Note pour la période des questions : Capacité du personnel du Bureau de la traduction
About
- Numéro de référence :
- PSPC-2020-QP-00018
- Date fournie :
- 25 mai 2020
- Organisation :
- Services publics et Approvisionnement Canada
- Nom du ministre :
- Anand, Anita (L’hon.)
- Titre du ministre :
- Ministre des Services publics et de l’Approvisionnement
Enjeu ou question :
Des membres du Comité permanent de la procédure et des affaires de la Chambre (PROC) ont soulevé la question de la capacité et du bien‑être des employés du Bureau de la traduction (BT) lors de la comparution du Bureau de la traduction le 4 mai 2020.
Réponse suggérée :
- La priorité du BT est la santé et la sécurité de ses employés
- Le BT n’a pas éprouvé de problèmes de capacité jusqu’à maintenant et prend les mesures nécessaires pour avoir la capacité de continuer à servir le Parlement et le gouvernement du Canada
- À l’heure actuelle, le BT a environ 50 interprètes en langues officielles qui sont disponibles pour répondre aux besoins du Parlement
- Nous poursuivrons notre travail en vue d’assurer la santé et la sécurité des employés du gouvernement du Canada, tout en offrant un service essentiel aux parlementaires
Contexte :
Le 4 mai 2020, durant un échange au comité PROC, le président de l’Association canadienne des employés professionnels a affirmé que, durant la pandémie, environ 40 des 70 interprètes en langues officielles du BT n’étaient pas en mesure de travailler en raison de problèmes de santé ou de garde d’enfants.
Le BT a confirmé que ces chiffres étaient inexacts.
Du 1er janvier 2019 au 15 mars 2020, une blessure invalidante et une blessure mineure ont été signalées. Les deux employés concernés sont maintenant rétablis et ont repris leur travail. Les deux cas sont survenus dans le contexte de l’interprétation traditionnelle (en personne). Durant la même période, 28 autres situations comportant des risques attribuables à la piètre qualité du son ont été signalées (par exemple rétroaction acoustique, bruits aigus, interférence), situations qui ont provoqué de la fatigue, des maux de tête et de la sensibilité auditive. Deux de ces situations comportant des risques étaient liées à l’interprétation à distance (téléconférences), et les autres sont survenues dans le contexte de l’interprétation traditionnelle.
Compte tenu du recours accru aux vidéoconférences au cours des deux derniers mois, les interprètes ont signalé un nombre supérieur d’incidents, notamment des maux de tête, des maux d’oreille et de la fatigue en raison de la piètre qualité du son. Aucun choc acoustique ou autre blessure nécessitant une hospitalisation n’a été signalé.
Du 16 mars 2020 au 29 avril 2020, aucune blessure invalidante ou mineure n’a été signalée. Quelque 39 autres situations comportant des risques attribuables à la piètre qualité du son ont été signalées, lesquelles ont provoqué, le plus souvent, des maux de tête, de la sensibilité auditive et de la fatigue. Quatorze de ces situations comportant
Renseignements supplémentaires :
aucun