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10 dossiers trouvés similaries à Couvert de plantes envahissantes - Lacs-Waterton - projet de Conservation et de Restauration (fétuques)
Des plantes non indigènes ont envahi les habitats en basse altitude et ont perturbé physiquement des sites dans le parc national des Lacs Waterton (PNLW). Chaque année, Parcs Canada consacre des ressources substantielles à contrôler ou à éradiquer les plantes non indigènes les plus envahissantes et les plus tenaces. Un protocole de surveillance de la situation des plantes non indigènes a été élaboré pour détecter les changements dans l’abondance et la répartition des espèces végétales non indigènes dans les régions vulnérables du PNLW, et pour mieux comprendre la gravité des impacts des plantes non indigènes sur les communautés de plantes indigènes ainsi que les différences dans ces impacts. L’abondance relative (c. à d. le pourcentage de couvert) des plantes non indigènes envahissantes dans les régions de prairies de fétuques et de forêts parcs à trembles du PNLW est estimée à l’aide d’un échantillonnage aléatoire pondéré sur le plan spatial.
Au Canada, seulement 2,1 % de l’écorégion de la forêt parc des contreforts bénéficie de la protection que confère un parc fédéral ou provincial. Le parc national des Lacs Waterton (PNLW) est le seul parc national où cette écorégion pittoresque et diversifiée sur le plan biologique est protégée. La rareté des feux de forêt et l’absence de broutage par le bison ont contribué à l’empiètement de la forêt de trembles et à l’homogénéisation de la prairie de fétuques. Cette région est également le site de la plus importante concentration de plantes non indigènes envahissantes et reçoit le plus grand nombre de visiteurs du parc (environ 95 %).
Le parc national des Lacs Waterton (PNLW) protège l’une des dernières étendues de prairies de fétuques indigènes dans le réseau de Parcs Canada. Les prairies de fétuques indigènes constituent un élément important de la biodiversité dans le parc et sont en voie de disparition au Canada. Il n’y a pas que l’empiètement par le tremble qui est en cause, mais également la densité croissante des peuplements de trembles existants. D’ici 2019, les jeunes trembles (trembles de moins de 2,5 m de hauteur) et les arbustes adjacents à la prairie seront enlevés grâce à des brûlages dirigés dans les zones de prairie, dans le but d’augmenter la superficie des prairies de fétuques dans les unités de brûlage dirigé de la zone visée par le projet, en éliminant 5 % du couvert d’arbustes et de jeunes trembles présent en 2014.
L’objectif principal de cette mesure consiste à surveiller comment le pourcentage de couverture des plantes exotiques, stresseurs de la biodiversité des plantes indigènes, se compare aux seuils prédéterminés et comment ces plantes changent au fil du temps, dans trois zones de gestion des plantes envahissantes (contrôle intégré, contrôle renforcé, préservation écologique). Des transects aléatoires permanents seront établis dans les trois zones de gestion, à proximité des vecteurs de dispersion connue (autoroutes, sentiers, terrains de camping, etc.). Le pourcentage de couverture de toutes les espèces non indigènes détectées sera consigné le long de chaque transect selon la méthode d’échantillonnage linéaire. Les données seront comparées aux données définies dans chaque zone de gestion des plantes exotiques envahissantes afin de déterminer l’état global des parcs.
L’objectif principal de cette mesure consiste à surveiller comment le pourcentage de couverture des plantes exotiques, stresseurs de la biodiversité des plantes indigènes, se compare aux seuils prédéterminés et comment ces plantes changent au fil du temps, dans trois zones de gestion des plantes envahissantes (contrôle intégré, contrôle renforcé, préservation écologique). Des transects aléatoires permanents seront établis dans les trois zones de gestion, à proximité des vecteurs de dispersion connue (autoroutes, sentiers, terrains de camping, etc.). Le pourcentage de couverture de toutes les espèces non indigènes détectées sera consigné le long de chaque transect selon la méthode d’échantillonnage linéaire. Les données seront comparées aux données définies dans chaque zone de gestion des plantes exotiques envahissantes afin de déterminer l’état global des parcs.
Les plantes envahissantes peuvent réduire la biodiversité et compromettre la fonction écosystémique en supplantant les espèces indigènes, en altérant le cycle des nutriments, en déstabilisant le sol et en causant de l’érosion, entre autres impacts. La prévention de la colonisation par des mauvaises herbes envahissantes est réalisée par la restauration précoce et par une réduction de la perturbation, ce qui procure dans les deux cas un avantage aux espèces indigènes, celles ci pouvant alors mieux résister aux invasions futures par des espèces non indigènes. Le parc national Jasper surveille les espèces exotiques et adopte des mesures de lutte contre ces espèces lorsqu’elles menacent les habitats et les écosystèmes vulnérables du parc.
Ce programme a pour but de déterminer la superficie des aires d’éradication du lierre commun (Hedera helix) et de deux espèces envahissantes d’herbes de rivage, l’ammophile des sables (Ammophila arenaria) et l’ammophile à ligule courte (Ammophila breviligulata) relativement à la superficie cartographiée totale, dans la réserve de parc national Pacific Rim. Les aires de répartition connues ou potentielles de plantes envahissantes sont cartographiées et traitées selon les ressources disponibles. Les projets suivent généralement quatre phases : la découverte, la cartographie, le traitement initial (l’enlèvement), puis la surveillance et les traitements supplémentaires jusqu’à ce que la parcelle soit exempte de plantes envahissantes. Notre mesure est évaluée en comparant la superficie où les plantes envahissantes ont été enlevées avec la somme des aires d’occurrence cartographiées à ce jour.
Les plantes exotiques envahissantes (comme la renouée du Japon et l’angélique sauvage), sont considérées comme un grave problème pour de nombreuses aires protégées. Le parc national Fundy fait rapport sur la présence des espèces envahissantes prioritaires dans des cellules de grille; la grille couvre toute la superficie du parc.
Presence des espèces envahissantes indique un niveau de perturbence dans l'écosystème. Le parc échantillonne la végétation envahissante des terres humides le long des transects côtiers, y compris les parties immergées. Cette mesure se concentre sur le myriophylle en épi et le roseau commun. Le parc possède actuellement suffisamment de données sur le myriophylle en épi seulement.
Chaque année, en mai et en juin, le personnel du parc surveille les plantes envahissantes des milieux humides aux sites de surveillance des marais (huit parcelles par année). Dans chaque milieu humide, deux quadrats de 1 m sur 1 m et disposés à 2 m de distance l’un de l’autre sont échantillonnés le long de trois transects situés à 5 m et 15 m dans des zones de prairie mouillée et des zones de végétation émergente et submergée. Le couvert en pourcentage est enregistré dans chaque quadrat pour 10 espèces de plantes exotiques envahissantes, notamment le roseau commun européen, l’hydrocharis grenouillère et la salicaire pourpre.