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10 dossiers trouvés similaries à Dénombrements et emplacements des échoueries de phoques communs (Phoca vitulina) sur l’ensemble de la côte de la Colombie-Britannique.
Considérée comme le « roi » des otaries, la Steller est la plus grosse des otaries (Eumetopias jubatus) et peut atteindre l'âge de trente ans. Au Canada, on a observé sa présence le long de la côte rocailleuse de la Colombie-Britannique. Ce mammifère costaud se déplace normalement seul ou en petit groupe mais, judicieusement, il forme de petits groupes pour se protéger pendant la saison des amours et la saison de mise bas. On en connaît peu sur le cycle océanique de l'animal; cependant, il est encourageant de savoir que, pour cette espèce, depuis que cet amoureux de la mer est protégé légalement, en 1970, la taille de la population adulte a plus que doublé.
Cette couche représente la distribution et l’abondance des Phoques communs (Phoca vitulinaconcolor) dans l'estuaire et le golfe du Saint-Laurent ainsi que dans la rivière Saguenay. La plupart des données proviennent de relevés aériens effectués à marée basse en juin et en août de 1994 à 1997, 2000 et 2001. Ces périodes correspondent respectivement à la mise bas et à la mue, périodes où les Phoques utilisent intensivement les échoueries. Les polygones de cette couche de données représentent la distribution et l’abondance moyenne du Phoque commun pour tous les inventaires aériens (tables 3 et 5, figures 3 et 5 de Robillard et al.
Présence du phoque commun dans les régions de la baie de Fundy et de Port Hawkesbury. La section Océanographie côtière et recherche sur les écosystèmes (Sciences du MPO) a examiné les sources scientifiques et les connaissances locales afin d'évaluer et de délimiter les zones où les phoques communs sont présents de façon saisonnière. En date de mars 2017, cet ensemble de données délimite la présence de phoques communs dans les régions de la baie de Fundy et de Port Hawkesbury, en Nouvelle-Écosse, désignées dans la planification des zones d'intervention, identifiées dans l’initiative du système de sécurité de classe mondiale pour les navires citernes et en fonction des normes des organismes d'intervention de Transports Canada.
Une version de cet ensemble de données a été créée pour le Centre national des urgences environnementales (CNUE) selon leur modèle de données et peut être téléchargée dans la section Ressources.
Couche regroupant l’information connue des aires de reproduction et d'alimentation du phoque commun dans le fjord du Saguenay, l'estuaire et le golfe du Saint-Laurent selon une revue de littérature de documents réalisés entre 1968 et 2001. Information additionnelle
Les aires de reproduction et d'alimentation du phoque commun ont été produites à partir d'une revue de littérature des documents suivants:
Andersen, A. et M. Gagnon. 1980. Les ressources halieutiques de l'estuaire du Saint-Laurent.
Cette couche représente la distribution du Phoque du Groenland (Pagophilus groenlandicus). L'été, le Phoque du Groenland se trouve en Arctique. Il migre vers le sud de son aire de répartition à l'automne et migre à nouveau dans l'Arctique après la période de mue qui s'effectue en avril et mai. Référence:
MPO.
Couche regroupant l’information connue des sites d'échouerie potentiels pour le phoque commun et le phoque gris dans l'estuaire et le golfe du Saint-Laurent selon une revue de littérature de documents réalisés entre 1978 et 2000. Information additionnelle
Les sites d'échouerie potentiels pour le phoque commun et le phoque gris ont été colligés à partir d'une revue de littérature des documents suivants:
Andersen, A. et M. Gagnon. 1980. Les ressources halieutiques de l'estuaire du Saint-Laurent.
Les données proviennent de relevés aériens effectués à marée basse en juin et août de 1994 à 1997, 2000 et 2001. Ces périodes correspondent respectivement à la mise bas et à la mue, périodes où les phoques utilisent intensivement les échoueries. Les polygones de cette couche de données représentent la distribution et l’abondance moyenne du Phoque gris pour tous les inventaires aériens (tables 4 et 6, figures 4 et 6 de Robillard et al. 2005).
Depuis 1980, Pêches et Océans Canada et Environnement et Changement climatique Canada (Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord) collaborent régulièrement avec les associations communautaires de chasseurs et de trappeurs du Nunavut et le Conseil de gestion des ressources fauniques du Nunavut pour prélever des échantillons de phoques annelés abattus. La majorité des phoques ont été mesurés sur le terrain par des chasseurs inuits qui ont enregistré la date de la prise, le sexe et l’épaisseur du lard au niveau du sternum (0,5 cm). Les données provenant des animaux abattus sont utilisées pour évaluer les facteurs de stress et la santé générale de la population de phoques dans l’Arctique canadien.
Cette couche représente les zones d'importance pour le Phoque du Groenland (Pagophilus groenlandicus). Elle inclut les trois zones de mise bas principales de cette espèce ainsi que les voies migratoires empruntées par le Phoque du Groenland pour se déplacer entre son aire d’estivage (baie de Baffin) et son aire d'hivernage (golfe du Saint-Laurent et côtes de Terre-Neuve-et-Labrador). À noter que ces données ne représentent pas la distribution du Phoque du Groenland. Référence:
MPO.
Cet ensemble de données porte sur le dénombrement des pinnipèdes (phoque commun et phoque gris) fréquentant les eaux du parc national Forillon. Le phoque gris et le phoque commun sont deux prédateurs qui se trouvent au sommet de la chaîne alimentaire des écosystèmes côtiers du parc, d’où l’intérêt de suivre ces populations. Le dénombrement s'effectue en bateau le long des côtes du parc national Forillon et en périphérie par temps calme et à marée basse lorsque les phoques se trouvent en grand nombre sur les aires de repos et de mise bas. Un premier jeu de données couvre les inventaires de 2007 à 2015.