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10 dossiers trouvés similaries à Évaluation de l'habitat du tétras des armoises - Prairies
Le parc surveille les tendances démographiques du Tétras des armoises dans les leks du Parc et dans l’écosystème des terres adjacentes. La mesure est la somme du nombre maximum de mâles qui habitent chaque lek étudié au cours d’une année.
Afin de définir les caractéristiques de l’habitat essentiel du Moqueur des armoises, nous avons synthétisé 19 années d’observation d’occurrences et des données sur l’habitat à travers le nord de l’aire de répartition en Colombie-Britannique (C.-B.) et dans l’état de Washington (WA). Nous avons combiné dans des modèles de régression spatiale, ces données à l’échelle locale obtenues sur le terrain et des données à l’échelle du paysage obtenues par un SIG. Le modèle spatial de l’habitat convenable pour le Moqueur des armoises fournit les covariables à l’échelle du paysage, liées à son habitat de reproduction. Cet ensemble de données comprend les résultats du modèle de SIG dont on a tiré les covariables pour les modèles de régression spatiale.
Le parc national des Prairies surveille les tentatives de nidification et de productivité de la Chevêche des terriers en mesurant le nombre de nids, le nombre de petits et le taux d’occupation.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du Pipit de Sprague dans le cadre du recensement global des oiseaux des prairies.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du Pipit de Sprague dans le cadre du recensement global des oiseaux des prairies.
Le parc national des Prairies mesure l’abondance du Bruant à ventre noir dans le cadre du recensement global des oiseaux des prairies.
Le parc national des Lacs Waterton (PNLW) protège l’une des dernières étendues de prairies de fétuques indigènes dans le réseau de Parcs Canada. Les prairies de fétuques indigènes constituent un élément important de la biodiversité dans le parc et sont en voie de disparition au Canada. Il n’y a pas que l’empiètement par le tremble qui est en cause, mais également la densité croissante des peuplements de trembles existants. D’ici 2019, les jeunes trembles (trembles de moins de 2,5 m de hauteur) et les arbustes adjacents à la prairie seront enlevés grâce à des brûlages dirigés dans les zones de prairie, dans le but d’augmenter la superficie des prairies de fétuques dans les unités de brûlage dirigé de la zone visée par le projet, en éliminant 5 % du couvert d’arbustes et de jeunes trembles présent en 2014.
L’ensemble de données « Zones de sol des Prairies canadiennes » montre la répartition générale des principales zones de sol dans l’ensemble de la région des Prairies canadiennes. Les zones de sol (fondées sur le Système canadien de classification de sols) sont nommées d’après le type de sol dominant dans chaque zone. Les données ne couvrent que la zone agricole des Prairies, telle que définie dans la version 3.0 des Pédo-paysages du Canada (Lefebvre et al., 2005).
Les données sur les populations d’oiseaux à long terme peuvent fournir de l’information sur les tendances relatives aux populations, en particulier pour les espèces préoccupantes, mais elles peuvent aussi fournir de l’information sur la structure et la fonction de l’écosystème. La surveillance des oiseaux des prairies est une méthode efficace d’évaluation de l’état des écosystèmes de prairie, qui figurent parmi les écosystèmes les plus dynamiques au Canada. Ces écosystèmes renferment des écorégions telles que les prairies de graminées cespiteuses et d’herbes hautes et les arbustaies, mais également des forêts ouvertes comme les forêts de pin ponderosa et les forêts intérieures de douglas vert. Les écosystèmes de prairie sont maintenus par le feu et le pâturage, et sont menacés par l’empiètement des arbres, l’agriculture intensive, les espèces envahissantes, l’utilisation de pesticides, le changement climatique ainsi que le broutage excessif et le piétinement par le bétail.
Le parc national des Prairies surveille l’aire de répartition du chien de prairie à queue noire en mesurant la superficie des colonies actives, en hectares. La surveillance fournit des données sur l’expansion ou la contraction des colonies dans le parc. Les zones de colonies actives dans le parc et l’écosystème de la région (sud-ouest de la Saskatchewan) sont également surveillées, mais ces dernières données ne sont toutefois pas incluses.