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10 dossiers trouvés similaries à Pourcentage des précipitations moyennes
L’écart par rapport aux précipitations moyennes représente la valeur des précipitations accumulées pour un endroit donné, de laquelle on a soustrait la valeur moyenne à long terme. La valeur moyenne à long terme se définit comme la hauteur moyenne sur la période de 1981 à 2010. Une valeur négative indique que l’endroit a reçu moins que la quantité normale de précipitations (mm) pour cette période. Une valeur positive indique que l’endroit a reçu plus que la quantité normale de précipitations (mm).
Les précipitations accumulées représentent la hauteur totale de précipitations (solide ou liquide) qui a été enregistrée sur une durée donnée.
Les produits sont générés pour les périodes suivantes : l’année agricole, la saison de croissance et la saison hivernale ainsi que les produits roulants pour les jours 7, 14, 30, 60, 90, 180, 270, 365, 730, 1095, 1460 et 1825.
Les centiles de précipitation représentent les précipitations accumulées (en mm) pour la période comparativement aux données historiques pour la même période. Cette comparaison classe la quantité actuelle de précipitations et lui attribue une valeur en centile fondée sur un record historique. Les produits sont générés pour les périodes suivantes : l’année agricole, la saison de croissance et la saison hivernale ainsi que les produits roulants pour les jours 30, 60, 90 et 180.
L’indice normalisé des précipitations (INP) a été reconnu comme étant l’indice le plus accessible pour quantifier et signaler les sécheresses météorologiques. Sur de courtes échelles de temps, l’INP est étroitement lié à l’humidité du sol, tandis que sur des échelles de temps plus longues, l’INP peut être lié au stockage des eaux souterraines et des réservoirs. Le modèle utilise les quantités de précipitations historiques observées pour calculer les distributions de probabilité qui sont ensuite normalisées à l’aide d’une fonction gamma incomplète sur une plage d’échelles de temps. Les valeurs peuvent être interprétées comme le nombre d’écarts-types par lequel l’anomalie observée s’écarte de la moyenne à long terme, lorsque les valeurs positives (supérieures à zéro) résultent de conditions supérieures à la moyenne.
L’indice normalisé précipitations moins évapotranspiration (INPE) est calculé à peu près de la même façon que l’INP. La principale différence est que l’INP évalue la variance des précipitations, tandis que l’INPE tient également compte de la demande de l’évapotranspiration, qui est soustraite de toute accumulation de précipitations avant l’évaluation. Contrairement à l’INP, l’INPE saisit l’impact principal de l’augmentation des températures sur la demande en eau.
Les périodes sèches sont définies comme le nombre de jours (du 1er avril au 31 octobre) où les précipitations quotidiennes sont inférieures à 0,5 mm. Il ne s’agit pas d’une accumulation de précipitations, mais simplement d’un nombre de jours. Les produits de période sèche sont uniquement générés pour la saison de croissance, du 1er avril au 31 octobre.
L’indice mixte (IM) est un modèle qui utilise de multiples indicateurs potentiels de sécheresse et d’humidité excessive, comme l’indice de sévérité de sécheresse de Palmer, les quantités de précipitations courantes et l’humidité du sol, et les combine en une valeur pondérée et normalisée entre 0 et 100. Les intrants et la pondération utilisés dans ce modèle sont sujets à changement de temps à autre, car ils sont optimisés de façon à représenter au mieux l’étendue, la durée et la sévérité des conditions météorologiques qui ont un effet. L’indice mixte est déployé sous forme de deux écarts : le court terme (ct) axé sur 1 à 3 mois, et le long terme (lt) axé sur 6 mois à 5 ans.
L’indice mixte (IM) est un modèle qui utilise de multiples indicateurs potentiels de sécheresse et d’humidité excessive, comme l’indice de sévérité de sécheresse de Palmer, les quantités de précipitations courantes et l’humidité du sol, et les combine en une valeur pondérée et normalisée entre 0 et 100. Les intrants et la pondération utilisés dans ce modèle sont sujets à changement de temps à autre, car ils sont optimisés de façon à représenter au mieux l’étendue, la durée et la sévérité des conditions météorologiques qui ont un effet. L’indice mixte est déployé sous forme de deux écarts : le court terme (ct) axé sur 1 à 3 mois, et le long terme (lt) axé sur 6 mois à 5 ans.
Les degrés-jours de croissance (DJC) servent à estimer la croissance et le développement des plantes et des insectes pendant la saison de croissance. Les DJC sont calculés en soustrayant une température de base de la température moyenne d’une journée (si le résultat est négatif, le DJC quotidien est fixé à zéro). La température de base est le point sous lequel le développement de l’organisme cesse. Les produits de DJC sont générés pour 0 (base), 5, 10 et 15 degrés Celsius.
Une vague de chaleur représente le nombre de jours consécutifs (du 1er avril au 31 octobre) où la température quotidienne maximale est supérieure à 25 ou 30 degrés, respectivement. Les produits de vague de chaleur sont générés uniquement durant la saison de croissance, du 1er avril au 31 octobre.