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10 dossiers trouvés similaries à Données de véhicules et de sondes provenant d'un levé autonome de véhicules sous-marins de la zone de protection marine de Musquash
Le CERE de la Région du Pacifique fournit une approche globale pour l’évaluation de toutes les menaces pesant sur les écosystèmes marins en évaluant le risque cumulatif posé par plusieurs activités pour différentes composantes de l’écosystème, afin d’assurer une gestion écosystémique (GE), en améliorant les pratiques exemplaires internationales et nationales en matière d’aluation des risques axée uniquement sur des activités uniques (p. ex., CERE pour évaluer les impacts de la pêche) ou une seule composante de l’écosystème (p. ex., évaluation des risques relatifs aux habitats). Ce projet applique le cadre d’évaluation du risque de niveau 2 (O et al.
Les monts sous-marins ont été désignés comme des zones d’importance écologique et biologique (ZIEB) en raison de leur océanographie et de leur écologie uniques; ils servent fréquemment de sites de pêche, ainsi que d’habitat pour un certain nombre d’espèces dont la conservation est préoccupante. Des monts sous-marins isolés et des complexes de monts sous-marins sont répartis dans les eaux extracôtières du Pacifique canadien, bien que seulement certains d'entre eux portent un nom. Nous avons utilisé plusieurs bases de données spatiales et des modèles prédictifs préexistants pour cartographier tous les monts sous-marins nommés dans la zone économique exclusive (ZEE) du Canada, tous ceux où la pêche est pratiquée par le Canada dans les eaux internationales, et tous les monts sous-marins sans nom prédits (modélisés) dans la ZEE. Ces données visent à éclairer les initiatives de planification marine en Colombie-Britannique en fournissant des données scientifiques collaboratives et évaluées par des pairs à des échelles pertinentes pour une analyse de la côte de la Colombie-Britannique.
Nombre total de transects échantillonnés et le nombre total de homards mesurés pour chaque site par année.
Les zones de protection marines (ZPM) sont un outil de gestion spatiale parmi bien d’autres, et sont définies comme des zones établies à long terme et gérées par tous moyens efficaces, juridiques ou autres, afin d’assurer à long terme la conservation de la nature ainsi que les services écosystémiques et les valeurs culturelles qui lui sont associés.
À l’heure actuelle, Pêches et Océans Canada compte un certain nombre de ZPM désignées en vertu de la Loi sur les océans, ainsi que des zones d’intérêt pour de nouvelles ZPM qui en sont à diverses étapes du processus de désignation. Ces zones sont importantes sur le plan écologique, et abritent des espèces ou ont des caractéristiques qui nécessitent une gestion particulière.
En vertu de la Loi sur les océans, une ZPM peut être établie pour l’un des six objectifs de conservation énoncés dans la Loi :
• la conservation et la protection des ressources halieutiques, commerciales ou autres, y compris les mammifères marins, et de leur habitat;
• la conservation et la protection des espèces en voie de disparition et des espèces menacées, et de leur habitat;
• la conservation et la protection d’habitats uniques;
• la conservation et la protection d’espaces marins riches en biodiversité ou en productivité biologique;
• la conservation et la protection d’autres ressources ou habitats marins, pour la réalisation du mandat du ministre;
• la conservation et la protection d’espaces marins en vue du maintien de l’intégrité écologique.
En 2016-2017, la région des Maritimes du MPO a entrepris une analyse du réseau des zones de protection marine (ZPM) pour la biorégion du plateau néo-écossais et de la baie de Fundy. Les données disponibles sur l’utilisation écologique et humaine à l’échelle biorégionale ont été prises en compte dans le cadre de l’analyse afin de tracer l’ébauche d’un réseau de ZPM qui protégerait la biodiversité tout en minimisant les répercussions potentielles sur la pêche commerciale et les autres industries. Les couches de données utilisées pour la composante hauturière de l’analyse du réseau de ZPM sont fournies. Ces couches, qui ne sont pas présentées dans leur forme originale, ont été modifiées (c.-à-d.
Classe d’entités polygonales indiquant la portée géographique de la zone où la majorité des oiseaux ont été observés et ayant servi à l’élaboration de l’atlas. Quelques espèces rares observées à l’extérieur de la zone d’étude ont également été incluses.
La Base de données toponymiques du Canada (BDTC) est la base de données nationale officielle des noms géographiques du Canada. L’objectif de la BDTC consiste à conserver les toponymes et leurs attributs qui ont été approuvés par la Commission de toponymie du Canada (CTC), l’organisme de coordination national chargé des normes et des politiques liées aux noms de lieux. La BDTC est gérée par Ressources naturelles Canada, par l’intermédiaire du Centre canadien de cartographie et d’observation de la Terre. L’étendue géographique de la BDTC englobe la masse continentale du Canada et ses étendues d’eau, tandis que l’étendue temporelle couvre la période de 1897 à aujourd’hui.
Il s'agit d'essais cliniques qui ne sont pas effectués à l'initiative d'un promoteur commercial. Dans ce cas, l'établissement ou le chercheur assume les responsabilités réglementaires d'un promoteur d'essai clinique.
Trois zones de planification spatiale marine sont délimitées dans l’est du Canada afin de définir l’étendue des plans spatiaux marins dirigés par Pêches et Océans Canada (MPO) : l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent (EGSL), les plate-formes de Terre-Neuve et du Labrador (T.-N.L. ), et la plate-forme Néo-Écossaise et la baie de Fundy. La zone de planification de l’EGSL comprend l’estuaire du fleuve Saint-Laurent à partir du nord-est de l’île d’Orléans (Québec), l’estuaire de la rivière Saguenay ainsi que tout le golfe du Saint-Laurent, jusqu’au détroit de Belle Isle (divisions 4RST de l’OPANO). La zone de planification des plate-formes de T.-N.L.