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10 dossiers trouvés similaries à Recommandations pour la qualité de l'eau potable au Canada : document technique – les matières dissoutes totales (MDT)
Il n'existe aucune méthode qui permette de mesurer le goût de façon objective; la tolérance varie d'ailleurs, à cet égard, d'un consommateur à l'autre. On n'a pas encore établi de limite numérique relative au goût de l'eau potable.
On a fixé à ≤250 mg/L l'objectif esthétique pour la concentration de chlorure dans l'eau potable. À des concentrations supérieures, le chlorure donne un mauvais goût à l'eau et aux boissons préparées à partir de l'eau et risque par ailleurs de provoquer la corrosion du réseau de distribution.
L'objectif fixé à des fins d'ordre esthétique pour les sulfates dans l'eau potable est ≤500 mg/L; il est fondé sur des considérations de goût. Vu la possibilité d'effets physiologiques nocifs à des concentrations plus élevées, il est aussi recommandé d'avertir les autorités compétentes si la concentration de sulfates d'une source d'eau potable dépasse 500 mg/L.
Pour des raisons de qualité esthétique ou organoleptique, l'objectif fixé pour la concentration du sodium dans l'eau potable a été fixé à ≤200 mg/L. On considère ordinairement le goût de l'eau potable comme désagréable lorsque la concentration du sodium dépasse ce niveau. Le sodium n'est pas considéré comme toxique : un adulte normal en absorbe jusqu'à 5 g/jour.
La présence de sulfure (sous forme de sulfure d'hydrogène) dans l'eau potable lui donne un goût et une odeur désagréables. C'est pourquoi on a fixé un objectif d'ordre organoleptique de ≤0,05 mg/L (≤50 µg/L) (exprimé en sulfure d'hydrogène).
Le présent document technique met l'accent sur les effets sur la santé liés à l'exposition aux chloramines dans les approvisionnements en eau potable, en tenant également compte des préoccupations relatives au goût et à l'odeur. Il n'examine pas les avantages ni les procédés de chloramination et n'évalue pas non plus les risques pour la santé liés à l'exposition aux sous-produits résultant du procédé de chloration.
On a fixé à ≤250 mg/L l'objectif esthétique pour la concentration de chlorure dans l'eau potable. À des concentrations supérieures, le chlorure donne un mauvais goût à l'eau et aux boissons préparées à partir de l'eau et risque par ailleurs de provoquer la corrosion du réseau de distribution.
Le présent document technique comprend une évaluation de tous les risques reconnus comme étant associés au benzène dans l'eau potable, évaluation qui tient compte de plusieurs voies d'exposition par l'eau potable, à savoir l'ingestion ainsi que l'inhalation et l'absorption cutanée lors d'une douche ou d'un bain. Au terme de cet examen, la recommandation pour le benzène dans l'eau potable a été établie, soit une concentration maximale acceptable (CMA) de 0,005 mg/L (5 µg/L).
Rien n'indique que le calcium présent dans l'eau potable ait des effets nocifs pour la santé. Les données dont on dispose sont insuffisantes pour établir un objectif précis d'ordre esthétique ou organoleptique pour le calcium présent dans l'eau potable. On n'a donc pas formulé de recommandation pour le calcium.
Le présent document technique examine et évalue tous les risques connus pour la santé qui sont associés à la turbidité de l'eau potable. Il évalue les nouvelles études et approches, en tenant compte des techniques de traitement appropriées existantes. Partant de cet examen, plusieurs recommandations sont établies concernant la turbidité dans l'eau potable, en fonction de la nature de la source d'approvisionnement en eau et des procédés de traitement utilisés pour la filtration.