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L’écart par rapport à l’humidité normale du sol est la quantité modélisée d’eau disponible pour les plantes (en mm) dans la zone racinaire du sol, moins la quantité moyenne qui était disponible par le passé ce même jour. Cette valeur vise à fournir aux utilisateurs une représentation des conditions supérieures ou inférieures à la normale par la quantité d’eau (en mm). Les valeurs sont calculées à l’aide du modèle adaptatif du bilan hydrique des sols (MABH).
L’humidité totale du sol est la quantité modélisée d’eau disponible pour les plantes (en mm) dans la zone racinaire du sol. La valeur donnée est la quantité calculée comme étant présente le jour modélisé du produit. Les valeurs sont calculées à l’aide du modèle adaptatif du bilan hydrique des sols (MABH).
Le pourcentage d’humidité normale du sol est la quantité modélisée d’eau disponible pour les plantes (en mm) dans la zone racinaire du sol, divisée par la quantité moyenne qui était disponible par le passé ce même jour. Cette valeur vise à fournir aux utilisateurs une représentation des conditions supérieures ou inférieures à la normale en pourcentage. Les valeurs sont calculées à l’aide du modèle adaptatif du bilan hydrique des sols (MABH).
Le terme « indice de sévérité de sécheresse de Palmer » a été utilisé pour représenter un ensemble d’indices. L’indice de sévérité de sécheresse de Palmer est simplement un modèle de bilan hydrique qui analyse les précipitations et la température et qui sert d’outil pour mesurer les sécheresses météorologiques et hydrologiques dans l’espace et dans le temps. Toutes les versions de l’indice utilisent le modèle adaptatif du bilan hydrique des sols pour modéliser le mouvement de l’eau dans le système, et un modèle quotidien Priestley-Taylor pour estimer l’évapotranspiration. L’indice de sévérité de sécheresse de Palmer utilise des données mensuelles sur la température et les précipitations pour calculer un bilan hydrique simple du sol.
L’indice normalisé précipitations moins évapotranspiration (INPE) est calculé à peu près de la même façon que l’INP. La principale différence est que l’INP évalue la variance des précipitations, tandis que l’INPE tient également compte de la demande de l’évapotranspiration, qui est soustraite de toute accumulation de précipitations avant l’évaluation. Contrairement à l’INP, l’INPE saisit l’impact principal de l’augmentation des températures sur la demande en eau.
Étant soucieux de participer à l’adaptation des entreprises agricoles dans un contexte de changements climatiques, le MAPAQ a confié la réalisation d’une étude pour mieux cerner les défis actuels et futurs de la gestion de l’eau. Le mandat impliquait de brosser un portrait des besoins hydriques à échelle régionale des différents usagers (secteurs agricole, résidentiel, de même qu’institutionnel, commercial et industriel) pour comprendre quels usages et usagers de l’eau pourraient être les plus affectés dans le futur par les changements climatiques. Le projet avait également pour objectif d’identifier des innovations qui permettraient d’atténuer les conflits d’usage de l’eau. Au-delà des données, le projet a reposé sur une approche participative et a sollicité la participation des acteurs régionaux concernés.
Le terme « indice de sévérité de sécheresse de Palmer » a été utilisé pour représenter un ensemble d’indices. L’indice de sévérité de sécheresse de Palmer est simplement un modèle de bilan hydrique qui analyse les précipitations et la température et qui sert d’outil pour mesurer les sécheresses météorologiques et hydrologiques dans l’espace et dans le temps. Toutes les versions de l’indice utilisent le modèle adaptatif du bilan hydrique des sols pour modéliser le mouvement de l’eau dans le système, et un modèle quotidien Priestley-Taylor pour estimer l’évapotranspiration. L’indice de sévérité de sécheresse de Palmer utilise des données mensuelles sur la température et les précipitations pour calculer un bilan hydrique simple du sol.
La demande en eau est habituellement mesurée par évapotranspiration, c’est-à-dire par la quantité d’eau qui serait évaporée et transpirée par les plantes. L’évapotranspiration potentielle (ETP) est la demande ou la quantité d’évaporation maximale qui se produirait si une quantité suffisante d’eau était disponible (provenant des précipitations et de l’humidité du sol). Les équations de Priestly-Taylor ont été utilisées pour estimer l’ETP quotidienne.
Ces valeurs sont calculées à l’échelle du Canada à l’aide des données historiques des stations climatiques d’ECCC ainsi que du modèle adaptatif du bilan hydrique des sols (Baier et Robertson, 1996; Baier et coll., 2000).
Le cadre écologique national pour le Canada « Texture du sol par l'écoprovince » ensemble de données contient des tableaux qui fournissent de l'information au sein de la texture du sol par l'écoprovince cadre des basses terres. Il fournit la texture du sol codes et leurs descriptions en français et en anglais, ainsi que le pourcentage de la composante des basses terres qui l'occupe. La texture du sol indique les proportions relatives des diverses fractions d’un sol (sable, limon, argile), telles que décrites par les classes de texture. Les fractions du sol sont des particules minérales dont le diamètre est de 2,0 mm et comprennent le gravier (0,2 à 7,5 cm) et les cailloux (7,5 à 25,0 cm).
Le cadre écologique national pour le Canada « Texture du sol par l'écozone » ensemble de données contient des tableaux qui fournissent de l'information au sein de la texture du sol par l'écozone cadre des basses terres. Il fournit la texture du sol codes et leurs descriptions en français et en anglais, ainsi que le pourcentage de la composante des basses terres qui l'occupe. La texture du sol indique les proportions relatives des diverses fractions d’un sol (sable, limon, argile), telles que décrites par les classes de texture. Les fractions du sol sont des particules minérales dont le diamètre est de 2,0 mm et comprennent le gravier (0,2 à 7,5 cm) et les cailloux (7,5 à 25,0 cm).