Note pour la période des questions : ESPÈCES AQUATIQUES ENVAHISSANTES

About

Numéro de référence :
DFO-2021-QP-00126
Date fournie :
12 nov. 2021
Organisation :
Pêches et Océans Canada
Nom du ministre :
Murray, Joyce (L’hon.)
Titre du ministre :
Ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne

Enjeu ou question :

ESPÈCES AQUATIQUES ENVAHISSANTES

Réponse suggérée :

Le gouvernement comprend qu’il est important de protéger la biodiversité et la qualité des eaux du Canada. A ce titre nous nous concentrons à coordonner nos efforts pour prévenir la propagation des espèces aquatiques envahissantes au Canada.

Les espèces aquatiques envahissantes sont une menaces pour les écosystèmes d’eau douce et marin du Canada, et prévenir leurs impacts néfastes sur notre biodiversité, notre économie et notre société est une priorité pour notre Gouvernement.

La gestion des espèces aquatiques envahissantes est une responsabilité que le gouvernement fédéral partage avec les gouvernements provinciaux et territoriaux, et nous continuons de travailler en étroite collaboration avec eux, ainsi qu’avec nos homologues des États Unis, afin d’appuyer les activités de prévention et d’intervention visant à protéger nos ressources mutuelles.

Moules zébrées et quagga
Les moules zébrées sont établies dans le bassin versant du lac Winnipeg, qui est le front d'invasion de l'ouest du Canada. Le MPO travaille avec les gouvernements provinciaux des Prairies et à élaborer avec eux un cadre pour des plans d'intervention.

Au Québec, les moules zébrées sont établies dans le fleuve Saint-Laurent, elles sont observées depuis 2017 dans le lac Memphrémagog et ont été nouvellement détectées dans le lac Massawippi en Estrie en 2021. Le MPO s’est joint au gouvernement québécois et à des intervenants locaux pour lutter contre la dispersion de cette espèce à d’autres plans d’eau de la région et participer aux activités d’intervention pouvant avoir lieu.

Le MPO travaille en étroite collaboration avec l'Agence des services frontaliers du Canada pour améliorer l'application du Règlement sur les espèces aquatiques envahissantes aux frontières internationales, en mettant l'accent sur la prévention de l'entrée au Canada des espèces interdites, y compris les moules envahissantes.

L'achigan à petite bouche envahissant dans le système de la Miramichi
Le MPO reconnaît la gravité de la menace que représente l’achigan à petite bouche qui est considéré comme étant une espèce envahissante dans le bassin-versant de la rivière Miramichi.

En Septembre 2021, le MPO a délivré une nouvelle autorisation sous le Règlement sur les espèces aquatiques envahissantes permettant au « North Shore Micmac District Council », un groupe autochtone, d’utiliser un pesticide pour éradiquer l’achigan à petite bouche du bassin-versant de la rivière Miramichi.

Lors de son évaluation de la proposition de projet, le MPO a mené de nombreuses consultations avec les intervenants, incluant des groupes autochtones, par l’entremise de sessions de consultations virtuelles ou en personne et continuera de collaborer avec tous les intervenants impliqués dans ce projet.

Le crabe vert
Le MPO est préoccupé par les répercussions majeures que le crabe vert, présent sur la côte Atlantique ainsi que sur la côte Pacifique du Canada, peut avoir sur les écosystèmes estuariens et marins, et les industries de la pêche et de l’aquaculture, par sa consommation de mollusques ou la compétition qu’il fait aux espèces indigènes, par exemple, les bivalves, les escargots, les crabes et le homard.

Le MPO collabore avec différents partenaires, dont les Premières Nations, les gouvernements et les communautés autochtones, les gouvernements provinciaux, les organisations non gouvernementales de l’environnement, les associations de pêcheurs, les parties prenantes ainsi que les États et le gouvernement fédéral américains, afin de gérer les menaces que pose l’espèce pour les pêches et les écosystèmes canadiens.

