissions de GES nous aident à mesurer les progrès accomplis dans la réduction des émissions de GES et la lutte contre les changements climatiques. Les projections des émissions de GES sont présentées selon quelques scénarios. Les projections des polluants atmosphériques témoignent des mesures que nous prenons pour réduire la pollution atmosphérique.
Mesures en continu de la hauteur d'eau sur ou près de la décharge des lacs, et sur deux autre stations le long du ruisseau Norberg, le tributaire principal du bassin hydrographique. Les mesures ont pris fin en 2016. Renseignements supplémentaires
Le programme Changements climatiques et pollution de l'air (CCPA) a été établi en 2016 pour déterminer la gravité et l'étendue des effets néfastes des émissions atmosphériques actuelles et futures sur les écosystèmes aquatiques afin d'appuyer les mesures réglementaires et l'élaboration de politiques. Le programme comprend un certain nombre d'éléments, notamment l'identification, la surveillance et la définition des préoccupations relatives à la qualité de l'air et aux gaz à effet de serre (GES) ; améliorer notre compréhension des effets à court et à long terme des polluants atmosphériques sur l'environnement; élaborer un plan de lutte contre le changement climatique; et surveiller et réduire les émissions nationales et transfrontières de GES.
Santé Canada est chargé d'effectuer des évaluations des risques pour la santé liés à la pollution atmosphérique dans le cadre du Programme de réglementation de la qualité de l'air. Cela comprend l'évaluation des effets sur la santé de la pollution atmosphérique produite par l'industrie pour soutenir l'élaboration de réglementations régissant les émissions industrielles.
Les émissions atmosphériques issues de l'exploitation des sables bitumineux peuvent provenir de plusieurs sources, notamment des cheminées industrielles, des bassins de résidus, des transports et de la poussière émise par les activités minières. Aux termes du Plan de mise en œuvre conjoint du Canada et de l’Alberta pour la surveillance visant les sables bitumineux, la surveillance de la qualité de l’air est conçue afin de déterminer les effets des émissions provenant des activités d'exploitation des sables bitumineux sur la qualité de l'air à l'échelle locale et régionale et les dépôts atmosphériques actuels et futurs. Les données pour dépôts comprennent:
– Échantillonnage passif de composés aromatiques polycycliques (CAP) déployés sur une période de deux mois sur un réseau de 17 sites
Échantillonnage actif de composés aromatiques polycycliques à trois sites pour obtenir des renseignements sur la quantité de dépôt sec
Métaux sous forme de particules (échantillons intégrés sur 24 heures en suivant le cycle d'un jour sur six du Réseau national de surveillance de la pollution atmosphérique)
Le Programme de déclaration des gaz à effet de serre (PDGES) recueille annuellement des données sur les émissions de gaz à effet de serre (GES) des installations du Canada. Il s'agit d'un programme obligatoire pour ceux satisfaisant aux critères de déclaration. Les installations qui émettent 10 kilotonnes ou plus de GES, en équivalent (éq.) de dioxyde de carbone (CO2), par année doivent déclarer leurs émissions à Environnement et Changement climatique Canada.
En vertu du Règlement sur la déclaration obligatoire de certaines émissions de contaminants dans l’atmosphère (RDOCECA), le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parc recueille notamment les données sur les gaz à effet de serre (GES) émis par les entreprises québécoises. Ainsi, toute personne ou municipalité exploitant un établissement qui émet dans l'atmosphère des GES d’une quantité égale ou supérieure à 10 000 tonnes métriques en équivalent CO2 (t éq. CO2) est tenue de déclarer ses émissions au plus tard le 1er juin de chaque année. Ce jeu de données comporte la quantité totale de GES, la quantité totale de GES excluant le CO2 provenant de la biomasse, la quantité de CO2 provenant de la combustion de la biomasse et la quantité de CO2 provenant d’autres utilisations de la biomasse (e.g.
Le programme des Indicateurs canadiens de durabilité de l'environnement (ICDE) rend compte de la performance du Canada à l'égard d'enjeux clés en matière de développement durable. Les indicateurs présentent les tendances des émissions anthropiques (d'origine humaine) de gaz à effet de serre (GES). Ils englobent 7 GES, soit le dioxyde de carbone, le méthane, l'oxyde nitreux, l'hexafluorure de soufre, les perfluorocarbures, les hydrofluorocarbures et le trifluorure d'azote. Les gaz à effet de serre (GES) piègent la chaleur dans l'atmosphère terrestre, tout comme les vitres d'une serre conservent l'air chaud à l'intérieur.