Portail du gouvernement ouvert
Des changements importants ont été apportés récemment à l’outil de recherche des données ouvertes. Vous pouvez maintenant effectuer vos recherches à partir de cette adresse : rechercher.ouvert.canada.ca/donneesouvertes/. N’oubliez pas de mettre à jour vos favoris.
10 dossiers trouvés similaries à Abondance moyenne du pipit de Sprague - Prairies
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du Pipit de Sprague dans le cadre du recensement global des oiseaux des prairies.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du Bruant à ventre noir dans le cadre du recensement global des oiseaux des prairies.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du bison à l’intérieur d’un enclos par rapport aux objectifs fixés dans le plan de gestion du parc.
Les données sur les populations d’oiseaux à long terme peuvent fournir de l’information sur les tendances relatives aux populations, en particulier pour les espèces préoccupantes, mais elles peuvent aussi fournir de l’information sur la structure et la fonction de l’écosystème. La surveillance des oiseaux des prairies est une méthode efficace d’évaluation de l’état des écosystèmes de prairie, qui figurent parmi les écosystèmes les plus dynamiques au Canada. Ces écosystèmes renferment des écorégions telles que les prairies de graminées cespiteuses et d’herbes hautes et les arbustaies, mais également des forêts ouvertes comme les forêts de pin ponderosa et les forêts intérieures de douglas vert. Les écosystèmes de prairie sont maintenus par le feu et le pâturage, et sont menacés par l’empiètement des arbres, l’agriculture intensive, les espèces envahissantes, l’utilisation de pesticides, le changement climatique ainsi que le broutage excessif et le piétinement par le bétail.
Le parc national des Prairies surveille l’aire de répartition du chien de prairie à queue noire en mesurant la superficie des colonies actives, en hectares. La surveillance fournit des données sur l’expansion ou la contraction des colonies dans le parc. Les zones de colonies actives dans le parc et l’écosystème de la région (sud-ouest de la Saskatchewan) sont également surveillées, mais ces dernières données ne sont toutefois pas incluses.
Le feu joue un rôle important dans le maintien de la santé des forêts et des prairies, et préserve la biodiversité en créant une mosaïque de diverses structures d’âge. Les prairies de fétuques de l’écorégion de la forêt parc des contreforts ont toujours été entretenues par le feu, tant de cause naturelle que provoqué par les Premières Nations. Plus d’un siècle d’extinction des feux a contribué au déclin des prairies ouvertes en raison de l’empiètement des arbustes et des trembles. La Catégorie d’état de zones brûlées (CEZB) est conçue pour être évaluée et présentée comme une mesure de surveillance de l’état dans le cadre du programme national de surveillance de l’intégrité écologique (IE) de l’Agence Parcs Canada dans tous les parcs nationaux renfermant des végétaux dépendants du feu.
Le parc national des Prairies surveille les tentatives de nidification et de productivité de la Chevêche des terriers en mesurant le nombre de nids, le nombre de petits et le taux d’occupation.
Chaque année, de mars à août, le parc national des Prairies surveille quotidiennement les débits de pointe de la rivière Frenchman et du ruisseau Rock, dans le but de connaître l’intégrité des processus de perturbations naturelles en comparant les données sur la distribution actuelle des débits de pointe aux références historiques depuis le début des années 1900.
L’étendue (en hectares) des colonies de chiens‑de‑prairie à queue noire dans le parc est surveillée en cartographiant le périmètre des colonies tous les deux ans. Cette étendue est activement gérée afin d’accroître la population de chiens de prairie en combinant différentes mesures, soit l’atténuation des risques liés à la peste (c.‑à‑d. par la pulvérisation d’insecticides ou le recours à des appâts contenant un vaccin contre la peste sylvatique) et l’amélioration de l’habitat/l’expansion des colonies (c.‑à‑d. par le fauchage des bordures, des brûlages et des régimes de pâturage); et, en évaluant la faisabilité et le risque, l’objectif est également d’étendre la population (c.‑à‑d.
Le parc national des Prairies évalue l’habitat du Tétras des armoises sur une série de parcelles aléatoires, dans les écotypes des prairies en hautes terres et des prairies de vallées, dans un rayon de 8 kilomètres d’un lek actif. À toutes les parcelles, un transect de 100 m est établi, en 24 quadrats équidistants.