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L’anomalie de conductivité des Plaines centrales de l’Amérique du Nord (PCAN) est une signature géophysique de l’orogène trans-hudsonien. Des études magnétotelluriques ont été menées le long de cinq profils en Saskatchewan (carte des PCAN) du sud au nord.

L’anomalie de conductivité des Plaines centrales de l’Amérique du Nord (PCAN) est une signature géophysique de l’orogène trans-hudsonien. Des études magnétotelluriques ont été menées le long de cinq profils en Saskatchewan (carte des PCAN) du sud au nord.

L’anomalie de conductivité des Plaines centrales de l’Amérique du Nord (PCAN) est une signature géophysique de l’orogène trans-hudsonien. Des études magnétotelluriques ont été menées le long de cinq profils en Saskatchewan (carte des PCAN) du sud au nord.

L’anomalie de conductivité des Plaines centrales de l’Amérique du Nord (PCAN) est une signature géophysique de l’orogène trans-hudsonien. Des études magnétotelluriques ont été menées le long de cinq profils en Saskatchewan (carte des PCAN) du sud au nord.

Chaque année, en mai et en juin, le personnel du parc national des Mille-Îles surveille la qualité de l’eau des milieux humides. Les échantillons sont analysés pour plusieurs paramètres, notamment : le phosphore total, l’ammonium, le nitrate, la turbidité et la conductivité spécifique.

Pour évaluer les changements à long terme dans les ruisseaux, le personnel du parc national des Mille-Îles surveille la qualité de leurs eaux chaque année, en juillet. Les échantillons sont analysés pour plusieurs paramètres, notamment : le phosphore total, l’ammonium, le nitrate, la turbidité et la conductivité spécifique.

Dans le cadre d’un projet géoscientifique multidisciplinaire, des images de la structure de conductivité de la lithosphère sous la presqu’île Melville, au Nunavut, ont été produites au moyen de méthodes magnétotelluriques. Les données révèlent des entités presque verticales, moins résistantes qui traversent la croûte et sont en corrélation avec des traces de failles superficielles.

Les études télésismiques et magnétotelluriques (1998) ont nécessité le déploiement de huit (8) instruments de géophysique le long d’un profil perpendiculaire à la zone tectonique de Snowbird (ZTS). Une analyse complète des données comprendra des mesures de l’anisotropie, ainsi que la cartographie des limites lithosphériques subhorizontales ainsi que de la structure sismique et de la conductivité de la lithosphère.

Les propriétés hydrauliques caractérisent une unité hydrogéologique. Les propriétés considérées dans le jeu de données sont : transmissivité, conductivité hydraulique, coefficient d'emmagasinement, coefficient d'emmagasinement spécifique et porosité. Elles sont décrites ci-dessous. Elles sont estimées à partir de tests d'aquifère (essais de pompage, essais de perméabilité).

Le jeu de données représente l'évapotranspiration (ET) de la surface terrestre continentale du Canada à une résolution spatiale de 5 km. Les valeurs représentent la quantité totale annuelle d'ET en mm d'H2O, moyenne sur une période de 38 ans de 1979 à 2016. L'ET a été produit par Modélisation des écosystèmes et assimilation des données satellite (modèle AEOCT : Assimilation écologique des observations terrestres et climatiques) développé par Ressources naturelles Canada. Les détails de l'ensemble de données peuvent être trouvés dans Wang et al., 2013 (Variations spatiales et saisonnières de l'évapotranspiration dans la masse continentale du Canada.