Subventions et contributions gouvernementales
À propos de cette information
En juin 2016, dans le cadre du Plan d’action pour un gouvernement ouvert, le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada (SCT) s’est engagé à accroître la transparence et l’utilité des données sur les subventions et contributions et a par la suite lancé les Lignes directrices sur la divulgation des octrois de subventions et de contributions, en vigueur le 1er avril 2018.
Les règles et principes qui régissent les subventions et les contributions gouvernementales sont décrits dans la Politique du Conseil du Trésor sur les paiements de transfert. Les paiements de transfert sont des transferts, imputables sur un crédit, d\'argent, de biens, de services ou d\'actifs à des personnes ou à des organisations ou à d\'autres ordres de gouvernement, sans que le gouvernement fédéral reçoive directement des biens ou des services en échange, mais qui peuvent obliger les bénéficiaires à produire un rapport ou d\'autres renseignements après avoir reçu le paiement de transfert. Ces dépenses sont signalées dans les Comptes publics du Canada. Les principaux types de paiements de transfert sont les subventions, les contributions et « autres paiements de transfert ».
Sont inclus dans cette catégorie, mais non assujettis à la divulgation proactive (1), les transferts à d\'autres ordres de gouvernement, par exemple les paiements de péréquation ainsi que les paiements effectués dans le cadre du Transfert canadien en matière de santé et du Transfert canadien en matière de programmes sociaux; (2) les subventions ou les contributions réaffectées ou par ailleurs redistribuées par un bénéficiaire à des tiers; et (3) l\'information qui ne serait normalement pas divulguée en vertu de la Loi sur l\'accès à l\'information de la Loi sur la protection des renseignements personnels ne figure pas sur le site Web.
17 000 000,00 $
28 mars 2022
organisme à but non lucratif ou organisme de bienfaisance
Réponse nutritionnelle aux risques de famine – Save the Children 2022-23
7439141 P011406001
Février 2022 – Avant la pandémie de COVID-19, les besoins humanitaires, notamment ceux liés à la sécurité alimentaire et à la nutrition, avaient déjà atteint des niveaux sans précédent. La pandémie a aggravé la situation en perturbant la production, l’approvisionnement et la distribution des denrées alimentaires, en déstabilisant les prix des aliments et en réduisant le pouvoir d’achat des pays et des consommateurs, exacerbant ainsi la dénutrition dans les pays à revenu faible et à revenu intermédiaire tels que la République démocratique du Congo (RDC), l’Éthiopie, le Soudan, Syrie, et le Yémen. En janvier 2021, l’UNICEF a fait état d’une réduction globale de 30 % en 2020 de la couverture des services essentiels de nutrition, dont les programmes d’alimentation scolaire, de suppléments en micronutriments et de promotion de la nutrition dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. On estime qu’en 2022, la COVID-19 pourrait faire en sorte que 2,6 millions d’enfants supplémentaires souffrent d’un retard de croissance (taille inférieure à la normale) et 9,8 millions souffrent d’émaciation (poids insuffisant), et être à l’origine du décès de 168 000 enfants supplémentaires et de 2,1 millions de cas d’anémie maternelle dans le monde.
Avec le soutien d’AMC, Aide à l’enfance apporte une réponse multisectorielle aux besoins en matière de malnutrition aiguë en RDC, en Éthiopie, en Soudan, en Syrie, et au Yémen. Les activités du projet comprennent : 1) fournir des activités cliniques et de sensibilisation communautaire visant à prévenir, à cerner et à traiter la malnutrition aiguë, et prestation de services complémentaires; 2) fournir du soutien dans le domaine de l’approvisionnement en eau, de l’assainissement et de l’hygiène, 3) fournir des services de protection visant à atténuer les répercussions des crises nutritionnelles dans les communautés bénéficiaires en s’attaquant aux facteurs de vulnérabilité sous-jacents qui ont exacerbé ces crises.