Note pour la période des questions : Importations de pétrole

• Notre gouvernement appuie la transition du Canada vers une économie à faibles émissions de carbone en investissant dans l’innovation et en favorisant la croissance économique, la compétitivité des industries et la création d’emplois propres, tout en protégeant l’environnement.
• Tout en travaillant à cette transition, nous comprenons l’importance de renforcer la capacité pipelinière pour accéder aux marchés mondiaux et relier les raffineries canadiennes aux sources nationales de pétrole brut.
• C’est pourquoi notre gouvernement a approuvé le projet de remplacement de la canalisation 3, le projet d’agrandissement du réseau de Trans Mountain, et a toujours appuyé Keystone XL.
• Le Canada dispose d’un cadre énergétique axé sur le marché dans lequel le secteur privé prend des décisions sur les importations et les exportations, y compris en fonction des coûts.
• Dans l’ensemble, le Canada est un exportateur net de combustibles. Toutefois, dans certaines circonstances, le Canada dépend des importations.
o Par exemple, les raffineries de l’est du Canada peuvent choisir d’importer du pétrole brut lorsqu’il est plus économique pour leurs activités.
• Les importations de pétrole ont diminué de façon constante depuis 2010 (à un peu moins de 600 000 barils par jour en 2018). La majorité de ces importations de pétrole proviennent des États-Unis (64 %), suivis de l’Arabie saoudite (18 %), de l’Azerbaïdjan (6 %), de la Norvège (3 %) et d’autres pays.

Bien qu’elles figurent parmi les principaux exportateurs de pétrole au monde, les raffineries de l’est du Canada dépendent toujours des importations de pétrole des États-Unis et d’autres pays pour répondre à la demande nationale.

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