Le MPO continue d’appuyer la recherche et de générer des avis scientifiques, et mène ou appuie des activités de prévention, de détection rapide ou de contrôle sur les côtes Atlantique et Pacifique pour gérer la propagation et les impacts de cette espèce envahissante au Canada

Carpes asiatiques
En 2017, le gouvernement s’est engagé à investir 16 millions de dollars sur cinq ans, puis 4 millions de dollars par année par la suite, dans le cadre du Programme de lutte contre les carpes asiatiques, pour veiller à ce que les Grands Lacs soient protégés contre les conséquences nuisibles des carpes asiatiques.

Le gouvernement adopte une approche préventive globale pour contrer la menace que représente ces espèces, particulièrement la Carpe de Roseau, et collabore avec des partenaires américains, ontariens et québécois.

Le MPO est disponible pour aider dans l’analyse en laboratoire si un poisson y et pêché.

Jusqu’à présent, ces espèces n’ont pas réussi à s’établir dans les eaux canadiennes des Grands Lacs grâce aux efforts d’interventions bien structurées.

Poissons rouges
Le poisson rouge, une espèce non-indigène a été relâché dans les eaux canadiennes ou il peut se reproduire et pourrait causer des impacts néfastes sur les écosystèmes et les espèces de poissons natives.

L’introduction d’une espèce aquatique de poissons dans une région ou un milieu aquatique où elle n’est pas indigène peut nuire aux écosystèmes et est interdite sous le Règlement sur les espèces aquatiques envahissantes, et le MPO continue de faire la promotion de nouveaux matériaux d’engagement et de sensibilisation auprès du publique pour empêcher l’introduction d’espèces aquatiques envahissantes.

La présence de poissons rouges dans les systèmes d’eau douce du Canada est un enjeu que le MPO continue de surveiller. Une étude scientifique au Port d’Hamilton a été complétée pour clarifier la façon dont les poissons rouges se déplacent et se nourrissent, et déterminer si leur présence affecte les autres espèces de poisson.

Contexte :

