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10 dossiers trouvés similaries à Quantité de précipitations mensuelles à Saskatoon et données sur les isotopes stables de l'oxygène et de l'hydrogène de 1990 à aujourd'hui
Le présent ensemble de données contient des données sur les isotopes stables d’azote (δ15N), de carbone (δ13C), d’oxygène (δ18O) et d’hydrogène (δ2H) provenant de 1 123 échantillons de la bourre d’ours blancs (Ursus maritimus) adultes. Ces échantillons ont été prélevés de 1992 à 2017 aux limites des sous-populations (zone) dans les régions arctique et subarctique du Canada. Les prédateurs au sommet du réseau trophique et dont l’aire de répartition est vaste font partie des espèces animales qui posent les plus grands défis en matière de conservation et de gestion. L’ours blanc, un prédateur emblématique chassé au Canada et menacé par les changements climatiques, en est un excellent exemple.
Données de 2008 sur la qualité de l’eau du ruisseau Big, de la rivière Lynn et du ruisseau Nanticoke
Dans le cadre d’une enquête sur la qualité de l’eau, des échantillons d’eau ont été prélevés en 2008 dans l’ensemble du bassin hydrographique du ruisseau Big, de la rivière Lynn et du ruisseau Nanticoke, dans le sud de l’Ontario. Le projet a été entrepris dans le but d’examiner la qualité de l’eau dans les conditions de débit de base des cours d’eau, en appui aux travaux d’Environnement et Changement climatique Canada visant l’évaluation de l’état des eaux du bassin des Grands Lacs. Le prélèvement des échantillons a été effectué aux croisements de cours d’eau et de routes, avec un seau en acier inoxydable. Les paramètres de terrain (température, conductivité spécifique, oxygène dissous, pH) ont été mesurés sur place au moyen d’une sonde YSI 600QS.
La 3e édition de l’Atlas du Canada (1957) contient une planche composée de trois cartes représentant le nombre annuel moyen de jours de précipitations mesurables, le nombre annuel moyen de jours de chutes de neige mesurables et la variabilité des précipitations annuelles. Une journée avec des précipitations mesurables suffisantes (un jour de précipitation) est une journée pour laquelle la quantité de pluie enregistrée est égale à un centième de pouce (0,0254 cm) ou plus, ou à un dixième de pouce (0,254 cm) de neige ou plus. Les précipitations annuelles à un endroit donné peuvent varier considérablement d’une année à une autre. Cet écart des précipitations annuelles s’exprime en coefficient de variation, c’est-à-dire l’écart-type des précipitations annuelles divisé par les précipitations annuelles moyennes.
Les données sur les ions importants portent sur les ions importants dans les précipitations suivants : Cl-, NO3-, SO4=, NH4+, Na+, K+, Ca++, Mg++. Généralement, les ensembles de données comprennent aussi le pH et la profondeur de l’échantillon de précipitations. Ces données sont recueillies par plusieurs réseaux provinciaux, nationaux et binationaux. Le collecteur de précipitations humides recueille des échantillons seulement lorsqu’il pleut ou qu’il neige.
L’écart par rapport aux précipitations moyennes représente la valeur des précipitations accumulées pour un endroit donné, de laquelle on a soustrait la valeur moyenne à long terme. La valeur moyenne à long terme se définit comme la hauteur moyenne sur la période de 1981 à 2010. Une valeur négative indique que l’endroit a reçu moins que la quantité normale de précipitations (mm) pour cette période. Une valeur positive indique que l’endroit a reçu plus que la quantité normale de précipitations (mm).
Les centiles de précipitation représentent les précipitations accumulées (en mm) pour la période comparativement aux données historiques pour la même période. Cette comparaison classe la quantité actuelle de précipitations et lui attribue une valeur en centile fondée sur un record historique. Les produits sont générés pour les périodes suivantes : l’année agricole, la saison de croissance et la saison hivernale ainsi que les produits roulants pour les jours 30, 60, 90 et 180.
La carte montre les précipitations totales moyennes pour le mois d'avril. Avril constitue un mois transitoire pour la majeure partie du sud du Canada; des chutes de neige sont toujours possibles, mais les averses de pluie commencent à dominer le régime des précipitations. Les quantités de précipitations tombées sur l’ensemble de l’intérieur-sud du Canada sont sensiblement supérieures à celles reçues en janvier, en raison du réchauffement de la température de l’air en réponse à l’augmentation de la puissance et de la durée de l’ensoleillement. Les quantités de pluie sur les côtes le long de la côte ouest de la Colombie-Britannique se situent toujours entre 200 et 300 millimètres, soient quelque peu inférieures aux valeurs de janvier.
Les anomalies de précipitations mensuelles, saisonnières et annuelles ont été interpolées à partir des données ajustées (c.-à-d. les ensembles de données DCCAH) de précipitations totales quotidiennes, à une résolution de 50 km sur l’ensemble du Canada. Les données homogénéisées de précipitations comportent des ajustements aux données initialement enregistrées aux stations afin de compenser les discontinuités causées par des facteurs non climatiques, par exemple le remplacement d’un instrument ou la relocalisation d’une station. Les anomalies correspondent au pourcentage de différence entre la quantité de précipitations totales d’une année ou saison donnée et une valeur de référence (définie comme la moyenne de la période de référence, soit de 1961 à 1990).
La 5e édition (1978 à 1995) de l’Atlas national du Canada contient une planche comprenant sept cartes sur les précipitations. La première carte illustre les précipitations moyennes annuelles. Quatre autres cartes indiquent les précipitations moyennes mensuelles pour quatre mois distincts. Les deux dernières cartes représentent les précipitations moyennes pendant la saison de croissance et le nombre moyen de jours avec précipitations mesurables.
La carte montre les isolignes indiquant la quantité des précipitations annuelles ainsi que de l’évapotranspiration annuelle (en millimètres). L’eau est obtenue par précipitation, perdue par évapotranspiration ou par écoulement, et retenue par emmagasinage souterrain ou superficiel. Puisque les variations évaluées sur plusieurs années peuvent être négligées dans l’emmagasinage de l’eau pour une région particulière, la précipitation (P) est donc « équilibrée » par l’évapotranspiration (E) et par l’écoulement (N). En 1944, Thornthwaite a utilisé le bilan hydrique pour calculer l’évapotranspiration.