Portail du gouvernement ouvert
Des changements importants ont été apportés récemment à l’outil de recherche des données ouvertes. Vous pouvez maintenant effectuer vos recherches à partir de cette adresse : rechercher.ouvert.canada.ca/donneesouvertes/. N’oubliez pas de mettre à jour vos favoris.
10 dossiers trouvés similaries à Indice canadien de défavorisation
L'Indice canadien de défavorisation multiple (ICDM) est un indice géographique fondé sur les microdonnées du Recensement de la population de 2016 qui mesure quatre dimensions clés de la défavorisation au niveau de l'aire de diffusion (AD) : l'instabilité résidentielle, la dépendance économique, la vulnérabilité situationnelle et la composition ethnoculturelle. L'indice a été créé en utilisant les données tirées des aires de diffusion (AD) à l'échelle du pays. Au moyen d'une analyse factorielle, des scores factoriels au niveau des AD ont été calculés pour chaque dimension. À l'intérieur d'une dimension, les scores ordonnés se sont vus attribuer une valeur, de 1 à 5, où 1 représente les moins défavorisés et 5 représente les plus défavorisés.
L’indice de défavorisation a été conçu à la fin des années 1990 dans le but de mesurer la défavorisation des Québécois à petite échelle géographique. Il sert à des fins de recherche sur les inégalités sociales de santé et de suivi de leurs tendances, d’élaboration de politiques et de programmes, d’allocation des ressources et d’évaluation des services. Il est composé d’une dimension matérielle et d’une dimension sociale qu’il est possible d’analyser séparément ou de manière combinée. L’indice regroupe six indicateurs, tous issus du recensement de 2011 et calculés sur la base des aires de diffusion (AD).
L’indice de défavorisation a été conçu à la fin des années 1990 dans le but de mesurer la défavorisation des Québécois à petite échelle géographique. Il sert à des fins de recherche sur les inégalités sociales de santé et de suivi de leurs tendances, d’élaboration de politiques et de programmes, d’allocation des ressources et d’évaluation des services. Il est composé d’une dimension matérielle et d’une dimension sociale qu’il est possible d’analyser séparément ou de manière combinée. L’indice regroupe six indicateurs, tous issus du recensement de 2016 et calculés sur la base des aires de diffusion (AD).
L’ensemble de données pour l'indice canadien de défavorisation multiple incluent des tableaux dans un format Excel et Comma-separated values (CSV) pour l’indice national (sauf les territoires), ainsi que les trois indices provinciaux et les deux indices régionaux, soit ceux de la région de l'Atlantique (Terre-Neuve-et-Labrador, Île-du-Prince-Édouard, Nouvelle-Écosse et Nouveau-Brunswick), du Québec, de l'Ontario, de la région des Prairies (Manitoba, Saskatchewan et Alberta) et de la Colombie-Britannique.
Le ministère de l'Éducation (MEQ) calcule annuellement deux indices de défavorisation pour les 69 centres de services scolaires et commissions scolaires linguistiques soit : * l'Indice de milieu socio-économique (IMSE), qui est constitué de la proportion des familles avec enfants dont la mère n'a pas de diplôme, certificat ou grade (ce qui représente les deux tiers du poids de l'indice) et de la proportion de ménages dont les parents n'étaient pas à l'emploi durant la semaine de référence du recensement canadien (ce qui représente le tiers du poids de l'indice). * l'Indice du seuil de faible revenu (SFR) correspond à la proportion des familles avec enfants dont le revenu est situé près ou sous le seuil de faible revenu. Le seuil de faible revenu est défini comme le niveau de revenu selon lequel on estime que les familles consacrent 20% de plus que la moyenne générale à la nourriture, au logement et à l'habillement. Il fournit une information qui sert à estimer la proportion des familles dont les revenus peuvent être considérés comme faibles, en tenant compte de la taille de la famille et du milieu de résidence (région rurale, petite région urbaine, grande agglomération, etc.).
Cet indice mesure l'intensité relative du système de dépression des Aléoutiennes du Pacifique Nord (Décembre à Mars). Il est calculé comme la région moyenne (km²) où la pression du niveau de la mer est moins de ou égal à 100.5 kPa, et exprimé comme une anomalie de la moyenne de 1950 à 1997. Une valeur positive représente une dépression relativement forte ou intense des Aléoutiennes. En 2015, l'indice a été complètement régénéré au moyen d'une nouvelle méthode.
Les espèces exotiques envahissantes existantes, ainsi que le potentiel d'introduction de nouvelles espèces envahissantes, présentent une menace pour la biodiversité et les fonctions de la forêt. La mesure mixte (indice composite) des espèces envahissantes dans le parc national de l’Î.-P.-É. comprend deux mesures annuelles prises sur le terrain : le pourcentage (%) de l'écosystème forestier où des espèces envahissantes sont présentes (mesuré selon une proportion de quadrats d'une superficie de 244, 441 m2 couvrant l'écosystème forestier) et le pourcentage (%) de la superficie forestière totale (ha) où des espèces envahissantes sont présentes. Les quatre plantes envahissantes suivantes sont visées par cette mesure : l'alliaire officinale (Alliaria petiolata), le renouée du Japon (Polygonum cuspidatum), le pin sylvestre (Pinus sylvestris) et le nerprun bourdaine (Frangula alnus ), ainsi qu'une espèce d'insecte, la spongieuse (Lymantria dispar) dont on évalue uniquement la présence.
La détermination de la viabilité des espèces en péril est une évaluation importante de la biodiversité d'un écosystème. L'évaluation de l'état de chaque espèce menacée peut nous aider à formuler des hypothèses sur l'état du fonctionnement d'un écosystème et sa capacité à maintenir la diversité des espèces. L'évaluation de la situation des espèces côtières en péril, y compris le Pluvier siffleur (Charadrius melodus), l'aster du golfe Saint-Laurent (Symphyotrichum laurentianum) et la léchéa maritime (Lechea maritima) est un indicateur valable de l'intégrité écologique de l'écosystème côtier du parc national de l’Île-du-Prince-Édouard. L'abondance de la population d'asters du golfe et de léchéas maritimes est évaluée et comparée aux niveaux historiques d'abondance de l'espèce, et cette mesure aide à déterminer si la tendance de la taille de la population est à la hausse ou ȧ la baisse.
Au parc national de l’Î.-P.-É., la santé et la croissance des arbres font l'objet d'un suivi à l'intérieur de 20 parcelles forestières permanentes utilisées pour un suivi à long terme. Ces parcelles ont été établies en 2006 dans des forêts d'épinettes blanches matures, dans le cadre du programme du Réseau d'évaluation et de surveillance écologique (RESE). Les données recueillies portent sur la dominance d'espèces d'arbres, le recrutement et la croissance. Les mesures prises sur le terrain comprennent le nom de l'espèce, le diamètre à hauteur de poitrine (dhp) et la condition des arbres.