Portail du gouvernement ouvert
Des changements importants ont été apportés récemment à l’outil de recherche des données ouvertes. Vous pouvez maintenant effectuer vos recherches à partir de cette adresse : rechercher.ouvert.canada.ca/donneesouvertes/. N’oubliez pas de mettre à jour vos favoris.
10 dossiers trouvés similaries à Productivité primaire des prairies - Elk Island
Le parc national Elk Island surveille la productivité primaire pour déterminer l’état de santé de la végétation de la forêt partout dans le parc. Cette mesure repose sur une imagerie satellite multibande obtenue par télédétection, en particulier les bandes infrarouge ondes courtes et les bandes proche infrarouge Landsat. L’analyse est effectuée à peu près tous les cinq ans, à l’aide d’images prises à la mi-juillet. La même base de données sert à l’évaluation de la productivité primaire des forêts et à celle de la productivité primaire des prairies.
Le parc national Elk Island surveille les fonctions et la santé des écosystèmes de prairie et de forêt influencés par les herbivores. Ainsi, on surveille la structure de la végétation, l’intensité du broutage, la productivité primaire, la stabilité du sol/site, le captage et la libération bénéfique d’eau, et la diversité fonctionnelle des espèces végétales.
Le parc national Elk Island a recours à la classification de la couverture du sol pour déterminer les changements spatiaux qui surviennent dans la végétation de la prairie partout dans le parc. Cette mesure est fondée sur une classification supervisée d’imagerie satellite multibande obtenue par télédétection (Landsat). L’analyse est effectuée à peu près tous les cinq ans, à l’aide d’images prises à la mi-juillet.
Le parc national des Prairies surveille les tentatives de nidification et de productivité de la Chevêche des terriers en mesurant le nombre de nids, le nombre de petits et le taux d’occupation.
Le parc national Elk Island surveille les changements spatiaux qui surviennent dans les plans d’eau partout dans le parc. Cette mesure repose sur une classification non supervisée d’imagerie satellite multibande obtenue par télédétection (Landsat). L’analyse est effectuée à peu près tous les cinq ans, à l’aide d’image prises à la mi-juillet.
Le parc national Elk Island a recours à la classification de la couverture du sol pour déterminer les changements spatiaux qui surviennent dans la végétation de la forêt partout dans le parc. Cette mesure est fondée sur une classification supervisée d’imagerie satellite multibande obtenue par télédétection (Landsat). L’analyse est effectuée à peu près tous les cinq ans, à l’aide d’images prises à la mi-juillet.
Le parc national Elk Island a recours à la méthode de la classe d’état des zones brûlées (CEZB) pour évaluer les impacts écologiques du feu sur le paysage et l’efficacité du feu dans le maintien de communautés végétales de différentes compositions et de différentes structures pour améliorer l’état de santé des populations indigènes. La superficie des zones brûlées est déterminée à l’aide d’images Landsat, et les données sont actualisées selon les besoins. Cette mesure repose sur la même base de données que celle de la superficie des zones de forêt brûlées.
Le parc national Elk Island a recours à la méthode de la classe d’état des zones brûlées (CEZB) pour évaluer les impacts écologiques du feu sur le paysage et l’efficacité du feu dans le maintien de communautés végétales de différentes compositions et de différentes structures pour améliorer l’état de santé des populations indigènes. La superficie des zones brûlées est déterminée à l’aide d’images Landsat, et les données sont actualisées selon les besoins. Cette mesure repose sur la même base de données que celle de la superficie des zones de prairie brûlées.
Le parc national Elk Island réalise chaque année un recensement aérien des populations de bisons du parc, ainsi que des relevés opportunistes de la composition des hardes. Les données sur les populations de bisons sont tirées de la même base que les données sur les populations de wapitis et d’orignaux.
Le parc national Elk Island surveille les changements relatifs à la présence d’amphibiens annuellement en ayant recours au dénombrement des chants, ainsi qu’aux données recueillies par les citoyens impliqués dans la science.