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10 dossiers trouvés similaries à Zone perturbée par le feu - Lacs-Waterton - prairies
Le feu joue un rôle important dans le maintien de la santé des forêts et des prairies, et préserve la biodiversité en créant une mosaïque de diverses structures d’âge. Les prairies de fétuques de l’écorégion de la forêt parc des contreforts ont toujours été entretenues par le feu, tant de cause naturelle que provoqué par les Premières Nations. Plus d’un siècle d’extinction des feux a contribué au déclin des prairies ouvertes en raison de l’empiètement des arbustes et des trembles. La Catégorie d’état de zones brûlées (CEZB) est conçue pour être évaluée et présentée comme une mesure de surveillance de l’efficacité de la gestion dans le cadre du projet de Conservation et de Restauration (CoRe) des Lacs Waterton (« À la rescousse de la fétuque »).
Le feu joue un rôle important dans la restauration de la santé de nos forêts et maintient la biodiversité en créant une mosaïque de peuplements forestiers de diverses structures d’âge. Les forêts de l’écorégion montagnarde et de l’écorégion subalpine sont devenues denses et trop étendues. Les études sur l’historique des feux donnent à penser que l’utilisation du feu par les Premières Nations était courante, bien qu’elle n’ait probablement pas été omniprésente. L’élimination de la plupart des feux causés par l’humain au début du XXe siècle ainsi que l’extinction des feux et la fragmentation du paysage depuis cette époque ont grandement diminué les superficies brûlées et modifié les régimes de feux.
La mesure de la catégorie d’état des zones brûlées (CEZB) est étroitement associée au concept de cycle de feu et évalue l’écart par rapport à la superficie historique ou de référence de la zone brûlée dans un parc. La CEZB donne une indication de la situation du feu en tant que processus écologique. La CEZB a été élaborée comme mesure de surveillance de l’intégrité écologique à long terme qui est pleinement intégrée au programme national des indicateurs et des mesures de l’intégrité écologique (IE). Les calculs des catégories d’état des zones brûlées sont effectués conformément aux méthodes décrites dans le guide de surveillance des feux de l’Agence Parcs Canada.
La mesure de la catégorie d’état des zones brûlées (CEZB) est étroitement associée au concept de cycle de feu et évalue l’écart par rapport à la superficie historique ou de référence de la zone brûlée dans un parc. La CEZB donne une indication de la situation du feu en tant que processus écologique. La CEZB a été élaborée comme mesure de surveillance de l’intégrité écologique à long terme qui est pleinement intégrée au programme national des indicateurs et des mesures de l’intégrité écologique (IE). Les calculs des catégories d’état des zones brûlées sont effectués conformément aux méthodes décrites dans le guide de surveillance des feux de l’Agence Parcs Canada.
Le parc national des Prairies utilise la méthode « catégorie d’état de zones brûlées » (CEZB) pour évaluer l’intégrité écologique du feu comme étant un processus sur le paysage, ainsi que le succès lié à l’utilisation du feu pour maintenir une mosaïque de composition et de structure végétales, dans le but d’avoir des populations d’espèces indigènes plus saines.
Le parc national Elk Island a recours à la méthode de la classe d’état des zones brûlées (CEZB) pour évaluer les impacts écologiques du feu sur le paysage et l’efficacité du feu dans le maintien de communautés végétales de différentes compositions et de différentes structures pour améliorer l’état de santé des populations indigènes. La superficie des zones brûlées est déterminée à l’aide d’images Landsat, et les données sont actualisées selon les besoins. Cette mesure repose sur la même base de données que celle de la superficie des zones de forêt brûlées.
Le parc national Elk Island a recours à la méthode de la classe d’état des zones brûlées (CEZB) pour évaluer les impacts écologiques du feu sur le paysage et l’efficacité du feu dans le maintien de communautés végétales de différentes compositions et de différentes structures pour améliorer l’état de santé des populations indigènes. La superficie des zones brûlées est déterminée à l’aide d’images Landsat, et les données sont actualisées selon les besoins. Cette mesure repose sur la même base de données que celle de la superficie des zones de prairie brûlées.
Au Canada, seulement 2,1 % de l’écorégion de la forêt parc des contreforts bénéficie de la protection que confère un parc fédéral ou provincial. Le parc national des Lacs Waterton (PNLW) est le seul parc national où cette écorégion pittoresque et diversifiée sur le plan biologique est protégée. La rareté des feux de forêt et l’absence de broutage par le bison ont contribué à l’empiètement de la forêt de trembles et à l’homogénéisation de la prairie de fétuques. Cette région est également le site de la plus importante concentration de plantes non indigènes envahissantes.
Pour évaluer la situation actuelle des feux de végétation en tant que processus écologique dans les forêts intérieures du parc national Pukaskwa (écodistricts des plaines de Pukaskwa, des hautes terres Bremner et des hautes terres Bremner‑Widgeon), on utilise la mesure de la catégorie d’état des zones brûlées (CEZB) qui sert à calculer l’écart de la période moderne par rapport aux cycles de feux de végétation historiques (c.‑à‑d. fréquence des feux). Des données sur les superficies brûlées (hectares) et les emplacements des feux de végétation et sur les brûlages dirigés sont recueillies annuellement. Les calculs de la CEZB suivent les méthodes décrites dans le guide de surveillance des feux de l’Agence Parcs Canada.
Au Canada, seulement 2,1 % de l’écorégion de la forêt parc des contreforts bénéficie de la protection que confère un parc fédéral ou provincial. Le parc national des Lacs Waterton (PNLW) est le seul parc national où cette écorégion pittoresque et diversifiée sur le plan biologique est protégée. La rareté des feux de forêt et l’absence de broutage par le bison ont contribué à l’empiètement de la forêt de trembles et à l’homogénéisation de la prairie de fétuques. Cette région est également le site de la plus importante concentration de plantes non indigènes envahissantes et reçoit le plus grand nombre de visiteurs du parc (environ 95 %).