Note pour la période des questions : Vaccination contre la COVID-19 des membres des Forces Armées canadiennes
About
- Numéro de référence :
- DND-2022-QP-00018
- Date fournie :
- 14 juin 2022
- Organisation :
- Défense nationale
- Nom du ministre :
- Anand, Anita (L’hon.)
- Titre du ministre :
- Ministre de la Défense nationale
Enjeu ou question :
Pourquoi ce gouvernement exige-t-il que les membres des Forces armées canadiennes se fassent vacciner alors que le mandat est abandonné pour la fonction publique fédérale?
Réponse suggérée :
Un personnel en bonne santé et en sécurité est essentiel pour protéger l’état de préparation des Forces armées canadiennes et leur capacité à mener des opérations au pays et à l’étranger.
C’est pourquoi les membres des Forces armées canadiennes sont tenus de recevoir une série de vaccins, dont le vaccin contre la COVID-19, pour être protégés pendant leur participation à un déploiement.
Ces mesures ont permis aux Forces armées canadiennes de poursuivre leurs opérations, notamment en fournissant une assistance à la réponse pangouvernementale à la pandémie de COVID-19.
Nous continuerons à examiner le rôle des exigences de vaccination contre la COVID-19 en tant que mesure sanitaire préventive au fur et à mesure de l’évolution de la situation.
Les Forces armées canadiennes continueront d’accorder la priorité à la santé et à la sécurité de leurs membres afin de maintenir leur état de préparation opérationnelle.
Contexte :
Les faits en bref
Un total de 1 137 membres des Forces armées canadiennes ne sont pas vaccinés.
Ces militaires sont soumis à des mesures correctives, notamment :
Avertissement écrit;
Mise en garde et surveillance.
Si les militaires ne veulent pas se faire vacciner à la suite de ces mesures, ils sont soumis à un examen administratif qui peut déboucher sur une éventuelle libération.
La directive permet aux membres de demander des aménagements spéciaux s’ils ne peuvent pas être vaccinés en raison d’une contre-indication médicale certifiée, de motifs religieux ou de tout autre motif de discrimination interdit tel que défini dans la Charte canadienne des droits de la personne.
Renseignements supplémentaires :
Principaux responsables : État-major interarmées stratégique.