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10 dossiers trouvés similaries à Relevés aériens des wapati - Jasper
Le wapiti (Cervus canadensis) est généralement considéré comme une espèce clé dans divers paysages. Le wapiti (C. canandenis nelsoni) du parc national Jasper est l’une des quatre sous espèces de wapitis présentes en Amérique du Nord. Cet animal est un important élément faunique du parc en ce qui concerne la gestion des conflits humains-animaux sauvages et pour ce qui est de comprendre la dynamique de la population de caribous et de loups. Des données sont recueillies au moyen de relevés routiers dans l’ensemble du parc dans le but d’estimer le recrutement.
Le parc national Elk Island effectue des inventaires aériens de la totalité du parc afin de recenser les populations de wapitis et d’orignaux. Les inventaires sont réalisés à la fin de l’automne ou en hiver. De plus, le personnel du parc procède à des dénombrements, lors d’opportunités, de wapitis et d’orignaux pendant l’été, et obtient des données démographiques lors de la manipulation des wapitis. Les données sur les populations de wapitis et d’orignaux se trouvent dans la même base que les données sur la population de bisons.
Le wapiti est de loin l’ongulé dominant dans le parc national des Lacs Waterton, avec une population suffisamment importante pour influencer les écosystèmes du parc, en particulier l’écorégion montagnarde et celle de la forêt-parc à trembles. Brouteur important, le wapiti aide à maintenir la prairie saine en empêchant les plantes ligneuses d’empiéter, mais le broutage excessif entraînera une détérioration de la prairie. Dans le parc national des Lacs Waterton, des relevés aériens de wapitis (figure 1) sont effectués depuis le début des années 1970. Le recensement de la population hivernale de wapitis est réalisé au moyen d’un relevé aérien ou terrestre, pour lequel un dénombrement minimal complet est calculé, dans le but de détecter les changements dans le temps.
Ces donnees ventilent le nombre de recoltes de wapitis males, de wapitis femelles et totales par : * zone de recolte de wapiti * annee civile Le nombre de recoltes est fonde sur les rapports obligatoires reçus des titulaires de vignette de chasse au wapiti. Il s'agit d'un nombre absolu qui n'est pas projete statistiquement comme c'est le cas avec les estimations des recoltes et des activites de chasse a l'ours, au chevreuil et a l'orignal.
Le parc national Elk Island réalise chaque année un recensement aérien des populations de bisons du parc, ainsi que des relevés opportunistes de la composition des hardes. Les données sur les populations de bisons sont tirées de la même base que les données sur les populations de wapitis et d’orignaux.
L’abondance et la composition de la population de wapitis sont évaluées annuellement au cours d’un relevé aérien effectué entre la mi-janvier et la mi-février. La composition de la population de wapitis est mesurée chaque année au moyen d’un dénombrement aérien classifié qui a lieu au début de décembre.
Les données sur les interactions entre les humains et la faune dans le parc national Jasper sont importantes pour la gestion tant des besoins des humains (p. ex. citadins, visiteurs) que ceux des espèces sauvages (p. ex. fermetures de secteurs). On peut atteindre l'équilibre si l’on dispose de données liées, en partie, aux emplacements où les animaux sont morts ou ont été blessés (autoroute, voie ferrée, etc.) et aux nombreux problèmes connexes qui influent sur le comportement des espèces sauvages (déversements de grains, ordures dans les campings, etc.) et qui présentent un risque pour la sécurité des humains (p. ex.
AttentionFlore est un programme national qui a été intégré aux activités de surveillance de l'intégrité écologique dans le parc national de l'Île-du-Prince-Édouard (Î.-P.-É.). Ce programme améliore notre compréhension des effets des changements climatiques sur la phénologie des plantes communes. Le parc national de l'Î.-P.-É. fait le suivi de la date julienne de la première floraison de quatre espèces de l'écosystème forestier : l'érable rouge (Acer rubrum), le mélèze laricin (Larix laricina), le cornouiller du Canada (Cornus canadensis) et la trientale boréale (Trientalis borealis).
Ces données font état de tous les abattoirs titulaires d’un permis provincial, les abattoirs qui mènent des activités de transformation ultérieures, les établissements de transformation des viandes sans abattoir et les usines qui se spécialisent dans l’abattage des animaux suivants dans l’ensemble de l’Ontario: * alpaga ou lama * bœuf * buffle ou yak * cerf ou wapiti * émeu, autruche ou nandou * chèvre, agneau ou mouton * porc * veau ou veau léger * poulet ou volaille * canard ou oie * oiseaux rares * lapin * dinde ou dindon Une carte montrant tous les établissements de transformation des viandes titulaires d’un permis provincial en Ontario est également disponible. Pour de plus amples renseignements sur l’inspection des viandes en Ontario, veuillez consulter le site Web du ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et des Affaires rurales. Chaque ensemble de données contient: * le nom de l’établissement * le numéro de l’établissement * les coordonnées des personnes-ressources * les coordonnées de latitude et de longitude * la catégorie d’animaux* Cet élément de métadonnées provenant d’une tierce partie. Les valeurs françaises pour le titre et la description du jeu de données proviennent de la province de l’Ontario alors que celles des mots-clés et des noms des ressources sont le résultat d'une traduction automatique (Amazon Translate) *
Le castor (Castor canadensis) est un gros rongeur semi-aquatique essentiellement nocturne utilisé comme indicateur de l’état des écosystèmes d'eau douce en raison de son rôle d'espèce clé et d'ingénieur dans ces écosystèmes. Le potentiel de colonisation des castors dans le parc national Kouchibouguac est considérable en raison de la quantité de cours d'eau du premier et second ordre à l'intérieur de ses frontières. De plus, la principale source de nourriture disponible pour les castors dans le Parc est le peuplier faux-tremble (Populous tremuloides), bien que cette espèce d'arbre colonise les zones perturbées et soit habituellement remplacée par des conifères ou des feuillus tolérants à l'ombre. Par conséquent, la dynamique des populations de castors peut refléter des changements à grande échelle dans les écosystèmes forestiers.