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10 dossiers trouvés similaries à Picas – Banff
Le parc national Yoho évalue les populations de picas d’Amérique à l’aide de relevés des tas de foin actifs de picas à différents sites un peu partout dans le parc.
Le parc national Kootenay évalue les populations de picas d’Amérique à l’aide de relevés des tas de foin actifs de picas à différents sites un peu partout dans le parc.
La surveillance de l’occupation et de la persistance du pica avec le temps aidera à évaluer les impacts du changement climatique et l’intégrité écologique des écosystèmes de toundra alpine dans la réserve de parc national Nahanni. Un recensement visuel annuel des tas de foin actifs effectué à pied et des relevés auditifs sont utilisés pour évaluer les populations de picas. Le pica à collier a été inscrit par le COSEPAC à la liste des espèces en péril en tant qu’espèce préoccupante.
Le parc national Banff surveille les plantes exotiques envahissantes en délimitant des transects en bande permanents stratifiés au hasard dans la zone alpine. Le personnel consigne la fréquence de l’occurrence de toutes les espèces non indigènes détectées le long d’un transect en bande.
Ces données correspondent au nombre de physes des fontaines de Banff recensées dans sept sources thermales du parc national Banff. Les dénombrements sont réputés s’assimiler à des recensements, car l’effectif entier de la population de chaque source a été compté.
Il est prévu que les arbustes progresseront vers le haut des pentes et s’étendront jusque dans la toundra alpine sous l’effet du réchauffement climatique dans la région du parc national et de la réserve de parc national Kluane. Cette expansion créera un habitat pour certaines espèces, comme l’orignal, mais elle entraînera aussi une perte d’habitat pour des espèces telles que la marmotte des Rocheuses, le pica à collier et le lagopède. Parcs Canada se sert de parcelles de végétation alpine pour surveiller l’étendue des arbustes dans le parc et la réserve de parc. Il évalue les deux sous-mesures suivantes : 1) le pourcentage de couvert des arbustes; 2) la hauteur de l’arbuste le plus haut.
L’appareil photo à détection de mouvement est un outil efficient et non invasif utilisé au parc national Banff pour échantillonner les populations de mammifères et estimer l’occurrence des espèces. La modélisation de l’occupation, établie grâce aux données de détection/non-détection obtenues des appareils photo, fournit un cadre utile et souple pour l’analyse des tendances des populations. Des données sont recueillies durant toute l’année un peu partout dans le parc national Banff afin de déceler les changements dans la répartition des principales populations animales, d’appuyer les prévisions démographiques et, par la même occasion, de mieux guider la gestion.
Il est prévu que les arbustes progresseront vers le haut des pentes et s’étendront jusque dans la toundra alpine sous l’effet du réchauffement climatique dans la région du parc national et de la réserve de parc national Kluane. Cette expansion créera un habitat pour certaines espèces, comme l’orignal, mais elle entraînera aussi une perte d’habitat pour des espèces telles que la marmotte des Rocheuses, le pica à collier et le lagopède. Parcs Canada surveille la richesse des espèces végétales à l’aide d’un indice de similitude, en comparant les mesures répétées avec la moyenne mesurée à l’échelle du paysage en 2011. L’échantillonnage se fait sur 21 parcelles permanentes délimitées dans sept secteurs différents de la toundra alpine.
Le personnel du parc national Banff mesure la condition des communautés des poissons de lac en utilisant le niveau d’écart de la présence actuelle des poissons dans un lac par rapport à leur présence historique, avant l’ensemencement de poissons.
Ce projet vise à surveiller l’efficacité des passages pour animaux le long de la Transcanadienne, dans le parc national Banff, et de la route 93 Sud, dans le parc national Kootenay. En particulier, il est axé sur la détection des gros mammifères (carnivores et ongulés) qui empruntent les passages pour animaux. La surveillance se fait en continu à longueur d’année. Parcs Canada surveille 44 passages pour animaux le long de la Transcanadienne à l’aide d’appareils photo actionnés par le mouvement.