Espèces aquatiques envahissantes
• Les espèces aquatiques envahissantes (EAE) représentent une menace sérieuse pour le poisson, l’habitat du poisson, l’utilisation des ressources aquatiques (c.-à-d. les pêches, l’aquaculture et les industries récréatives) et les espèces en péril au Canada.
• Parmi les EAE qui préoccupent public au Canada :
o les moules zébrées et quaggas;
o les carpes asiatiques (quatre espèces);
o la lamproie marine (Grand Lacs seulement)
o le crabe vert;
o les tuniciers envahissants (p. ex. l’ascidie jaune, l’ascidie plissée et le bothrylloïde violet)
o les plantes aquatiques envahissantes (p. ex. le myriophylle a epis.
• Le programme de lutte contre la lamproie marine (PLLM) a été créé au Canada par l’intermédiaire du ministère en 1954, après la ratification de la Convention sur les pêcheries des Grands Lacs, dans le cadre d’un engagement binational de lutte contre la lamproie marine pour la protection des poissons et des pêcheries des Grands Lacs.
• Le budget 2017/18 a augmenté l'engagement du Canada envers la Commission des pêcheries des Grands Lacs, l'organisme de coordination du PLLM, de 8,1 millions$ à 10,6 millions$ en permanence.
• Le Pêches et Océans Canada (MPO) est conscient du manque à gagner entre la formule de financement établie par la Convention et les montants des contributions. Un certain nombre de groupes sportifs et de plein air, ainsi qu'un député, ont soulevé la question auprès du ministre par le biais d'une campagne d'envoi de lettres.
• Le Règlement sur les espèces aquatiques envahissantes a été adopté en 2015 en vertu de la Loi sur les pêches afin de créer les outils nécessaires à l’adoption de mesures fédérales et à la conclusion de partenariats avec les gouvernements provinciaux et territoriaux, suscitant ainsi de grandes attentes à l’égard de la capacité collective du Canada à contrôler les EAE. Le Règlement énumère plus de 164 espèces aquatiques envahissantes sujet à la mise en place d’interdictions et/ou de contrôles.
• Pour la gestion des EAE à l’échelle nationale, le budget de 2017-2018 prévoyait un financement de 43,8 millions de dollars sur cinq ans et de 10,6 millions de dollars pour les années subséquentes.
• Le Programme national sur les EAE du MPO a été établi dans le but de mettre en œuvre le Règlement sur les espèces aquatiques envahissantes dans les eaux canadiennes, de donner suite aux conseils avisés des scientifiques et d’autres intervenants, ainsi que de rendre compte à l’échelle nationale des activités de lutte contre les EAE.
• La mise en œuvre du Règlement relève d’une priorité et d’une responsabilité partagées dans l’ensemble des administrations et des paliers de gouvernement. Certains territoires et provinces mènent la lutte contre les EAE d’eau douce, alors que le ministère des Pêches et des Océans dirige les efforts visant les EAE d’eau salée.
• Les provinces affectent également d’importantes sommes de ressources à la prévention de l’introduction des EAE et à leur contrôle. Ainsi, le Québec investit huit millions de dollars par année dans des mesures liées aux espèces aquatiques envahissantes et un montant supplémentaire de huit millions de dollars sur cinq ans annoncé en 2018 pour lutter contre les plantes aquatiques envahissantes. En Colombie-Britannique, le programme de lutte contre les moules envahissantes comporte un budget annuel de près de quatre millions de dollars. L’Alberta affecte également un important budget ciblant les moules envahissantes.
• La commissaire à l’environnement et au développement durable a effectué un audit sur les efforts du MPO en matière d’EAE à ce jour et a présenté ses constatations le 2 avril 2019. Le MPO a accepté les recommandations de l’auditeur et met en œuvre un plan d’action pour y donner suite.
• Le vérificateur a recommandé que le MPO travaille avec l'ASFC pour traiter les risques associés aux embarcations et aux importations interdites. Le vérificateur a également recommandé que le MPO et l'ASFC élaborent et mettent en œuvre les procédures, les outils et la formation dont les agents des services frontaliers et les agents des pêches ont besoin pour aider à appliquer le règlement sur les EAE. En réponse à cette recommandation, le MPO, l'ASFC et d'autres partenaires, dont la province du Manitoba, ont élaboré de nouveaux protocoles, outils et procédures pour améliorer l'application du Règlement sur les EAE aux frontières internationales. Il est prévu de tester ces outils à l’automne 2020, ou dès que possible en attendant les restrictions de voyage de la COVID-19, avec un projet pilote à Emmerson MB, visant à empêcher les moules envahissantes d'entrer au Canada. Un important projet pilote est prévu pour le printemps/été 2022.
