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En 1996, la majorité des enfants vivaient dans une famille dirigée par un couple marié. Ils étaient 73 sur 100 dans cette situation par rapport à 78 sur 100 en 1991. Chez les couples mariés, 29 % formaient une famille sans enfant. Cette proportion élevée de familles sans enfant s’explique en partie par le nombre croissant de familles dont les enfants « quittent le foyer ».

Selon les résultats du recensement de 1996, les « familles formées » de couples mariés représentent encore, et dans une large mesure, le type de famille prédominant. Depuis 1986, où elles comptaient pour 80 % de l’ensemble des familles, leur proportion a diminué à 74 % par suite d’augmentations substantielles du nombre de familles formées de couples vivant en union libre et du nombre de familles monoparentales. En 1996, on dénombrait 5,8 millions de familles canadiennes formées de couples mariés. Terre-Neuve enregistrait la proportion la plus élevée de ce type de famille, soit 78 % du nombre total de familles.

En regard de l’ensemble des familles du Canada, le nombre de familles avec enfants est demeuré stable depuis 1986. Les données recueillies au recensement de 1996 ont établi à 7 837 865 le nombre de familles au Canada. De ce nombre, 66 % (5 108 085) étaient des familles avec enfants.

Données sur la langue maternelle de la conjointe mariée ou de fait selon la langue maternelle de l’enfant, la langue maternelle du conjoint marié ou de fait, la langue parlée le plus souvent à la maison par l’enfant, l’autre langue parlée régulièrement à la maison par l’enfant et l’âge de l’enfant pour les enfants de moins de 18 ans dans les familles comptant un couple de genre différent dans les ménages privés.

Depuis 1981, le nombre de couples vivant en union libre a augmenté de façon constante, et plus particulièrement au Québec. L’union libre était le mode de vie de 8 % des couples de cette province en 1981, celui de 25 % des couples en 1996. Partout ailleurs au Canada la proportion de couples vivant en union libre a augmenté, bien que de façon moindre, passant de 6 % en 1981 à 10 % en 1996. De 1991 à 1996, le nombre de couples vivant en union libre avec enfants à la maison a augmenté de 47 %.

Depuis 1981, le nombre de couples vivant en union libre a augmenté de façon constante, et plus particulièrement au Québec. L’union libre était le mode de vie de 8 % des couples de cette province en 1981, celui de 25 % des couples en 1996. Partout ailleurs au Canada la proportion de couples vivant en union libre a augmenté, bien que de façon moindre, passant de 6 % en 1981 à 10 % en 1996. De 1991 à 1996, le nombre de couples vivant en union libre avec enfants à la maison a augmenté de 47 %.

Données sur la langue maternelle du conjoint marié ou de fait selon la langue maternelle de l’enfant, la langue maternelle de l’autre conjoint marié ou de fait, la langue parlée le plus souvent à la maison par le conjoint marié ou de fait, la langue parlée le plus souvent à la maison par l’enfant, la langue parlée le plus souvent à la maison par l’autre conjoint marié ou de fait et l’âge de l’enfant pour les enfants de moins de 18 ans dans les familles comptant un couple dans les ménages privés.

Familles des déclarants; Familles de recensement comptant un couple selon la contribution de l'épouse au revenu d'emploi du couple et le nombre d'enfants (Fichier des Familles T1 final ; FFT1).

Données sur la langue maternelle du conjoint marié ou de fait selon la langue maternelle de l’enfant, la langue maternelle de l’autre conjoint marié ou de fait, la connaissance des langues officielles par le conjoint marié ou de fait, la connaissance des langues officielles par l’enfant, la connaissance des langues officielles par l’autre conjoint marié ou de fait et l’âge de l’enfant pour les enfants de moins de 18 ans dans les familles comptant un couple dans les ménages privés.

Ce groupe d’âge représentait 24,0 % des enfants vivant à la maison. Les répartitions évidentes sur la carte montrent que les plus fortes concentrations de ce groupe d’âge se trouvent dans les Territoires du Nord-Ouest, au Québec et dans le nord des Prairies. Cette distribution s’explique partiellement par une proportion plus élevée de jeunes familles vivant en union libre, particulièrement au Québec et dans les Territoires du Nord-Ouest. Les enfants de ce groupe d’âge sont relativement bien représentés, par ailleurs, dans les banlieues des grandes villes.