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10 dossiers trouvés similaries à Abondance de l'arlequin plongeur et productivité de la couvée - Monts-Torngat
L'arlequin plongeur est une espèce peu commune au Canada atlantique et est sur la liste des espèces préoccupantes du COSEPAC. Étant résident des rivières et ruisseaux à courant rapide durant la saison de reproduction, sa présence et son abondance sont des indices importants de la santé de ces écosystèmes. Le parc recense les arlequins plongeurs sur quatre rivières et ruisseaux du parc national du Gros‑Morne; le recensement consiste en une journée de relevés en hélicoptère, est effectué tous les cinq ans et a lieu en mai.
Cet ensemble de données comprend les dates juliennes annuelles moyennes de feuillaison printanière et de la défoliation automnale et la productivité végétale de 2000 à 2010. Les données ont été obtenues par télédétection. Le satellite MODIS (spectroradiomètre imageur à résolution moyenne) fournit une image du parc tous les dix jours, et celle‑ci est utilisée pour calculer les valeurs de NDVI (indice de végétation par différence normalisée). Il en résulte une « courbe de NDVI » à partir de laquelle sont estimées la productivité végétale et la durée de la saison de croissance.
La température de l'air et du sol contrôle la composition et la productivité des communautés des plantes de la toundra. Différentes espèces de plantes arctiques et alpines répondent différement aux changements de températures de l'air et du sol, ce qui peut mener à des changements de composition de la communauté. Le parc national des Monts-Torngat surveille la température du sol et de l’air à l’aide d’enregistreurs de la température installés à plusieurs endroits dans le parc. La température de l'air (degré celsius) est mesurée à chaque heure à l'aide d'un enregistreur de données Onset Pro V2 à l'intérieur d'un étui de protection des radiations ancré à un poteau de métal à 1,5 m au-dessus du sol.
Le parc national des Monts-Torngat surveille la croissance et la répartition du bouleau nain le long de transects altitudinaux à 5 endroits afin de comprendre de quelle fa]on les buissons modfient la v/g/tation de toundra dans le parc et dans les r/gions sub-arctiques. Chaque transect contient trois ou quatre parcelles : au bas, au milieu et au haut de la pente. Pour chaque parcelle, on note la couverture, la hauteur, l<augmentation de croissance et le taux de broutage des bouleaux nains, ainsi que la température du sol.</p>
Cet ensemble de données comprend le pourcentage de la couverture du sol des arbustes ligneux dans des écotypes dominés par les arbustes à l’intérieur de la réserve de parc national des Monts-Torngat, de 1985 à 2014. Cette mesure provient de données de télédétection qui sont obtenues de l’imagerie Landsat et sont recueillies sur une base annuelle lors du pic des stades phénologiques, durant l’été. L’augmentation du pourcentage du couvert arbustif est un indicateur important des changements climatiques dans les écosystèmes nordiques. Les changements dans le climat régional ont des incidences sur la durée de la saison de croissance, le pergélisol, ainsi que sur la température du sol et l’humidité, qui, ultimement, ont des répercussions sur la couverture du sol.
La température de l'eau est une variable critique en écologie des cours d'eau et a un impact direct du les populations de poissons. Des enregisteurs de données automatisés sont déployés dans des cours d'eau en amont du bassin hydrographique Ivitak, dans le parc national des Monts-Torngat pour enregistrer la température de l'eau à chaque heure tout au long de l'année. Les mêmes enregistreurs de données (Hobo U20) enregistrent également le niveau de l'eau à chaque heure, donc cet indice est conjoint à l'indice de l'hydrologie des cours d'eau.
L'hydrologie est un facteur important affectant la biodiversité et le fonctionnement écologique des écosystèmes aquatiques et riverains en influençant le transport des sédiments, l'érosion, la chimie de l'eau, etc. Des enregisteurs de données automatisés sont déployés dans des cours d'eau en amont du bassin hydrographique Ivitak, dans le parc national des Monts-Torngat pour enregistrer la profondeur de l'eautempérature de l'eau à chaque heure tout au long de l'année. Les mêmes enregistreurs de données (Hobo U20) enregistrent également le niveau de l'eau à chaque heure, donc cet indice est conjoint à l'indice de température des cours d'eau.
Le parc national des Monts-Torngat surveille la profondeur du pergélisol dans le bassin hydrographique ciblé de la rivière Ivitak. Un cable muni de 8 thermistors à diverses profondeur entre 0,5 et 7 mètres a été installé en août 2010 et enregistre la température du sol à chaque profondeur depuis ce temps. Le site est un dépot de silt alluvial profond près de l'embouchure des rivières Ivitak et McCornick, sur la rive sud du fjord Nachvak. Les premières années, les températures enregistrées étaient particulièrement élevées, le sol s'étant probablement réchauffé pendant l'installation par forage au jet.
Ce programme porte principalement sur l’établissement de l’abondance et de la structure des communautés de poissons de fond typiques des forêts de varech infralittorales, dont le sébaste noir (Sebastes melanops), le sébaste cuivré (Sebastes caurinus), le sourcil de varech (Hexagrammos decagrammus) et les perches de mer : la perche de varech (Brachyistius frenatus), la perche de pilotis (Rhacochilus vacca) et le ditrème rayé (Embiotoca lateralis) combinés. Des relevés ont été effectués chaque année en août et en septembre à des sites de l’archipel Broken Group et reposaient sur un transect délimité dans une parcelle de forêt de varech à environ 10 m de profondeur. Les relevés ont débuté en 2008, et la méthodologie a été modifiée en 2013 : plutôt que de faire appel à deux plongeurs (deux observateurs le long d’une bande de transect de 25 m de long sur 4 m de large), la nouvelle méthode prévoyait le recours à un seul plongeur (un observateur le long d’une bande de transect de 30 m de long sur 2 m de large). Ces données servent à déterminer l’état et la tendance des poissons associés aux forêts de varech, notamment l’abondance des poissons et l’efficacité des aires de conservation du sébaste (ACS) pour l’abondance des poissons.
Le parc national Elk Island effectue un échantillonnage des oiseaux forestiers le long de 24 transects établis. Chaque transect compte 4 stations d’échantillonnage espacées de 400 à 600 mètres chacune. L’échantillonnage se fait de la fin mai au début juillet et sont réalisés dans le parc depuis 1985, mais les méthodes actuelles (utilisation d’appareils d’enregistrement audio) sont utilisées seulement depuis 2009.