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10 dossiers trouvés similaries à Régime de feu - Mont-Riding
La norme suivante est utilisée pour évaluer l’objectif de l’Agence Parcs Canada consistant à gérer les feux de végétation et à effectuer des brûlages dirigés dans le but de restaurer et de maintenir l’intégrité écologique des terres situées dans les parcs. Un cycle de feu naturel de 20 % a été établi en tant que proportion permettant au feu de jouer son rôle de perturbateur naturel dans les écosystèmes, et ce pourcentage demeure réaliste et atteignable si l’on tient compte des contraintes physiques et financières, de la variabilité du régime des feux de végétation dans les parcs nationaux du Mont Revelstoke et des Glaciers et de la nécessité d’assurer la sécurité publique. La moyenne à long terme de 20 % a été obtenue en analysant la variation des superficies brûlées dans les parcs nationaux de différentes superficies, les régimes de feu et l’histoire récente de la gestion des feux de végétation. Cette cible de brûlage devrait être atteignable et maintenue annuellement, sans égard aux activités de brûlage de la végétation durant la période de l’analyse.
La norme suivante est utilisée pour évaluer l’objectif de l’Agence Parcs Canada consistant à gérer les feux de végétation et à effectuer des brûlages dirigés dans le but de restaurer et de maintenir l’intégrité écologique des terres situées dans les parcs. Un cycle de feu naturel de 20 % a été établi en tant que proportion permettant au feu de jouer son rôle de perturbateur naturel dans les écosystèmes, et ce pourcentage demeure réaliste et atteignable si l’on tient compte des contraintes physiques et financières, de la variabilité du régime des feux de végétation dans les parcs nationaux du Mont Revelstoke et des Glaciers et de la nécessité d’assurer la sécurité publique. La moyenne à long terme de 20 % a été obtenue en analysant la variation des superficies brûlées dans les parcs nationaux de différentes superficies, les régimes de feu et l’histoire récente de la gestion des feux de végétation. Cette cible de brûlage devrait être atteignable et maintenue annuellement, sans égard aux activités de brûlage de la végétation durant la période de l’analyse.
Pour évaluer la situation actuelle des feux de végétation en tant que processus écologique dans les forêts intérieures du parc national Pukaskwa (écodistricts des plaines de Pukaskwa, des hautes terres Bremner et des hautes terres Bremner‑Widgeon), on utilise la mesure de la catégorie d’état des zones brûlées (CEZB) qui sert à calculer l’écart de la période moderne par rapport aux cycles de feux de végétation historiques (c.‑à‑d. fréquence des feux). Des données sur les superficies brûlées (hectares) et les emplacements des feux de végétation et sur les brûlages dirigés sont recueillies annuellement. Les calculs de la CEZB suivent les méthodes décrites dans le guide de surveillance des feux de l’Agence Parcs Canada.
Superficie (en hectares) traitée au moyen d’un brûlage dirigé. Cette mesure évalue le succès du programme de brûlage dirigé du parc pour restaurer le processus écologique du feu à l’échelle du paysage. Le feu a également le potentiel d’accroître la diversité des habitats disponibles pour les espèces en péril, comme la chevêche des terriers, le courlis à long bec et le plectrophane à ventre noir.
Le feu joue un rôle important dans le maintien de la santé des forêts et des prairies, et préserve la biodiversité en créant une mosaïque de diverses structures d’âge. Les prairies de fétuques de l’écorégion de la forêt parc des contreforts ont toujours été entretenues par le feu, tant de cause naturelle que provoqué par les Premières Nations. Plus d’un siècle d’extinction des feux a contribué au déclin des prairies ouvertes en raison de l’empiètement des arbustes et des trembles. La Catégorie d’état de zones brûlées (CEZB) est conçue pour être évaluée et présentée comme une mesure de surveillance de l’état dans le cadre du programme national de surveillance de l’intégrité écologique (IE) de l’Agence Parcs Canada dans tous les parcs nationaux renfermant des végétaux dépendants du feu.
La télédétection est utilisée pour surveiller les changements dans les régimes de feux, y compris les superficies brûlées et la fréquence des feux; il s’agit d’une mesure prise en continu.
Feu de Forêt Année/dNBR 1985-2015Ampleur des changements dans les feux de forêt de 1985 à 2015 Ampleur du changement spectral pour les feux de forêt qui se sont produits de 1985 à 2015. La valeur de l'ampleur du changement est exprimée par la différence normalisée du ratio de brûlage (dNBR), qui est calculée comme la variation entre les valeurs spectrales avant et après le feu à l'origine du changement. Le jeu de données est constitué de trois couches : 1) masque binaire des feux de forêt, 2) année où le plus de perturbation due aux feux de forêt a été détectée et 3) différence normalisée du ratio de brûlage (dNBR), transformée en une valeur de 0 à 200 pour un stockage efficace des données. La valeur réelle de la dNBR se calcule comme suit : dNBR = valeur / 100.
Ce jeu de données porte sur la superficie de terrain brûlée par le feu dans le parc national Banff de 1910 à 2017. Le nombre d’hectares brûlés a été calculé soit par suivi GPS du périmètre du feu (< 200 ha), soit par télédétection (> 200 ha). En mesurant la superficie brûlée, Parcs Canada peut calculer l’écart par rapport aux conditions historiques et faire un suivi des progrès réalisés dans le rétablissement du feu.
Le parc surveille la qualité de l’eau du lac Clair en mesurant les valeurs de phosphore total et de chlorophylle-a, la consommation d’oxygène dans l’hypolimnion, et la valeur moyenne de phosphore total dans les affluents. Les paramètres des éléments nutritifs et de l'oxygène continueront de changer en raison des niveaux de stress liés aux éléments nutritifs dans le lac et, par conséquent, les cibles et les seuils changeront aussi.
L’abondance et la composition de la population de wapitis sont évaluées annuellement au cours d’un relevé aérien effectué entre la mi-janvier et la mi-février. La composition de la population de wapitis est mesurée chaque année au moyen d’un dénombrement aérien classifié qui a lieu au début de décembre.