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10 dossiers trouvés similaries à Corridors fauniques hivernaux – Parc national Banff
Cette mesure repose sur les données de pistage dans la neige recueillies dans transects. Les tendances touchent principalement les carnivores furtifs (couguar, lynx du Canada, loup et carcajou) sur des transects situés dans un rayon de 5 km du lotissement urbain. Les données recueillies comprennent le lieu, les espèces présentes, le nombre d’animaux, le nombre des heurs depuis la dernière neige et l’épaisseur de la neige.
Cette mesure repose sur les données de pistage dans la neige recueillies dans transects. Les tendances touchent principalement les carnivores furtifs (couguar, lynx du Canada, loup et carcajou) sur des transects situés dans un rayon de 5 km du lotissement urbain. Les données recueillies comprennent le lieu, les espèces présentes, le nombre d’animaux, le nombre des heurs depuis la dernière neige et l’épaisseur de la neige.
Le parc national Banff surveille les plantes exotiques envahissantes en délimitant des transects en bande permanents stratifiés au hasard dans la zone alpine. Le personnel consigne la fréquence de l’occurrence de toutes les espèces non indigènes détectées le long d’un transect en bande.
Le parc national Banff surveille les plantes exotiques envahissantes à l’aide de transects permanents, aléatoires et stratifiés, établis dans chacune des trois zones de gestion, à grande proximité des vecteurs de propagation (routes, sentiers, terrains de camping, etc.). Le pourcentage de couvert de toutes les espèces non indigènes détectées est consigné le long de chaque transect au moyen d’un échantillonnage linéaire.
Données sur la mortalité faunique causée par des trains et des véhicules et sur la destruction à des fins de gestion de la faune pour le parc national Banff, de 2005 à 2017. Voici les données enregistrées par espèce pour chaque mortalité : date, lieu, dénombrement, âge, sexe et cause.
Pour obtenir des données plus récentes, veuillez consulter “Incidents de coexistence humains-faune dans certains parcs nationaux entre 2010 et 2021 - Portail du gouvernement ouvert (canada.ca)” : https://open.canada.ca/data/fr/dataset/cc5ea139-c628-46dc-ac55-a5b3351b7fdf
Données tirées des recensements aériens annuels des chèvres de montagne (Oreamnos americanus) pour le secteur de Lake Louise, dans le parc national Banff, de 2002 à 2017. Ces recensements, qui ont débuté en 2002, visent à surveiller les tendances au chapitre de l’abondance relative. Le transect délimité pour les recensements aériens s’étend d’un point situé juste au nord-ouest de Lake Louise, près du lac Ross, à un point situé juste au sud-est du lac Taylor. Les recensements sont réalisés tous les ans depuis 2006, et deux recensements supplémentaires ont été effectués en 2002 et en 2003.
Les oiseaux sont les vertébrés les plus diversifiés et constituent un important indicateur de la santé d’un écosystème. Les grandes aires protégées comme le Parc national Banff procurent un habitat important pour tout un éventail d’espèces d’oiseaux. Les données recueillies peuvent fournir toute une panoplie d’indices écologiques; par exemple, certaines données servent à évaluer les effets de l’utilisation du territoire et du changement climatique. Des données sont recueillies chaque année à ces endroits à l’aide d’enregistreurs audio afin de déceler des indices sur les tendances en matière de diversité et d’occupation et ainsi de guider les activités de gestion.
Le personnel du parc national Banff mesure la condition des communautés des poissons de lac en utilisant le niveau d’écart de la présence actuelle des poissons dans un lac par rapport à leur présence historique, avant l’ensemencement de poissons.
L’appareil photo à détection de mouvement est un outil efficient et non invasif utilisé au parc national Banff pour échantillonner les populations de mammifères et estimer l’occurrence des espèces. La modélisation de l’occupation, établie grâce aux données de détection/non-détection obtenues des appareils photo, fournit un cadre utile et souple pour l’analyse des tendances des populations. Des données sont recueillies durant toute l’année un peu partout dans le parc national Banff afin de déceler les changements dans la répartition des principales populations animales, d’appuyer les prévisions démographiques et, par la même occasion, de mieux guider la gestion.
Nous avons effectué des relevés de quatre espèces d’amphibiens indigènes dans les milieux humides de la partie est du parc national Banff. Ce jeu de données fournit des indications sur la détection ou la non-détection de chacune des quatre espèces. Nous avons réalisé des relevés auditifs et visuels dans 60 lieux de reproduction prédéterminés. Chaque lieu a été soumis à deux relevés pendant la période d’échantillonnage, entre la mi-avril et la fin mai.