Moules zébrées et quaggas
• Les moules zébrées et quaggas peuvent avoir des répercussions économiques importantes sur les plaisanciers, l’approvisionnement en eau municipale et industrielle et les infrastructures de production d’électricité.
• La moule zébrée est originaire de la mer Noire et de la mer Caspienne en Europe du Sud-Est.
• La moule zébrée est entrée dans les Grands Lacs à la fin des années 1980 par l’eau de ballast évacuée des navires. Depuis, l’espèce s’est répandue dans certaines parties de l’est du Canada et des États-Unis.
• Des moules zébrées ont été récemment détectées dans le lac Massawippi dans l’Estrie dans la province de Québec en 2021.
• Des moules zébrées ont été également observées depuis 2017 dans le lac Memphrémagog, et en Estrie, au Québec. Bien que la moule zébrée soit établie dans le fleuve Saint-Laurent, elle n’est pas encore présente dans les lacs et rivières affluents du fleuve.
• Le MPO s’est joint au gouvernement québécois et à de nombreux intervenants locaux pour lutter contre la dispersion de cette espèce à d’autres plans d’eau de la région.
• La moule quagga est présente que dans le sud du bassin des Grands Lacs, c'est-à-dire dans les lacs Ontario, Michigan, Huron et Érié. Elle est aussi présente dans le fleuve Saint-Laurent vers le nord, jusqu'à la ville de Québec.
Lac et Rivière Miramichi
• En 2008, on a découvert la présence d’achigan à petite bouche dans le lac Miramichi, un lac d’amont du bassin versant sud-ouest de la rivière Miramichi. Ce bassin, avec d’autres réseaux hydrographiques du Nouveau Brunswick, est reconnu comme l’une des rivières à saumons de l’Atlantique les plus productives au monde. L’achigan à petite bouche est un prédateur et un compétiteur efficace pouvant nuire à certaines espèces de poissons, dont le saumon de l’atlantique.
• La présence d’achigan à petite bouche a été signalée pour la première fois dans le sud-ouest de la rivière Miramichi, en aval du lac Miramichi, en août 2019.
• Le MPO, à titre d’organisme de réglementation, a collaboré avec la Province du Nouveau-Brunswick pour examiner une demande soumise par le Conseil des Micmacs du district de la Rive nord, pour une d’autorisation en vertu du paragraphe 19(3) du Règlement sur les espèces aquatiques envahissantes en vertu de la Loi sur les pêches visant l’utilisation de roténone afin d’éradiquer du lac Miramichi l’achigan à petite bouche.
• En raison de la propagation de l’achigan a petite bouche dans la rivière, le promoteur a modifié la demande initiale d’utilisation de la roténone pour inclure une partie de la rivière.
• En mai 2021, la province a terminé son évaluation d'impact environnemental et a déterminé que le projet pouvait aller de l'avant.
• Le MPO a autorisé le projet le 7 juin 2021, sous réserve que le processus de l'homologation d'urgence de produits antiparasitaires soit complété par l'Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire de Santé Canada.
• En Aout 2021, lors de la mise en place du projet, des membres de la nation Wolastoquey insatisfait du processus de consultation et en désaccord avec le projet ont occupés le lac Miramichi par l’entremise de kayaks et de canot, forçant ainsi le promoteur a abandonner le rejet de substances nocives et à suspendre le projet.
• Une nouvelle autorisation a été délivré le 18 septembre 2021 et le projet a été reporté à l’été 2020.
• Le projet sera suivi par le promoteur et par les autorités fédérales et provinciales.
• Lorsqu’il évalue l’utilisation de substances nocives, le Ministère doit tenir compte des répercussions non seulement sur le saumon de l’Atlantique indigène, mais aussi sur les espèces en péril, sur d’autres espèces de poissons, et aussi sur la sécurité publique.
• La Fédération du saumon Atlantique préconise l’éradication chimique, mais selon un rapport technique de 2018 du MPO, les activités de contrôle et de surveillance de l’achigan à petite bouche au lac Miramichi ont réussi à maintenir la population de ce poisson envahissant à des niveaux proches de l’épuisement, protégeant ainsi la viabilité des poissons indigènes comme le saumon de l’Atlantique.
• Le Ministère collabore avec la Province, la Fédération du saumon Atlantique, Miramichi Salmon Association et les Premières Nations pour capturer et enlever l’achigan a petite bouche de la rivière Miramichi.
• Les activités d’intervention menées sur la rivière Miramichi et certains affluents au cours de l’été-automne 2019 et 2020 comprennent la pêche à la ligne (sportive), la pêche à l’électricité (à l’aide d’un sac à dos ou de bateaux équipés d’un dispositif de pêche à l’électricité), la pêche au filet, la collecte d’échantillons d’ADN environnemental pour déterminer la propagation de l’invasion, et une collaboration avec l’Université du Nouveau Brunswick pour utiliser une méthode radioisotopique afin d’établir l’origine de l’achigan à petite bouche capturé dans la rivière.
