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10 dossiers trouvés similaries à Population de castors - Bruce Peninsula
La température des cours d’eau augmente en raison du changement climatique, du défrichage, de l’activité des castors, etc. Cela peut causer un stress aux poissons résidents et aux autres espèces aquatiques. Le parc national de la Péninsule‑Bruce surveille trois ruisseaux du point de vue du stress thermique; il s’attarde en particulier au caractère convenable de l’habitat de l’omble de fontaine.
Le parc national de la Péninsule-Bruce surveille les tendances et les dépassements dans l’indice de qualité de l’eau par échantillonnage pour les nutriments, les principaux ions et les métaux dans deux lacs et deux rivières tout au long de l’année.
Les salamandres rayées ont une longue durée de vie, un domaine vital restreint et une fidélité élevée au site. Elles respirent par la peau et par la muqueuse du palais de la bouche, ce qui les rend sensibles aux polluants atmosphériques et aquatiques, et en fait donc un bon indicateur de la qualité de l’environnement. Le parc national de la Péninsule-Bruce mesure l’abondance de salamandres à l’aide de planches d’abris artificiels dans quatre sites.
Les oiseaux forestiers sont diversifiés en Ontario, de nombreuses espèces étant communes ou très répandues dans la péninsule Bruce (paruline flamboyante, paruline à gorge noire, grand pic, etc.). Le parc national surveille la nidification des oiseaux forestiers (principalement des oiseaux chanteurs et des pics) au moyen d’enregistreurs automatiques préprogrammés dans 20 sites (quatre voies), répartis également entre les forêts de feuillus et les forêts de conifères.
Ce jeu de données porte sur le suivi des colonies de castors au parc national Forillon. Les castors ont une grande influence sur les écosystèmes aquatiques du parc national Forillon. Le suivi des fluctuations de cette population peut nous permettre de mieux comprendre les variations au niveau des caractéristiques physico-chimique des cours d’eau et éventuellement au niveau des autres populations aquatiques du parc. C’est principalement dans le cadre d’un inventaire aérien en hélicoptère à la grandeur du parc que sont récoltées les données sur les colonies de castor.
Le castor (Castor canadensis) est un gros rongeur semi-aquatique essentiellement nocturne utilisé comme indicateur de l’état des écosystèmes d'eau douce en raison de son rôle d'espèce clé et d'ingénieur dans ces écosystèmes. Le potentiel de colonisation des castors dans le parc national Kouchibouguac est considérable en raison de la quantité de cours d'eau du premier et second ordre à l'intérieur de ses frontières. De plus, la principale source de nourriture disponible pour les castors dans le Parc est le peuplier faux-tremble (Populous tremuloides), bien que cette espèce d'arbre colonise les zones perturbées et soit habituellement remplacée par des conifères ou des feuillus tolérants à l'ombre. Par conséquent, la dynamique des populations de castors peut refléter des changements à grande échelle dans les écosystèmes forestiers.
Le castor joue un rôle important dans les écosystèmes du parc national du Mont-Riding. Le parc effectue un relevé aérien des caches alimentaires de castor actives dans 30 blocs d’habitat tous les trois ans. Ces inventaires se déroulent depuis 1973.
Le parc national Elk Island mesure l’effectif et la répartition de la population de castors tous les trois ans en automne. Pour ce faire, il réalise des recensements aériens pendant lesquels il dénombre les caches de nourriture des castors.
Le parc emploie des relevés aériens pour repérer les abris/barrages actifs des castors à Terra-Nova. Certains de ces endroits sont verifiers à pied ou en canot.
Le castor est un important architecte de l'écosystème, crééant des milieux humides, des fourrés et des prés en construisant des barrages et coupant la végétation ligneuse sur les berges des cours d'eau. Cette mesure consiste en un relevé aérien du nombre de colonies de castors actives dans les forêts des basses-terres du parc national du Gros‑Morne. Ce relevé est effectué tous les cinq ans, en automne.