• Le MPO continue de maintenir des barrières pour empêcher l’achigan à petite bouche de s’échapper du lac Miramichi et investit annuellement environ 50 000 dollars dans différentes méthodes physiques de capture d’individus de tous âges et de toutes tailles dans le lac Miramichi (p. ex. pêche à l’électricité, piégeage, filets et seinage).
• Le Ministère élabore également un plan à long terme pour la gestion de ces espèces aquatiques envahissantes dans le bassin hydrographique de la rivière Miramichi en faisant appel à une approche de gestion intégrée fondée sur la prévention, la détection, l’intervention et le contrôle, ainsi qu’à une collaboration suivie avec les partenaires.
Crabe vert
• Le crabe vert est une espèce aquatique envahissante connue présente sur les deux côtes du Canada. Elle pourrait avoir des répercussions majeures sur d’importants habitats, comme la zostère marine, et les pêches.
• Dans la région de Terre-Neuve (T-N), la propagation du crabe vert a été confirmée dans la baie de St Marys, avec des populations établies de gros crabes adultes confirmées en octobre 2020. Le partenariat avec le Fish Food and Allied Workers' Union continua au cours de l'été 2021 pour pêcher le crabe vert dans « Fortune Bay ». En 2020, les pêcheurs autorisés ont retiré plus de 335 000 crabes verts de la baie de Fortune. Le travail du Marine Institute dans la baie de Placentia pour restaurer la zostère et retirer le crabe vert dans la zone s'est poursuivi avec le financement du Fonds de restauration côtière en 2020. La bande mi'kmaq de Three Rivers a été engagée pour évaluer la population de crabe vert sur la côte sud-ouest de l'île de T-N par le biais d'un échantillonnage destructeur en octobre 2020. Du mois de Mai 2020 au mois de Septembre 2021, 54 permis de pêches ont été émis dans la région de T-N pour le control du crabe vert.
• Au mois de Septembre 2021, la « Mi’kmaq Alsumk Mowimsikik Koqoey Association » a obtenu des fonds du Patromoine naturel du Canada pour trapper et diminuer les population de crabes verts dans l’ouest de « Fortune Bay ».
• En Colombie-Britannique, les populations de CV sont établies sur la côte ouest de l'île de Vancouver. Ces populations ont premièrement été découvertes dans le port de Sooke en 2012 dans la mer des Salish, et depuis, d'autres incursions ont été documentées le long de la côte centrale du continent, en plus d’un nombre limité d'individus a Haida Gwaii en 2020.
• Depuis la découverte de crabes vert dans la mer des Salish et a Haida Gwaii, le MPO collabore avec ses partenaires autochtones et les groupes d’intendance pour déterminer l’étendue des incursions, évaluer si les populations sont établies et développer et mettre en place des plans d’intervention et de gestion.
• En 2021, le MPO a aussi établi des partenariat avec la « Coastal Restoration Society » et le Conseil de la nation Haida par le biais de financement provenant des Fonds de restauration et d’innovation pour le saumon de la Colombie-Britannique, pour des projets de gestion du crabe vert sur les iles de Vancouver et d’Haida Gwaii.
• En 2021, le MPO a continué les activités de surveillance et de détection rapide dans la mer des Salish suite à l’abandon des restrictions sanitaires reliées à la COVID-19, en offrant une formation et en effectuant de l’échantillonnage avec des partenaires (c.-à-d. des groupes d'intendance et des groupes autochtones). De plus, l’intervention du MPO suite à une observation de crabe vert de la part du public mena à la capture de 19 individus dans le port de Ladysmith. Ceci représente la plus grande incursion documente dans la mer des Salish depuis que le crabe vert y a été détecté et les activités de détection et de surveillance se poursuivent.
Poissons rouge
• Le MPO et le Conseil national des espèces aquatiques envahissantes sous l’ombrelle du Conseil canadien des ministres des pêches et de l’aquaculture ont développé un produit d’éducation et de sensibilisation cohérent à l’échelle nationale intitulé « Ne les relâchez pas dans la nature » pour gérer les risques d’introduction que posent plusieurs voies d’introductions telles que « les animaux de compagnie et plantes provenant d’aquariums, d’étangs ou de jardins d’eau », « animaux vivants destines a l’alimentations et appâts vivants » et « poisson de pêche sportive ».

Renseignements supplémentaires :

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